Définitions, dangerosités et sites drogues

 » Les médecins sont donc devenus les plus grands trafiquants de drogue d’Amérique « 
dr ann Blak-Tracy

 « « Drogues » et « médicaments » mis en contexte »

« En d’autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre un psychotrope appelé  » drogue  » et un autre appelé  » médicament «  » professeur david Cohe
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On drogue, on torture et on tue les vieux
Etat des lieux chez les personnes âgées
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La mort par la médecine est une épidémie du 21e siècle,
Les premières sociétés pharmaceutiques sont aussi parmi les plus grandes entreprises criminels dans le monde, et ils ne sont vraiment rien de plus que les trafiquants de drogue en cols blancs.
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« les sociétés pharmaceutiques nous ont conditionné a devenir des toxicomanes sur ordonnance, malgré tous les résultats tragiques que cela comporte »
docteur bruce Lipton
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Ils ont inventé des maladies psychiatriques pour vendre des drogues légalisées
Pendant que l’on diabolise les drogues illégales en tant que nouveau phénomène de société, les apôtres de la moralité politico-orthodoxe font le grand silence sur le marché honteux des drogues psychotropes légales du créneau pharmaceutique. Cette langue de bois est évidemment en rapport direct avec les fausses statistiques de l’alcoolémie au volant, la plupart des accidents actuels étant dus aux effets des tranquillisants émoussant gravement les réflexes des conducteurs. Oui, une fois de plus l’hypocrisie est au rendez-vous, trouvant moyen de rendre les victimes coupables.

augmentation des décès par surdose de médicaments délivrés sur ordonnance :
« ce que les usagers ne savent pas, c’est que l’abus de médicaments sur ordonnance peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées illicitement. Du fait de leur très grande puissance, certains stupéfiants de synthèse, disponibles sous forme de médicaments délivrés sur ordonnance, présentent même un risque de surdose plus élevé que l’abus de drogues illicites”

Il n’existe que deux types de drogues, celles qui sont remboursées et celles qui ne le sont pas
Les antidépresseurs, inducteurs de suicides, d’addictions relativement rapides, restent abondamment prescrits et remboursés malgré leur échec thérapeutique quasi constant.

Neurotoxiques : médicaments, poisons, pesticides, psychotropes, toxiques, …
informations

«Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’ils tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques comme la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population.»
Professeur peter Gotzsche

neurotoxiques définition
Un neurotoxique agit habituellement en perturbant ou en paralysant l’influx nerveux

Qui sont les vrais barons de la drogue : Big pharma, les vrais barons de la drogue contrôle la production de la grande majorité des « drogues légales » de la planète.

Les médicaments de l’âme
« les effets des drogues légales sont généralement supérieurs à ceux des drogues illégales et génèrent donc des effets plus dévastateurs et débilitant »

Liste de Médicaments qui ont Actuellement le Statut de Drogue Nouvelle
santé canada

La drogue
Le terme scientifique pour une drogue est « un psychotrope ». L’effet d’un psychotrope est d’agir sur le fonctionnement du cerveau.

psychotropes, stupéfiants : liste et définition
antidépresseurs, lsd, barbituriques, cocaïne, nicotine, neuroleptiques, chloroforme, opium, codéïne, benzodiazépines, ritaline, amphétamines…

Les drogues et le cerveau : L’action des drogues sur ces connexions
Certains antidépresseurs inhibent la monoamine oxydase, enzyme de dégradation des médiateurs responsables de la régulation de l’humeur.

professeur Cohen et Guilhème Pérodeau : « « Drogues » et « médicaments » mis en contexte »
« En d’autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre un psychotrope appelé  » drogue  » et un autre appelé  » médicament « 

OMS / dépendance
Le syndrome de sevrage est l’un des indicateurs d’un syndrome de dépendance. Il s’agit également de la caractéristique essentielle de la «dépendance», sous son acception psychopharmacologique plus limitée.

dépendance professeur Breggin et Cohen
«la dépendance physique se définit comme l’apparition de symptômes spécifiques lorsque la médication est brusquement interrompue».

ORGANE INTERNATIONAL DE CONTRÔLE DES STUPÉFIANTS
“En outre, ce que les usagers ne savent pas, c’est que l’abus de médicaments sur ordonnance peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées illicitement.

drogue : définition
Tout produit amenant à une dépendance physique ou psychique peut être qualifié de drogue

 drogue : définition
Ces produits, autrefois appelés « drogues », correspondaient aux médicaments d’aujourd’hui

Dépendance : mission interministeriel de lutte contre la drogue (MILDT)
Brutale ou progressive selon les produits, la dépendance est installée quand on ne peut plus se passer de consommer, sous peine de souffrances physiques et/ou psychiques

Toxicomanies médicamenteuses
Une escalade médicamenteuse, à l’insu du patient

Petite histoire naturel des drogues
Enfin, des drogues de synthèse mimant plus ou moins les substances naturelles ont été élaborées au début du vingtième siècle.

Neurotoxicité des produits industriels et développement cérébral
Les produits neurotoxiques

Les médecins, une source inépuisable de produits
« Il y a une étrange analogie entre les opiacés, tranquillisants et somnifères du « tox » et ceux pris en routine par nos patients réputés «normaux » « 

La drogue une arme de contrôle social et politique
La drogue est partout elle est déjà pratiquement légalisée, elles coulent à flot et inondent le marché, cannabis, cocaine, crak, sans parler des produits de l’industrie pharmaceutique comme la ritaline qui est encore plus toxique que la coke et tous les psychotropes avec son cortège d’horreur, gamins perdus, sans repère hors tous système car incapable d’attention, des larves alors qu’ils ont parfois même pas 12 ans, dernière les drogues sont donnés aux enfants soldats comme on le voir dans ce rapport parlementaire canadien. Rapport que je conseille à quiconque veut comprendre l’ampleur de la richesse que l’on peut accumuler avec ses drogues, une arme de destruction massive.

Les prescriptions de médicaments tuent une personne toute les 19 minutes aux USA.
Qui sont les vrais dealers de drogues?

Dangers des drogues psychiatriques : le classement du docteur Charles Whitfield
Le classement des médicaments psychiques en ordre décroissant comme je l’ai fait plus haut pour les drogues illégales, en premier lieu sont 1) les médicaments antipsychotiques, qui sont généralement si invalidants et toxiques qu’ils ont été démontrés pour causer la mort précoce [6, 7, 46, 47]. Deuxièmement, 2) les antidépresseurs, qui partagent de nombreux effets toxiques avec les antipsychotiques et provoquent souvent une augmentation des pensées suicidaires et des suicides achevés, ainsi que des homicides par rapport aux placebos [6, 7, 19]. Voici 3) les stimulants du méthylphénidate (Ritalin) et du type amphétamine (qui sont presque tous des amphétamines d’une sorte ou d’une autre). Ensuite 4) les sédatifs benzodiazépines ( «benzos») dont les principales toxicités sont la sédation excessive et l’engourdissement émotionnel (similaire aux antipsychotiques et antidépresseurs) et probablement le syndrome de sevrage le plus douloureux de toutes les drogues légales et illégales pour la plupart des gens. Ensuite, 5) les anti-convulsivants, savamment appelés «stabilisateurs de l’ humeur» à des fins de marketing, même si elles ont peu à voir avec l’ humeur et ils provoquent souvent de nombreux effets toxiques et un retrait souvent douloureux [6, 34].

« Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l’action véreuse d’un dealer propriétaire d’un coin de rue, mais par celle d’un vénérable médecin lové dans son cabinet. »
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Torturées par leurs médecins, avec des médicaments, des millions de personnes, chaque année, en meurent, sont handicapées ou sont poussées au suicide par d’atroces souffrances
STOP MED TORTURE !
 
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« Les drogues psychiatriques sont beaucoup plus dangereuses que les drogues illégales »

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Principes des addictions psychiatriques et négationnisme médical

Principes des addictions psychiatriques
11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.
Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. »
La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].
Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible…

Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d’utilisateurs toxicomanes, à long terme

Mythe 1: Votre maladie est causée par un déséquilibre chimique dans le cerveau
C’est ce qui est dit a la plupart des patiens, mais c’est complètement faux. Nous n’avons aucune idée de ce qui interaction des conditions psychosociales, les processus biochimiques, les récepteurs et des voies nerveuses qui conduisent à des troubles mentaux et les théories que les patients atteints de dépression n’ont pas la sérotonine et que les patients atteints de schizophrénie ont trop de dopamine ont longtemps été réfuté. La vérité est tout le contraire. Il n’y a pas déséquilibre chimique pour commencer, mais quand traiter la maladie mentale avec des médicaments, nous créons un déséquilibre chimique, une condition artificielle que le cerveau tente de contrer.

Psychrights: « Le but du système public de santé mentale est de créer une classe énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments inefficaces, mais extrêmement dangereux

psychiatrie mortelle et déni organisé grand forma

500 000 décès par an en occident à cause des antidépresseurs, somnifères et neuroleptiques Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.

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NEGATIONNISME MEDICAL

« Dans l’histoire de la psychiatrie il y a une très vielle habitude d’ignorer les effets néfastes des médicaments ou de les attribuer essentiellement à la maladie sous jacente et ainsi de blâmer le patient plutôt que de blâmer la drogue… des millions de personnes ont été mises sous drogue, alors qu’elles n’en avaient pas besoin »

docteur joanna Moncrieff

Ils font passer les effets secondaires des médicaments (ou de sevrage), pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale

En 10 secondes, le professeur christian Perronne nous explique le négationnisme médical systématique concernant les effets secondaires des médicaments de BIG PHARMA.

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« Les drogues psychiatriques sont beaucoup plus dangereuses que les drogues illégales »

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Les psychotropes provoquent la plupart des pathologies qu’ils devraient guérir et mise en garde

« Avec les médicaments psychotropes, les médecins créent la maladie faussement diagnostiquée »

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« Après des années de recherche le professeur Peter Gøtzsche résume cela de la manière suivante : « Les psychotropes n’éliminent aucun déséquilibre chimique, ils les provoquent. Si on les prend plus longtemps que quelques semaines, ils causent la pathologie qu’ils devraient guérir. Avec les médicaments que nous avons employés, nous avons transformé des troubles psychiques qui auparavant n‘étaient le plus souvent que des altérations temporaires, en troubles chroniques. » « 

Vidéo KLA TV : « Les psychotropes provoquent la plupart des pathologies qu’ils devraient guérir »

Les psychotropes sont cause de la plupart des maladies mentales

« Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu’on leur donne »

« Les médicaments psychiatriques, sont dangereux, inefficaces et provoquent exactement ce qu’ils sont censés soigner »


Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que vous ne l’avez jamais imaginé !

mort par les médicaments en santé mentale
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Neuroleptiques et autres drogues sur ordonnances : On drogue, on torture et on tue les vieux !

On drogue, on torture et on tue les vieux

On drogue, on torture et on tue les vieux

Les neuroleptiques ne doivent pas être prescrits, même en cas d’Alzheimer / démence !

«Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’ils tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques comme la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population.» professeur Gotzsche peter

 .« La France détient le record du monde pour les décès dus aux médicaments, » : « Son taux de mortalité lié aux médicaments d’ordonnance est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un nombre stupéfiant de 20 à 50 fois plus élevé chez les plus de 75 ans. »

.ces médicaments sont abusivement prescrits pour des troubles anxieux, des troubles de l’humeur. Ils sont également administrés sans raison chez des personnes atteintes de démences. Ces prises sont d’autant plus injustifiées que ces neuroleptiques entraînent des effets indésirables importants (2) : prise de poids, diabète, accroissement des accidents cardiovasculaires.

.Zyprexa – Risperdal – Abilify – Clozari tue les  personnes âgées : Les personnes âgées ne sont pas les seuls à risquer la mort. Les professionnels de la santé mentale l’ont longtemps observé, mais il garde le silence sur le fait que les patients à qui l’on a prescrit les nouveaux antipsychotiques sont en train de mourir à cause de la drogue d’insuffisance cardiaque, accident vasculaire cérébral, et d’autres maladies physiques chroniques invalidantes, telles que le diabète.

 Pétition : Non aux abus de prescriptions de neuroleptiques, benzodiazépines et antidépresseurs aux personnes âgées

 Pétition : Non aux abus des prescriptions de neuroleptiques, benzodiazépines et antidépresseurs aux personnes âgées, dans les centres hospitaliers, dans le seul but de les « shooter »

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Psychotropes : le massacre de nos enfants

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Drogues et médicaments aux propriétés anticholinergiques : les médicaments qui rendent fou.

Anti-cholinergiques
neurotoxiques
Certains médicaments anticholinergiques consommés de façon prolongée par les personnes âgées pour traiter la dépression, la Maladie de Parkinson, les allergies ou l’incontinence urinaire, peuvent entrainer des risques irréversibles
Le bromhydrate de scopolamine est un antispasmodique anticholinergique.
Il déprime le système nerveux parasympathique, ce qui provoque une diminution des
sécrétions et des contractions des muscles lisses (système digestif et urinaire).
en Colombie sur cette drogue que le news magazine n’hésitait alors pas à qualifier de drogue la plus dangereuse du monde.
L’Artane est considéré comme l’ecstasy des pauvres. Consommé avec de l’alcool et/ou du cannabis, il donne un sentiment de toute puissance, amenant l’individu au passage à l’acte
sont une classe de médicament prescrit contre differents symptomes comme les spasmes,les troubles du sommeil, la toux, l’allérgie, la nausée, le mal du transport, contre certains symptomes de la maladie de Parkinson et contre les trouble extrapyramidaux provoqué par certains neuroléptiques. Il existe plusieurs sorte d’anticholinergique: les naturels (provenant de certain plantes comme la belladone) comme l’atropine et la Scopolamine; les synthétique comme la trihexyphénidyle (Artane) et la procyclidine (Kemadrin) et les Semi-synthétique comme la butylhyoscine (Buscopan). Les anticholinergiques sont de plus en plus utilisé comme psychotrope. Les consomateurs souvent peu fortuné consome cette drogue pour l’euphorie et les hallucinations que provoque se genre de produit. Cette drogue est également utilisé par des escrocs comme drogue du viol car elle posséde un effet amnésiant trés marqué. A forte dose les anticholinergiques provoque une perte de volonté et provoque des délires et psychose importante. Cette drogue n’est pas encore très répandue excepté dans certains cartiers et pays pauvre. Cette drogue à au départ un effet stimulant avec ou sans hallucination suivit d’un effet sedatif. La Belgique est un des seul pays aux monde ou le Buscopan et la Scopolamine est en vente libre. Les médicaments anticholinergique les plus puissant et les plus détourné sont ceux utilisé dans la maladie de Parkinson (Artane, Kemadrin, Akineton…) qui il y a pas 10 ans étaient encore en vente
Lorsqu’une quantité suffisante d’anticholinergique est en circulation dans le corps, un toxidrome (intoxication) appelé syndrome anticholinergique aigu peut se produire. Cela peut arriver accidentellement ou volontairement dans le cadre d’une consommation récréative (usage de drogues). Les drogues de cette classe sont généralement considérées comme peu « amusantes » par les consommateurs de drogues avertis. Parce que la plupart des usagers n’apprécient pas cette expérience, ils ne cherchent pas à la recommencer, ou très rarement. Les risques d’addiction sont faibles pour les médicaments de la classe des anticholinergiques.
Un médicament anticholinergique inhibe (réduit) l’action de l’acétylcholine, un neurotransmetteur qui intervient dans le cerveau et surtout dans le système nerveux parasympathique.  Ces médicaments s’opposent ainsi à l’action du système nerveux parasympathique.  Les médicaments anticholinergiques incluent des antihypertenseurs, des diurétiques, des agents cardiovasculaires, des antidépresseurs, des anxiolytiques (tranquillisants), des antiépileptiques, des antitussifs, des anti-asthmatiques (dont certains sont utilisés comme somnifères), des antibiotiques, des médicaments pour le traitement du glaucome et des incontinences urinaires.
Les médicaments ayant des propriétés anticholinergiques peuvent causer le délire, mais à plus long terme des effets qui peuvent être confondus avec les signes précoces de démence, n’ont pas été étudiées aussi bien pour cette classe de médicaments.
Un effet secondaire de beaucoup de médicaments utilisés généralement semble augmenter les risques du handicap cognitif et de la mort dans des personnes plus âgées, selon la recherche neuve aboutie par l’Université d’East Anglia (UEA).
Tégrétol (carbamazépine), atarax (hydroxizine)…
Score 1 (effet anticholinergique léger):
Alimemazine, Alprazolam , Alverine , Atenolol , Beclometasone, dipropionate , Bupropion hydrochloride , Captopril , Chlorthalidone
Cimetidine hydrochloride , Clorazepate, Codeine , Colchicine
Dextropropoxyphene , Diazepam (valium),  Digoxin, Dipyridamole
Disopyramide, Fentanyl, Fluvoxamine , Furosemide , Haloperidol, Hydralazine , Hydrocortisone , Isosorbide , Loperamide, Metoprolol , Morphine , Nifedipine , Prednisone/Prednisolone, Quinidine , Ranitidine
Theophylline , Timolol maleate , Trazodone , Triamterene
Score 2 (effet anticholinergique modéré):
Amantadine , Belladonna alkaloids , Carbamazepine (tégrétol) ,, Cyclobenzaprine , Cyproheptadine, Loxapine, Meperidine , Methotrimeprazine , Molindone, Oxcarbazepine, Pethidine hydrochloride
Pimozide
Score 3 (effet anticholinergique sévère):
Amitriptyline , Amoxapine, Atropine , Benztropine , Chlorpheniramine
Chlorpromazine , Clemastine, Clomipramine , Clozapine, Darifenacin , Desipramine , Dicyclomine , Diphenhydramine, Doxepin , Flavoxate
Hydroxyzine (atarax),  , Hyoscyamine , Imipramine (tofranil),  Meclizine
Nortriptyline , Orphenadrine , Oxybutynin ,Paroxetine (déroxat), Perphenazine , Procyclidine , Promazine , Promethazine
Propentheline , Pyrilamine , Scopolamine , Thioridazine, Tolterodine
Trifluoperazine , Trihexyphenidyl , Trimipramin
De nombreux médicaments consommés régulièrement par les personnes âgées augmentent les risques de déclin cognitif et de mortalité, surtout lorsqu’ils sont combinés, selon une étude britannique publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society. Ces médicaments sont utilisés pour le traitement de nombreuses conditions de santé. Ces médicaments, vendus sans ordonnance ou prescrits, ont un effet anticholinergique, c’est-à-dire qu’ils réduisent les effets du neurotransmetteur acétylcholine (un neurotransmetteur est une molécule qui permet le «passage» de l’influx nerveux d’une cellule nerveuse à l’autre).
Les médicaments utilisés pour le traitement de l’insomnie, de l’anxiété, des démangeaisons et des allergies peuvent avoir des effets négatifs sur la mémoire ou la concentration des personnes âgées, selon une étude de l’Université de Montréal. Jusqu’à 90 % des personnes âgées de plus de 65 ans consomment au moins un médicament d’ordonnance. 18 % des gens de ce groupe d’âge se plaignent de leur mémoire et présentent des troubles légers de la cognition. La recherche suggère qu’il y aurait un lien à faire entre les deux situations, concluent les chercheurs.
Des médicaments potentiellement anti-cholinergiques peuvent entraîner des détériorations modérées de certaines capacités cognitives (ou intellectuelles) chez la personne âgée, affectant en particulier le temps de réaction, la mémoire immédiate ou différée, ou le langage. C’est la conclusion à laquelle est parvenue Karen Ritchie et son équipe (Equipe de recherche Inserm 361 « Pathologies du système nerveux : recherche épidémiologique et clinique », Montpellier).
Un anticholinergique est une substance qui s’oppose à l’action de l’acétylcholine, une molécule jouant le rôle de médiateur chimique et permettant la communication entre deux neurones. Parmi les médicaments anticholinergiques, on trouve des antidépresseurs, somnifères et anxiolytiques, mais aussi des antihistaminiques (rhinites allergiques, asthme) et des médicaments contenant de la warfarine (cardiopathies, embolies pulmonaires, thromboses veineuses, infarctus du myocarde etc.), de la codéine (analgésiques) ou encore du furosémide (hypertension, insuffisance rénale, œdèmes etc.).
Artane
Le trihexyphénidyle est un anticholinergique muscari nique de synthèse commercialisé sous le nom d’Artane ® en France. Il possède le plus important potentiel d’abus et de dépendance parmi sa classe.
Une grande étude, à long terme confirme que les médicaments avec l’activité anticholinergique, qui comprennent beaucoup de médicaments fréquemment pris par des adultes plus âgés, sont la cause d’handicap cognitif. La recherche est également la première pour recenser un lien possible entre ces médicaments – qui comprennent les aides délivrées sans ordonnance et d’ordonnance pour le sommeil et les demandes de règlement d’incontinence – et le risque de décès.L’étude biennale de l’incidence de ces médicaments sur 13.000 hommes et femmes âgés 65 et plus vieux fait partie des Études de Fonction Cognitive Médicale et de Vieillissement du Conseil  » Recherche  » (R-U) (CFAS), une grande initiative multicentre longitudinale Dont le siège est en Grande-Bretagne d’étude regardant la santé et la fonction cognitive dans des adultes plus âgés. Les Résultats de l’enquête de l’anticholinergics apparaissent Le 24 juin 2011 dans une publication en ligne avancée du Tourillon de la Société Américaine de Gériatrie.Affect d’Anticholinergics le cerveau en bloquant l’acétylcholine, une neurotransmetteur de système nerveux. Les produits Délivrés Sans Ordonnance contenant la diphénhydramine, vendue sous des marques variées telles que Benadryl-, Dramamine-, Excedrin P.M., Nytol-, Sominex-, Tylenol P.M., et Unisom-, ont l’activité anticolinergic. D’Autres médicaments anticholinergiques, tels que Paxil-, Detrol-, Demerol- et Elavil- sont disponibles par ordonnance.
Histoire : La scopolamine est normalement utilisée pour lutter contre la maladie de Parkinson ainsi que dans le traitement de certaines douleurs digestives et gynécologiques, en soins palliatifs ou dans la prévention du mal des transports. Mais une fois modifiée,  elle peut devenir une des drogues les plus dangereuses du monde. Du temps des Incas, lorsqu’un chef de tribu décédait, on s’en servait pour tuer toutes ses maîtresses. Durant la Seconde Guerre mondiale, la scopolamine aurait servi de sérum de vérité. Aujourd’hui, elle est employée par les cartels colombiens, qui l’appellent Burundanga ou « le souffle du diable ». Sous l’emprise du Burundanga, les exécutants obéissent aveuglément aux ordres de leurs chefs. Elle facilite également les vols, puisque les victimes perdent toute volonté et ne se rappellent pas de l’agression.
fait partie de la liste des médicaments essentiels de l’Organisation mondiale de la santé (liste mise à jour en avril 2013)4. La scopolamine est utilisée pour lutter contre la maladie de Parkinson.
Actuellement, elle est utilisée dans le traitement symptomatique de certaines douleurs digestives et gynécologiques, en soins palliatifs, ainsi que dans la prévention du mal des transports, par son action sur l’area postrema

La scopolamine est en général commercialisée sous forme de bromhydrate de scopolamine.
La scopolamine est un anticholinergique. Elle agit en se liant aux récepteurs muscariniques de l’acétylcholine dans le système nerveux central et périphérique empêchant ainsi l’action du neurotransmetteur. C’est un parasympathicolytique, comme l’atropine, mais en revanche c’est un sédatif central. Elle provoque en outre d’intenses hallucinations délirantes, de l’amnésie (amnésie lacunaire antérograde) et des pertes de conscience comme en provoque la consommation de datura, de jusquiame ou de mandragore. Elle est active à des doses de l’ordre du dixième de milligramme. À fortes doses, l’intoxication peut être mortelle.
Aux fortes doses, on observe souvent des séquelles psychiatriques plusieurs mois après l’intoxication. La scopolamine a été testée comme sérum de vérité pendant la Seconde Guerre mondiale.
anticholinergique

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CBD / cannabidiol

Si de plus en plus d’études envisagent désormais le cannabis — et notamment un de ses composants dérivés le CBD, comme un moyen de soulager stress et douleurs chroniques, la consommation régulière de ce psychotrope peut avoir des effets désastreux sur la santé.
 
 
Le CBD a les mêmes propriétés sur la sérotonine que les antidépresseurs isrs et la cocaïne, qui sont des inhibiteurs des enzymes CYP 450 2D6, ce qui implique qu’il provoque une très très forte dépendance, !!
Dans une étude portant sur la différence entre le sevrage des ISRS et des benzodiazépines Nielsen et al (2012) ont conclu que «les symptômes d’interruption qui ont été décrits pour les benzodiazépines et les ISRS, étaient très similaires pour 37 des 42 des symptômes identifiés…se référant à ces réactions, dans le cadreÀ ces réactions dans le cadre d’un syndrome de dépendance dans le cas des benzodiazépines, mais non sélectif Inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, ne semble pas rationnel . » 20 Les expériences des organismes de bienfaisance chez les personnes se retirant soit d’un antidépresseur ou d’une benzodiazépine, soit les deux.Selon Baylissa Frederick, de Recovery Road: «Il n’y a pas eu de différence notable entre symptômes vécus. Les deux peuvent être aussi horribles … les deux peuvent être aussi intenses, aussi longues, et avec  répercussions similaires»
 
Le CBD semble avoir un profil pharmacologique similaire à celle des antipsychotiques atypiques montré en utilisant des techniques de comportement et neurochimiques dans les modèles animaux.
 
DANGER !!
 
un examen des recherches existant sur le cannabidiol (CBD) souligne son efficacité en tant qu’antipsychotique. Il s’avérerait d’ailleurs plus efficace dans la réduction des épisodes psychotiques que les produits pharmaceutiques prescrits actuellement avec moins d’effets secondaires.
 
Des scientifiques australiens rapportent que la CBD agit comme un « modulateur allostérique positif » du récepteur GABA-A. En d’autres termes, le CBD interagit avec le récepteur GABA-A de manière à renforcer l’affinité de liaison du récepteur pour son principal agoniste endogène, l’acide gamma-aminobutyrique (GABA), qui est le principal neurotransmetteur inhibiteur dans le système nerveux central des mammifères. Les effets sédatifs du Valium et d’autres benzos sont médiés par la transmission du récepteur GABA. Le CBD réduit l’anxiété en modifiant la forme du récepteur GABA-A de manière à amplifier l’effet calmant naturel du GABA.
 
« MARIJUANA (CBD, THC, toutes formes – comestibles, huiles, fumage, etc.). Sans rapport avec des «échecs» ou des «réactions», mais il est important pour ceux qui prennent encore des benzodiazépines de noter que «le CBD et d’autres cannabinoïdes végétaux peuvent potentiellement interagir avec de nombreux produits pharmaceutiques en inhibant l’activité du cytochrome P450 , une famille d’enzymes hépatiques. Ce groupe d’enzymes clé métabolise la plupart des médicaments que nous consommons, y compris plus de 60% des médicaments commercialisés. » «Le récepteur cannabinoïde CB1 est impliqué dans les actions anxiolytiques, sédatives et amnésiques des benzodiazépines.» « Une exposition prolongée aux cannabinoïdes altère le GABA (A)Fonction synaptique médiée par les récepteurs dans les neurones hippocampiques cultivés… Le développement de médicaments à base de cannabinoïdes avec l’utilisation récréative de la marijuana rend important d’étudier les adaptations moléculaires subies par le système endocannabinoïde après une utilisation prolongée et un sevrage. L’administration répétée de cannabinoïdes entraîne le développement d’une tolérance et produit des symptômes de sevrage pouvant inclure des convulsions. » «Le principal endocannabinoïde central agit directement sur les récepteurs GABA A » «Sous toutes ses formes, le cannabis fonctionne avec les voies GABA du cerveau comme le font les benzos…» «Malgré les preuves que certains cannabinoïdes endogènes et synthétiques interagissent avec les récepteurs GABA A , personne n’a encore étudié les effets du CBD. » »
 
Le GABA est notre anxiolytique naturel. Fabriqué principalement par les lobes temporaux situés juste derrière les oreilles, le GABA module le rythme cérébral. Quand sa production est optimale, nous sommes calmes et détendus. Il induit également la synthèse d’endorphines, ces molécules responsables d’un état de bien-être et d’euphorie libérées après un effort physique ou un rapport sexuel. A l’inverse, des taux trop bas vont conduire à un état d’agitation, des troubles anxieux, des palpitations ou une augmentation de la tension artérielle.
 

Les symptômes de sevrage identiques pour les benzodiazépines et les antidépresseurs

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Le CBD se trouve au milieu des neuroleptiques, des dépresseurs et des stimulants

Ce stupéfiant n’est pas classé comme stupéfiant

Ce n’est pas un stupéfiant. « Le CBD reste tout de même une substance à effet psychoactif, qui peut avoir des interactions avec d’autres molécules, notamment des médicaments »

Pfizer investit 6,7 milliards dans le Cannabis médical : Le laboratoire Pfizer rejoint Jazz Pharma et le laboratoire Johnson & Johnson dans la course au Cannabis médical.

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Tramadol / Nobligan, Tiparol, Topalgic, Tradolan, Tramal, Ultram, Ixprim / opioïde et ISRSN (anticholinergique)

Un syndrome de sevrage monumental. Le vrai syndrome de manque du drogué privé de son produit. Boule d’angoisse permanente dans l’estomac, 5 nuits totalement blanches, à sauter de douleur, d’anxiété, d’irritation, de stress, d’envie impossible de s’endormir et de se calmer. Gêne respiratoire, impression d’étouffer, une véritable samba dans le lit, sans position calmante ! 10 jours après, les nuits ne sont pas encore normalisées.
Les opiacés, ces médicaments qui contiennent des dérivés d’opium, sont aujourd’hui en France la première cause de morts par overdose. Plus de 500 décès chaque année, c’est 6 fois plus que l’héroïne et presque que 5 fois plus que la méthadone.
Le gouvernement canadien envisage de classer le tramadol en opioïde suite à une forte hausse de délivrances d’ordonnances de ce puissant analgésique au cours des dernières années
les analgésiques sur ordonnance tuent plus de personnes que l’héroïne et la cocaïne. On observe que le Tramadol revendique plus de victimes que tous les autres médicaments. Les experts suggèrent qu’il devrait être mis à niveau vers la catégorie de classe A.Tramadol est prise par des milliers de personnes. Il est encore plus mortel lorsqu’il est mélangé avec de l’alcool.
Tramadol: Les craintes sur l’antidouleur «aussi addictif que l’héroïne»
« Les gens semblent supposer que le tramadol est sûr parce qu’il est prescrit par les médecins, mais dans mon esprit, il est tout aussi dangereux que l’héroïne et devrait être reclassé comme un médicament de classe A »,
Pour l’interdiction du tramadol
Le tramadol (Nobligan, Tiparol, Topalgic, Tradolan, Tramal, Ultram, Ixprim) est un antalgique central développé par la firme allemande Grünenthal GmbH. On le classe dans la catégorie des antalgiques de niveau 2, catégorie comprenant la codéine et le dextropropoxyphène. Il agit sur le même type de récepteur que la morphine, c’est un agoniste des récepteurs morphiniques. Il a un pouvoir analgésique légèrement plus fort que la codéine (50 mg de tramadol équivalent à 10 mg de morphine). De plus, contrairement à cette dernière, le tramadol est disponible sans paracétamol et à des dosages plus élevés que la codéine. C’est pourquoi on le classe comme antalgique de palier II.b.
Le tramadol est une molécule racémique qui possède deux mécanismes d’action :
évogyre : inhibe la recapture de la noradrénaline (donc les voies descendantes du contrôle de la douleur) ;
dextrogyre : agoniste µ et inhibe la recapture de la sérotonine (5HT)
C’est un analgésique morphinique qui la particularité d’inhiber la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline, ce qui modifie le tableau de l’intoxication (agitation, confusion, tachycardie, poussées hypertensives, convulsions).
Pire que le Di-Antalvic qu’il est censé remplacer, ce médicament entraîne des effets secondaires graves et une accoutumance.
Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets secondaires importants. Cet antidouleur provoquerait notamment une forte addiction,
Le Tramadol, remplaçant du Di-Antalvic, inquiète l’Afssaps. Il causerait une forte dépendance. afp.com/Philippe Merle Les autorités françaises de contrôle du médicament ont placé le Tramadol sous surveillance. Présente dans une vingtaine de médicaments, la molécule serait à l’origine d’une très forte dépendance.
je voulais souligner la dangerosité du tramadol, en général et essentiellement chez les personnes âgées.
Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets secondaires importants. Cet antidouleur provoquerait notamment une forte addiction, révèle ce mercredi Le Parisien.
Nous avons ainsi voulu parler aujourd’hui de deux médicaments opiacés, la codéine (neo-codion, dafalgan et efferalgan codeiné, Tussipax, padéryl, etc) et le tramadol (Ixprim, Zumalgic, topalgic, contramal, zaldiar, etc). Ils ne font pas de bruit, mais de plus en plus de personnes parlentt de leurs difficultés avec ces substances sur  le forum Psychoactif (forum vendu aux médecins et aux labos !) d’où nous avons extrait les témoignages ci-dessous. Ces opioïdes, analgésiques de niveau II, sont d’accès facile, en vente libre pour la codéine et prescrit facilement par les médecins pour le tramadol (comme pour les règles douloureuses ou les douleurs dorsales par exemple).
A Ouagadougou, de plus en plus de travailleurs pauvres consomment ce puissant antalgique pour affronter les longues journées et la chaleur étouffante.
Tramadol en Afrique de l’Ouest ces dernières années[4]. Entre février et octobre 2012, 24 conteneurs transportant près de 130 tonnes de ce produit ont été interceptés au Bénin, au Ghana, au Sénégal et au Togo. Deux ans plus tard, en 2014, les services mixtes de contrôle portuaire de Cotonou (Bénin) et Tema (Ghana) saisissaient plus de 43,5 tonnes. Ces saisies, si elles se concentrent dans les ports du golfe de Guinée, sont loin de s’y limiter. En janvier 2016, la police nigérienne découvrait 7 millions de comprimés[5], une prise record dans un pays considéré comme la principale destination des comprimés déchargés au Bénin ou au Ghana mais où les saisies sont généralement de faible ampleur.
un peu plus fort que la codéine (50mg de Tramadol correspond à 10 mg de morphine).
Les utilisateurs réguliers souffrent de dépression, de fatigue, ou encore de problèmes rénaux ou intestinaux. En somme, le médicament miracle a tout l’air d’être un poison.
La tramadol abaisse le seuil de la crise d’épilepsie. ..faut faire vraiment gaffe avec le tramadol!
L’effet analgésique du tramadol s’expliquerait aussi par un deuxième mécanisme d’action : il inhiberait le recaptage de la sérotonine et de la noradrénaline; Cela entraînerait donc l’activation des voies centrales inhibitrices de la douleur dans la moelle épinière; C’est aussi par ce mécanisme que le tramadol interagirait avec les antidépresseurs et accroîtrait le risque de syndrome sérotoninergique
En deux ans – c’est à dire de 2014 à 2016, le nombre de mort a doublé, passant donc de 33 000 à 62 500. Et cette tendance ne semble pas faiblir en 2017.
en plus de la dépendance classique clairement identifiée aux composés morphiniques, viennent s’ajouter des phénomènes de sevrage identiques à ceux rencontrés lorsque les patients doivent arrêter les antidépresseurs de type ISRS ou IRSNa.

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TRAMADOL = EFFEXOR

TRAMADOL = OPIOIDE ISRSN (inibiteur de recapture de sérotonine et noradrénaline)

 

Le tramadol sur ordonnances prend la vie plus que tout autres drogues

sevrage

« Le médecin m’a assuré que le tramadol n’est pas addictif et qu’il n’y a avait aucun risque de dépendance, alors, j’ai commencé a le prendre. »

Si on vous prescrit du tramadol : REFUSER DE LE PRENDRE !!!

Togo : la folie du Tramadol

ne jmais faire confiance a un médecin

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Kétamine

effets secondaires hyper fréquents et parfois très graves, cardiaques, neuropsychiques, hallucinations, délires, comas ou même suicides et meurtres, et souvent accoutumance et addiction, et tous, la Kétamine plus encore que les autres, avec le risque grave d’être utilisés comme des drogues par détournement des indications et des doses.
Kétamine / Esketamine, corruption et extrême danger : chronique d’une catastrophe assurée.
« tranquillisant pour chevaux, il est également utilisé comme anesthésique dans les hôpitaux. »
« Les effets secondaires potentiels, notamment les hallucinations, les vertiges, l’anxiété, la psychose et les augmentations de pression artérielle, signifient que le médicament ne peut être administré au patient que sous surveillance dans une clinique – et y être gardé pendant deux heures après chaque dose hebdomadaire, tout en étant surveillé par du personnel formé pour traiter les problèmes hallucinatoires, cardiaques et respiratoires. »
« Au cours de plusieurs années d’essais parrainés par Janssen, six personnes sous Esketamine sont décédées, contre aucune sur placebos. Trois morts étaient des suicides.
La Food and Drug Administration (FDA), l’autorité américaine qui délivre les licences de médicaments, a déclaré qu’il était difficile de considérer les décès comme liés à la drogue. Cependant, le professeur Schatzberg affirme que les décès ressemblent à la façon dont les toxicomanes se suicident lors du sevrage des opioïdes. Deux suicides s’étaient produits dans les trois semaines suivant l’arrêt du traitement.
«Pour moi, ces décès sont liés à l’abandon de la drogue», explique le professeur Schatzberg. »
« Lorsque l’équipe du professeur Schatzberg a introduit un médicament bloquant le fonctionnement de ces récepteurs opioïdes, les effets de la kétamine ont cessé. Cela suggère un risque élevé de devenir dépendant de médicaments à base de kétamine et de souffrir ensuite de douleurs de sevrage. »
La kétamine fait cesser l’activité des neurones qui amènent aux cerveau les informations de l’extérieur. On ne voit plus rien, on n’entend plus rien, on ne sent plus rien, mais on reste éveillé. Alors le cerveau se met à générer lui-même des images, des sons, des sensations. On peut « voir » n’importe quoi : des personnes qu’on a connues, des paysages, Dieu…
prenez en conscience !
Très prisée des toxicomanes, la kétamine, souvent utilisée dans les rave-party, est particulièrement dangereuse, voire mortelle.
« Avant que la kétamine puisse être recommandée en pratique clinique contre la dépression, une recherche approfondie est nécessaire pour comprendre comment utiliser de manière optimale », a-t-il déclaré.
Commercialisée depuis plus de vingt-cinq ans sous forme d’ampoule de kétalar, la kétamine est un agent anesthésique très utilisé dans les services médicaux et vétérinaires. Administrée par voie intraveineuse ­ elle n’a alors aucun effet toxique ­ elle endort un cheval, permet à un anesthésiste de changer les pansements d’un grand brûlé, vient au secours des médecins d’ONG qui opèrent en Afrique sans chirurgie lourde. Effets secondaires: des effets hallucinogènes et des visions au réveil.
Il vendait de la kétamine, un anesthésiant pour animaux, à des clients qui l’utilisaient pour ses effets hallucinogènes. Un pharmacien parisien de 58 ans a été condamné hier par la 31e chambre du tribunal correctionnel de Paris à payer une amende de 4000 € pour vente de produits vétérinaires détournés de leur usage
La kétamine est un produit anesthésiant humain et vétérinaire (anesthésiant pour chevaux …) proche du PCP (attention le PCP est plus dangereux !)
Anesthésique général non barbiturique d’action rapide
La kétamine est utilisée dans la prise en charge d’anesthésies générales.
Déjà étudiée pour ses potentiels bienfaits contre la dépression ou la dépendance à l’alcool, la kétamine pourrait aussi permettre de soigner les migraines incurables.

danger pour la santé

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Les thymorégulateurs, régulateurs d’humeur, lithium… (anticholinergiques)

stabilisateurs de l’humeur: Lithium, Lamictal, Equetro et Depakote
Le lithium est le plus ancien et donc plus étudié. Il provoque la mémoire permanente et la dysfonction mentale, y compris la dépression, et une baisse globale de la fonction neurologique et la qualité de vie. Il peut en résulter dilapidation neurologique sévère de démence, un effet indésirable désastreuse appelé «syndrome de neurotoxicité irréversible de lithium-effectuated » ou SILENT. L’exposition de lithium à long terme provoque également des troubles cutanés graves, l’insuffisance rénale et l’hypothyroïdie. Retrait de lithium peut causer des épisodes maniaco-comme et la psychose. Il est prouvé que Depakote peut provoquer une croissance cellulaire anormale dans le cerveau. Lamictal a de nombreux dangers, y compris les maladies mortelles impliquant la peau et d’autres organes. EQUETRO cas de troubles de la vie en danger peau et supprime la production de globules blancs avec le risque de décès par infections. Retrait de Depakote, Lamictal et Equetro peut provoquer des convulsions et la détresse émotionnelle
lithium
Le lithium « est un métal toxique avec aucune fonction connue dans le corps …. elle interfère avec la transmission nerveuse, en général, ce qui ralentit les réponses au cerveau. »
« Conformément à ses effets toxiques sur le système nerveux, le lithium provoque un tremblement de 30-50 pour cent des patients. Tremblements peuvent être un signe d’avertissement de toxicité grave imminente du cerveau, en particulier si elle se produit avec d’autres signaux de danger, comme la mémoire dysfonctionnement, concentration réduite, ralentissement de la pensée, confusion, désorientation, difficulté à marcher, troubles de l’élocution, une vision floue, des bourdonnements dans les oreilles, des nausées, des vomissements et des maux de tête. Douleurs musculaires et des tics, faiblesse, léthargie et la soif sont d’autres signes communs de toxicité du lithium. Dans les derniers stades de la toxicité du lithium, le patient peut devenir délirant et succomber convulsions et un coma études EEG indiquent un ralentissement anormal des ondes cérébrales dans une partie importante de patients régulièrement traités par lithium;.. l’état s’aggrave avec une toxicité «  (Pour une information complète voir le texte médical du Dr Breggin Brain désactivation traitements en psychiatrie Second Edition .)
Lithium : Les intoxications aiguës, erreur de prise ou intoxication volontaire le plus souvent, peuvent entraîner le décès par défaillance cardiovasculaire et des complications neurotoxiques pouvant donner des séquelles irréversibles (démences, neuropathies diverses).
Les intoxications chroniques, observées lors de traitements mal contrôlés ou d’affections intercurrentes entraînant une diminution de son éli mination rénale, entrainent des troubles gastro-intestinaux à type d’anorexie ou de troubles du transit, des troubles neurologiques avec des symptômes évoquant la maladie de Parkinson et p arfois des convulsions et un coma, des troubles cardiovasculaires tels que des myocardites ou des troubles du rythme, des troubles rénaux avec une insuffisance rénale, au niveau endo crinien on décrit des troubles affectant la thyroïde, la régulation calcique et la glycémie, su r le plan hématologique on peut observer des leucocytoses et même des anémiques aplasiques, enfi n sur le plan cutané on peut observer des psoriasis, de l’acné, ou des angio- oedèmes.
LE LITHIUM
On dit que le Lithium peut aider les gens dont l’humeur change périodiquement de très joyeuse à très mauvaise. Les psychiatres appellent cela le trouble maniaco-dépressif  ou maladie bipolaire. Le lithium fut décrit pour la première fois comme un médicament psychiatrique en 1949 par le psychiatre Australien, John Cade. Selon un traité de psychiatrie:  “Pendant qu’il faisait des expériences sur les animaux, Cade remarqua, presque par hasard, que le lithium rendait les animaux léthargiques, ce qui lui donna l’idée d’administrer cette substance à plusieurs patients psychiatriques agités. ” Selon ce traité: “ce fut un moment clé dans l’histoire de la psychopharmacologie” (Harold I. Kaplan, M.D. & Benjamin J. Sadock, M.D., Clinical Psychiatry (Psychiatrie Clinique), Williams & Wilkins, 1988, p. 342).  Mais si vous ne voulez pas être léthargique, prendre du lithium serait d’un avantage douteux.  Un supporter du lithium comme thérapie psychiatrique admet que le lithium cause : “un sentiment plutôt dépressif , généralement léthargique”. Il appelle ça, “la léthargie standard” causée par le lithium. (Roger Williams, « A Hasty Decision? Coping in the Aftermath of a Manic-Depressive Episode », American Health magazine, Octobre 1991, p. 20). De la même manière, un membre de ma famille fut diagnostiqué comme maniaco-dépressif  et on lui donna une ordonnance pour du carbonate de lithium.. Il me confia, des années plus tard, “Le lithium me protégeait de mes hauts mais pas de mes bas. ” Cela, ne doit pas être une surprise qu’un médicament induisant la léthargie ait cet effet. Aussi surprenant que cela puisse paraître, les psychiatres affirment quelques fois que le lithium  enlève les sentiments de dépression., comme si s’était possible, qu’un médicament induisant la léthargie comme le lithium (ainsi que la plupart des médicaments psychiatriques) n’augmente pas les sentiments de dépression et de malheur – même si on leurs donnent le nom d’antidépresseurs.
les biomyths centrent sur des idées de stabilisation de l’humeur. Mais il n’y a aucune preuve que les médicaments stabilisent l’humeurs. En fait, il est même pas clair que cela fait sens de parler d’un centre de l’humeur dans le cerveau. Un autre morceau de la mythologie qui vise à garder les gens sur les médicaments est que ceux-ci sont censés être neuroprotecteur-mais il n’y a aucune preuve que cela est le cas et, en fait, ces médicaments peuvent entraîner des dommages au cerveau.
« Le mot lithium dérive du terme grec lithos, qui signifie pierre, parce que le lithium provient d’un minerai. C’est un élément chimique proche du sodium et du potassium. Il est largement répandu dans la nature, il est extrait des mines de la Caroline du Nord. L’organisme humain contient des quantités infimes de lithium. Il est prescrit en thérapeutique sous forme de sels (carbonate, sulfate ou acétate de lithium), essentiellement pour la prévention des rechutes des troubles de l’humeur (action thymorégulatrice, du grec thumos, humeur).
En France, ils sont commercialisés sous deux formes (orales) incluant le carbonate de lithium, comprimés dosés à 250 mg et à 400 mg à libération prolongée et le gluconate de lithium en ampoules buvables de 5 à 10 mL »
Les réactions de sevrage du lithium et des anticonvulsivants 
Le sevrage du lithium soulève l’épineuse question de confondre les difficultés de sevrage avec la rechute. En fait, les réactions de sevrage au lithium imitent les mêmes symptômes maniaques qui ont mené au traitement au lithium. Les médecins prescrivent le lithium

essentiellement  pour traiter les manies; souvent, les problèmes de manies suivent le sevrage de lithium. Comment le médecin ou le patient peut-il savoir s’il s’agit de sevrage ou d’un retour au problème psychiatrique original?           
Certains médecins refusent de voir un syndrome spécifique de sevrage du lithium. D’autres suggèrent qu’un syndrome de sevrage véritable du lithium ne peut pas seulement ressembler à de la manie mais que les « tremblements, les étourdissements et quelques fois les crises épileptiques » devraient aussi être observés. Nous croyons toutefois que ces
opinions-ci ne sont que d’autres occasions où les médecins ont, sans plus penser, attribué des réactions de perturbations après un sevrage de la drogue à la «maladie sous-jacente» du patient plutôt qu’au traitement pharmacologique comme tel.           
Le retour rapide de la phase maniaque peut se produire même parmi les patients qui ont pris du lithium pendant des années, sont apparemment «bien stabilisés» et sont sevrés depuis seulement quatre ou cinq jours. Dans une étude, on a substitué la dose de 21 patients précédemment en phase maniaque par des placebos. Ils avaient pris du lithium de façon
continue en moyenne pendant environ quatre ans. Les auteurs écrivent: « En 14 jours de placebos, 11 patients ont rechuté dans un état grave de psychose avec syndromes paranoïde, maniaque et dépressif…La plupart des autres patients qui n’avaient pas rechuté rapportèrent de l’anxiété, de la nervosité, de l’irritabilité et un éveil accru et des troubles du
sommeil.»            
Une recension des écrits a systématiquement examiné quatorze études publiées de sevrage du lithium impliquant 257 patients  «maniaco-dépressifs» avec en moyenne 30 mois de traitement stable de  lithium. Des nouveaux épisodes maniaques, plus de 50 % se sont produits  dans les trois mois de sevrage. On a aussi observé une augmentation dramatique par 28 du risque de nouveaux épisodes maniaques pour les patients récemment sevrés du lithium. Une autre recension d’études, publiées ou inédites, sur le sevrage du lithium arrivèrent à des conclusions semblables. Ces preuves amenèrent un médecin à déclarer candidement: « De francs symptômes maniaques sont les caractéristiques qui définissent les effets significatifs du sevrage et apparaissent être comparables dans leur gravité à ceux qui se manifestent généralement dans les maladies de manies et requièrent généralement une hospitalisation.»            
Une augmentation de l’énergie et de l’éveil, une réaction émotionnelle accrue, une concentration plus vive et une baisse de la soif sont souvent rapportées même chez les patients qui n’éprouvent pas de manie pendant leur sevrage.            
Un éditorial du British Journal of Psychiatry soutient ouvertement que lorsque des patients prennent du lithium pendant moins de deux ans, il est très fréquent qu’ils traversent des
épisodes maniaques peu de temps après le sevrage. L’auteur, un psychiatre, croit qu’il s’agit  de véritables effets de sevrage et recommande d’informer les patients du danger avant qu’ils
décident de se soumettre à un traitement au lithium. Néanmoins, le même psychiatre maintient que de prendre du lithium pendant plus de dix ans ne comporte pas ce risque de sevrage. Cette conclusion contredit l’expérience clinique bien acceptée qui indique que plus longtemps la drogue est prise, plus grand est le risque de réactions de sevrage.            
Les psychiatres ont commencé tardivement à réaliser que la récurrence rapide de manies après le sevrage de lithium est un véritable effet de sevrage. Toutefois, il n’y a aucun doute que plusieurs médecins continuent d’attribuer la manie provoquée par le sevrage à la « maladie chronique » de leurs patients. Ces médecins persistent ensuite à exposer leurs patients au lithium malgré ses effets néfastes à long terme.            
LeTegretol (carbamazépine) est un anticonvulsant largement utilisé pour traiter plusieurs problèmes, y compris la manie. Au moment du sevrage, le Tegretol peut provoquer des explosions de colère – dont la paranoïa, l’hostilité et l’agitation – chez les personnes qui étaient déjà perturbées. Ces réactions de sevrage peuvent aussi se produire chez des
individus qui sont stables mentalement, comme dans un cas documenté impliquant un patient traité pour un trouble physique. D’autres anticonvulsants ou anti-épileptiques, comme le Depakene (acide valproïque), le Depakote (divalproex sodium), et le Dilantin
(phenytoin), sont aussi largement prescrits en psychiatrie. Le risque de crises doit être considéré lors d’un sevrage de n’importe quel anticonvulsant, qu’il y ait présence ou non de convulsions précédemment. D’autres symptômes communs de sevrage d’anticonvulsants peuvent aussi inclure l’anxiété, les contractions musculaires, les tremblements, la faiblesse, la nausée et les vomissements.
Le lithium possède un effet antithyroïdien qui est désormais bien documenté. Cependant les mécanismes en cause sont complexes et encore hypothétiques. Il semblerait que le lithium concentré dans la thyroïde diminuerait l’absorption d’iode nécessaire à la formation de la T3 et T4. Il en résulte bien souvent une hypothyroïdie infraclinique (TSH normale et souvent dans la fourchette, T4 basse) et parfois une véritable hypothyroïdie.
Le lithium est le thymorégulateur (avec le valproate de sodium) qui induit le plus de tremblements (30). La prévalence varie entre 4 % et 65 % 4 et est dose dépendante 4.1. Ce sont classiquement des tremblements d’attitude 4.2 mais qui peuvent également survenir au repos. Rappelons que la majoration d’un tremblement est l’un des signes les plus précoces en cas de surdosage et un dosage en urgence sera pratiqué au moindre doute.
Lithum et autres régulateurs d’humeur : Lithium (1949)
Réputation de n’avoir aucun effet sur les facultés mentales ni sur les facultés affectives ni sur le commportement, n’enlevant que les symptomes indésirables (1970).
Aucune étude globale sur des primates n’a été faite avant la commercialisation en masse, probablement dû au fait que les études sur les animaux produisent des résultats très négatifs.
Symptômes de sevrage

Peut produire des épisodes maniaques.
Démence induite et autres détériorations neurologiques graves.
Cas de dialyse antitoxique du lithium: peuvent tomber en démence.
Séquelles persistantes chez 30% des patients examinés.
stabilisateur de l’humeur : Utilisés pour soigner le trouble bipolaire2, les stabilisateurs de l’humeur peuvent également être utilisés chez les patients souffrant de manie, d’hypomanie et de dépression. Plusieurs des médicaments anticonvulsivants, utilisés pour contrôler l’épilepsie, sont aussi efficaces dans le traitement de la manie et de la bipolarité. Chez certains patients, un stabilisateur de l’humeur ne sera pas suffisant et devra être combiné avec d’autres médicaments1. les thymorégulateurs sont également utilisés pour traiter le trouble de la personnalité borderline3 et la schizophrénie dysthymique.
Plusieurs stabilisateurs de l’humeur ont des effets secondaires tels que la soif, la prise de poids, la somnolence, des nausées et des problèmes variables de concentration. Des tremblements, des étourdissements, un déséquilibre intestinal et des rougeurs (irruption cutanée) peuvent aussi se manifester. La majorité de ces effets secondaires s’amenuisent avec le temps1.
Les principaux thymorégulateurs possédant une autorisation de mise sur le marché en France dans cette indication sont les sels de lithium, la carbamazépine et l’acide valproïque. Dans d’autres pays, d’autres molécules ont reçu l’autorisation de mise sur le marché dans cette indication : la lamotrigine aux États-Unis.
tératogène, risque de fractures, méningites, risque de suicide…
empoisonnement médicamenteux, syndrome de stevens johnson, syndrome de lyell souvent mortel.
Le risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de lyell serait de 1 pour mille chez l’adulte et passerait à 1 pour 50 ou 100 chez l’enfant (moins de 16 ans).
Le sevrage du lithium soulève l’épineuse question de confondre les difficultés de sevrage avec la rechute. En fait, les réactions de sevrage au lithium imitent les mêmes symptômes maniaques qui ont mené au traitement au lithium
« De fortes preuves démontrent que ces médicaments mettent en danger la santé et la vie des adultes qui les prennent »
Les médicaments psychiatriques ne valent rien, et la plupart sont dangereux. Plusieurs causent des dommages permanents au cerveau, aux doses habituellement utilisées. Ces médicaments ainsi que la profession qui défend leur utilisation sont dangereux pour votre santé.
En 1957 un pharmacologue a déploré le mode de traitement « par empoisonnement de lithium »
Donc, il y a la preuve sur le lithium et le suicide
S’assurer que les femmes prenant du Valproate de sodium(dépakine, dépakote…) (1000mg et plus) soient conscientes qu’elles ont environ 30% de chance d’avoir un enfant ayant un handicap.
Anticholinergique faible
.
« Si vous restez sur le lithium pour votre vie, comme votre médecin vous le dit, vous avez un risque très élevé de graves troubles mentaux »
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Le lithium tue (après la 25 ème minute) : il est si toxique, que quand il a été utilisé, sous forme de sel, dans les shakers, il a tué des gens.

« les régulateurs d’humeur sont bien plus dangereux que les antidépresseurs »

 

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Les bêtabloquants et antihypertenseurs (anticholinergiques)

Contrairement aux affirmations des médecins, et des gouvernements les bêta-bloquants et antihypertenseurs, provoquent une dépendance (même si celle ci est moins forte que les benzodiazépines) et des symptômes de sevrage chez une large majorité de victimes.
les dangers de la toxicomanie aux bêtabloquants et antihypertenseurs
Les médicaments bêta-bloquant sont maintenant considéré comme dangereux pour la santé publique
De nouvelles preuves montrant que les médicaments bêta-bloquants augmentent le risque des patients d’AVC, de crises cardiaques et le diabète a conduit à 2 millions de Britanniques être retiré de la drogue pour la pression artérielle.
il existe un risque de syndrome de sevrage à l’arrêt d’un traitement chronique par ß-bloquants caractérisé par une augmentation de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle et un risque d’arythmie ou d’ischémie myocardique. Ceci est lié à un effet des ß-bloquants sur la densité des récepteurs ß-adrénergiques postsynaptiques, qui conduit à un état d’hypersensibilité de ces récepteurs, avec une réponse hyperadrénergique au stress en cas de retrait brutal du médicament
Les tremblements fréquents qui peuvent être graves sont l’un des symptômes les plus courants du sevrage des bêta-bloquants.
Les réactions au sevrage des anticholinergiques, l’exemple des antiparkinsoniens
Ces produits sont aussi décrits comme « anticholinergiques » à cause de leur action chimique de suppression de l’activité cholinergique du cerveau. L’hypersensibilité cholinergique provoque une large partie des effets de sevrage des médications antiparkinsoniennes qui ressemblent aux tricycliques et aux neuroleptiques et peuvent être également complexes et variées. Plusieurs études ont démontré des symptômes semblables à la grippe, comme la nausée, les vomissements, les frissons, la faiblesse et les maux de tête de même que l’insomnie et la nervosité qui se produisent lors de la période de sevrage.
syndrome prolongé de sevrage aux antihypertenseurs et bêta-bloquants
Le sevrage brutal ou la diminution trop rapide d’un grand nombre, mais pas tous, des médicaments antihypertenseurs peuvent généralement entraîner des symptômes de l’hyperactivité et de régulation à la hausse aiguë des récepteurs adrénergiques bêta du système nerveux sympathique similaires à celles des médicaments psychotropes puissants, provoquant l’hypertension de rebond pire que l’hypertension il est le traitement, les attaques de panique, l’anxiété, la dépression et d’idées suicidaires.
Il existe de nombreuses raisons pour tenter de retirer un médicament antihypertenseur.
le Le plus évident est quand un médicament nouvellement introduit cause un effet secondaire, lorsque le médicament est simplement arrêté. Une autre raison est le développement de symptômes hypotensifs en raison des effets des drogues
Donné pour d’autres conditions co-morbides (telles que les préparations de L-Dopa pour la maladie de Parkinson), ou
Les effets d’autres conditions (comme le développement de l’hypotension orthostatique en
La maladie de Parkinson, ou l’abaissement de la tension artérielle et l’instabilité autonome associée
Avec le début de la démence [ 1] ). Une autre justification potentielle pour retirer l’antihypertenseur
Les symptômes et les effets suivants du retrait des bêta-bloquants sont souvent ressentis par les patients:
Les tremblements fréquents qui peuvent être graves sont l’un des symptômes les plus courants du retrait des bêta-bloquants.
Lorsque le bloqueur bêta est arrêté brusquement, les problèmes de fonctionnement cardiaque, pour lesquels le médicament a été prescrit, peuvent se reproduire. Ceci est un effet commun du retrait du bloqueur bêta. Cela peut encore provoquer une hypertension artérielle, une angine ou une douleur thoracique et augmenter le risque d’insuffisance cardiaque et de crise cardiaque
Comme effet du retrait du bloqueur bêta, le flux sanguin vers le cœur augmente et peut provoquer une transpiration accrue.
De même, l’ essoufflement fréquent, même sans mettre autant d’effort physique, est également un autre symptôme fréquemment rencontré du retrait des bêta-bloquants.
Les maux de tête fréquents et la migraine sont l’un des effets courants du retrait des bêta-bloquants.
Les crampes et les douleurs dans différentes parties du corps, même si elles sont actives, sont également un effet très fréquent du retrait des bêta-bloquants.
Un autre symptôme généralement expérimenté du retrait des bêta-bloquants se révèle fragile et même évanoui.
Le rythme cardiaque irrégulier, connu sous le nom d’arythmie, peut également résulter du retrait du bloqueur bêta.
D’autres symptômes communs du retrait des bêta-bloquants incluent le gain de poids, les pieds froids et la fatigue.
Certains des symptômes moins fréquents du retrait des bêta-bloquants, qui sont plus importants chez les patients atteints d’un système immunitaire plus faible comprennent :
Dépression et stress
L’insomnie et les problèmes de sommeil
Outre les signes ci-dessus, les effets du retrait du bloqueur bêta peuvent également être liés à l’ hyperthyroïdie . L’hyperthyroïdie présente des symptômes tels que des tremblements , une anxiété accrue et une fréquence cardiaque. Comme ces symptômes sont semblables aux symptômes du retrait du bêta-bloquant, il peut être difficile de différencier les deux. Cela peut rendre difficile le diagnostic de l’état et il existe des risques de retard dans le traitement, ce qui peut affecter gravement la santé.
Les effets du retrait des bêta-bloquants sont également ressentis sur les triglycérides et le taux de cholestérol. Le retrait soudain du bloqueur bêta peut réduire le bon cholestérol et augmenter le mauvais cholestérol, ce qui peut affecter la santé dans une grande mesure.
L’utilisation de bêta-bloquants sur une période prolongée réduit la fréquence cardiaque et elle semble fonctionner normalement. En cas de retrait soudain du bêta-bloquant, l’adrénaline dans votre corps peut devenir plus sensible, ce qui peut augmenter soudainement la fréquence cardiaque. Cela met l’excès de tension sur le cœur, ce qui peut augmenter le risque de crise cardiaque.
Le blocage de l’artère coronaire est assez fréquent et peut souvent provoquer une angine ou une douleur thoracique. Comme effet du retrait des bêta-bloquants, il existe de plus grandes chances de douleurs thoraciques et aussi de crises cardiaques ou d’infarctus du myocarde.
Les bêta-bloquants sont utilisés pour traiter l’hypertension ou l’hypertension. Si les bêta-bloquants sont soudainement arrêtés, la pression artérielle peut recommencer à augmenter. En outre, les effets du retrait du bloqueur bêta peuvent provoquer une anxiété et un stress accrus, qui peuvent présenter des symptômes comme la palpitations et la transpiration excessive.
L’arrêt soudain des bêta-bloquants peut causer de nombreux symptômes indésirables et nécessite souvent une surveillance.
Les symptômes et les effets du retrait des bêta-bloquants sont surtout perceptibles, mais parfois peuvent être confondus avec les symptômes d’autres troubles. Par conséquent, il est nécessaire que les bêta-bloquants, si nécessaire pour arrêter, doivent être effectués de manière appropriée et uniquement avec des conseils médicaux. Les médecins conseillent habituellement une diminution de dose, ce qui aide à réduire progressivement la dose et surveille également les paramètres de santé spécifiques. Cela permet au corps de s’adapter lentement à des doses réduites, réduisant ainsi le risque de symptômes indésirables et les effets du retrait des bêta-bloquants.
syndrome de sevrage aux bêta-bloquants
Si on utilise un bêtabloquant pendant un certain temps, son corps peut devenir dépendant de la drogue. Les symptômes de sevrage des bêta-bloquants découlent de la dépendance à l’égard de l’organisme sur le médicament.
La meilleure façon de prévenir les symptômes de sevrage aux bêta bloquants est de réduire la dose graduellement.
les bêta-bloquants, lorsqu’ils sont utilisés sur une base régulière, peut entraîner une dépendance physique.
L’un des premiers signes éprouve des palpitations cardiaques, accompagnées d’essoufflement, sueurs abondantes et une respiration sifflante. Violents maux de tête, douleurs corporelles, vomissements nausées induites et des crampes abdominales intenses peuvent aussi être remarqués chez les individus qui se retirent de ce médicament à la fois.
Tremblements corporelles peuvent également être observés chez ces personnes. Tremblements dans les mains peuvent être assez visibles et la personne est incapable d’organiser quoi que ce soit régulièrement.
Brusque qui découlent de la drogue peut augmenter la sensibilité à l’égard d’adrénaline. Cela peut accroître les risques d’hypertension artérielle, qui à son tour donne naissance à rythme cardiaque irrégulier.Une fréquence cardiaque élevée peut exercer une pression sur le muscle cardiaque et augmenter la pression sur l’artère coronaire. S’il y a un blocage dans l’artère, puis elle peut aussi conduire à du surmenage des muscles du coeur. Tous ces facteurs peuvent augmenter le risque d’une crise cardiaque ou infarctus du myocarde, qui est un résultat des muscles cardiaques endommagés.
Les patients hypertendus qui se retirent de cette drogue de prescription soudain peuvent éprouver malaise, une augmentation soudaine et forte pression artérielle, tachycardie sinusale, qui est un rythme cardiaque rapide et irrégulier, originaires du nœud du cœur et des palpitations, etc..
Il y a des chances d’un patient, développement de l’hyperthyroïdie, due à la sécrétion des hormones thyroïdiennes, qui peut entraîner une crise thyréotoxique. Cette condition peut devenir mortellement exacerbée, si le diagnostic n’est pas rapide et médicaments pour normaliser l’État ne sont pas administrés.
Patients souffrant de maladies cardiovasculaires peuvent remarquer leur condition aggravation si elles prennent des bêta-bloquants de manière aveugle. Les symptômes de l’angine de poitrine peuvent devenir intenses et se retrouvent dans l’accident vasculaire cérébral, qui peut s’avérer fatale.
l’arrêt brutal peut entraîner un syndôme de sevrage
Il existe sept types de médicaments antihypertenseurs. Le point sur les traitements de l’hypertension.
Liste des médicaments diurétiques : Aldactone, Esidrex, Eurelix, Fludex, Furosémide Génériques, Indapamide Génériques, Lasilix, Modamide, Spiroctan, Spironolactone Génériques, Spironone, Tenstaten
Liste des médicaments diurétiques en association : Aldactazine, Amiloride, Hydrochlorothiazide Génériques, Isobar, Modurétic, Prestole, Spiroctazine, Spironolactone Altizide
Liste des médicaments bêtabloquants : Acébutolol Génériques, Artex, Aténolol Génériques, Avlocardyl, Betatop, Bisoprolol Génériques, Célectol, Céliprolol Génériques, Corgard, Detensiel, Kerlone, Lopressor, Métoprolol Génériques, Mikelan, Nebilox, Nébivolol Génériques, Propranolol Génériques, Sectral, Seloken, Temerit, Ténormine, Timacor, Trandate, Trasicor, Visken
Liste des inhibiteurs de l’enzyme de conversion : Acuitel, Bénazépril Génériques, Briem, Captopril Génériques, Cibacène, Cilazapril Génériques, Coversyl, Énalapril Génériques, Fosinopril Génériques, Fozitec, Justor, Korec, Lisinopril Génériques, Lopril, Moex, Odrik, Périndopril Génériques, Prinivil, Quinapril Génériques, Ramipril Génériques, Renitec, Tanatril, Trandolapril Génériques, Triatec, Zestril, Zofenil
Liste des inhibiteurs de l’angiotensine II : Alteis, Aprovel, Atacand, Cozaar, Kenzen, Losartan Génériques, Micardis, Nisis, Olmetec, Pritor, Tareg, Teveten
Les inhibiteurs de la rénine
Liste des inhibiteurs calciques : Adalate LP, Amlodipine Génériques, Amlor, Baypress, Caldine, Chronadalate, Deltazen, Diacor, Dilrène, Diltiazem Génériques, Félodipine Génériques, Flodil, Icaz, Iperten, Isoptine, Isoptine LP, Lercan, Lercanidipine Génériques, Loxen, Mono-Tildiem, Nidrel, Nifédipine LP Génériques, Nitrendipine Génériques, Vérapamil Génériques, Zanidip
Liste des vasodilatateurs : Alpress, Doxazosine Génériques, Eupressyl, Lonoten, Médiatensyl, Minipress
Association d’antihypertenseurs : la liste des médicaments
Bêtabloquants + inhibiteurs calciques : Bêta-Adalate, Logimax, Tenordate
Bêtabloquants + diurétiques : Bisoprolol Hydrochloro- Thiazide Génériques Conebilox Lodoz Logroton Moducren Temeritduo Tenoretic Trasitensine Viskaldix Wytens
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion + diurétiques : Acuilix, Benazepril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Bipreterax, Briazide, Captea, Captopril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Cibadrex, Co-Renitec, Cotriatec, Ecazide, Énalapril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Fosinopril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Foziretic, Koretic, Lisinopril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Périndopril Indapamide Génériques, Preterax, Prinzide, Quinapril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Zestoretic, Zofenilduo
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion + inhibiteurs calciques : Coveram, Lercapress, Tarka, Zanextra
Inhibiteurs de l’angiotensine II + diurétiques : Alteisduo, Coaprovel, Cokenzen, Coolmetec, Cotareg, Coteveten, Fortzaar, Hytacand, Hyzaar, Losartan Hydrochloro-Thiazide Génériques, Micardisplus, Nisisco, Pritorplus
Inhibiteurs de l’angiotensine II + inhibiteurs calciques : Axeler, Exforge, Exforge Hct, Sevikar
Inhibiteurs de la rénine + diurétiques : Rasilez Htc
Réserpine + diurétique : Tensionorme

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Les antidépresseurs (anticholinergiques)

Contrairement aux affirmations des médecins, et des gouvernements les antidépresseurs provoquent tous une très forte dépendance et des symptômes de sevrage sévères chez une large majorité de victimes
L’effet des antidépresseurs peut se rapprocher de celui de l’ecstasy qui provoque le relâchement de grandes quantités de sérotonine aux terminaisons nerveuses des neurones
Par le professeur Breggin
En 2003-2004 (ci-dessous), j’ai écrit sur le syndrome de stimulation ou d’activation des réactions indésirables causées par les antidépresseurs SSRI qui sont très dangereux et ressemblent beaucoup aux effets de l’amphétamine et de la cocaïne
Principes des addictions psychiatriques (Toxic psychiatry
«effets similaires de la fluoxétine à ceux de la cocaïne sur la sérotonine» »
Les victimes d’un syndrôme de sevrage aux antidépresseurs sont environ : 78% pour effexor, 66% pour le déroxat / séroxat / paxil, 60% pour le zoloft et 55% pour les IMAO
mais très dangereux !
conseils pour un bon sevrage
pour les activistes vidtimes d’effexor et leurs soutients
potentiellement mortel
il ne touche qu’un faible pourcentage de victimes mais peut duré des mois voir des années
Il s’agit d’un antidépresseur proche des amphétamines, inhibiteur du recaptage de la dopamine et de la noradrénaline
La cocaïne agit en bloquant la recapture de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, la noradrénaline et la sérotonine.
la revue prescrire demande l’interdiction de : Cymbalta, Ixel, valdoxan, effexor, stablon, zyban, champix….
L’Agence nationale du médicament a décidé de classer les médicaments à base de tianeptine comme stupéfiants. Le plus connu d’entre eux est l’antidépresseur Stablon®. Pourquoi cette décision ? « En raison d’un risque de pharmacodépendance, d’abus et d’usage détourné » a motivé l’ANSM. Concrètement, suite à ce changement de classe thérapeutique, le Stablon® (comme tous les médicaments à base de tianeptine administrés par voie orale) fera l’objet de conditions particulières de prescription et de délivrance. La décision publiée auJournal officiel du 8 juin 2012sera effective à partir du 3 septembre 2012
Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.
Danger des antidépresseurs inibiteur de recapture de sérotonine: ISRS
« considérant les avantages et les risques, nous pensons que cette préparation est totalement inadapté pour le traitement de la dépression »
Collection de plus de 4800 histoires et nouvelles avec de nombreux articles de médias disponibles.Antidépresseur : inibiteur sélectif de recapture de sérotonine (ISRS)
procès, conseils,sevrage…prozac, norset, deroxat, effexor, paxil, cymbalta…Corruptions et fraudes
Apprendre tout sur le sevrage de tous les antidépresseurs: inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ISRS et inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (SNRI) …
Des dizaines de témoignages l’affirment, et d’éminents médecins le confirment : certains antidépresseurs peuvent vous faire tomber dans l’alcool. Ce risque concerne une classe de médicaments précise : les “inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine” ou ISRS. Ces molécules, dont la plus célèbre a été lancée en 1986 sous le nom de Prozac, étaient présentées comme des médicaments miracles. Aujourd’hui, ils sont accusés d’être peu efficaces et de créer de sévères dépendances. De plus, leurs effets indésirables peuvent s’avérer redoutables. On connaissait, entre autres, le risque de suicide augmenté, les pulsions agressives, voire meurtrières, les comportements compulsifs (jeu, shopping, etc.), l’accroissement de 87 % du risque d’autisme pour l’enfant exposé in utero. Quelques jours après la publication d’Effets secondaires, le scandale français (1), faut-il ajouter l’alcoolisme à la longue liste des effets secondaires des ISRS ?
“On peut dire que les IRS ont beaucoup d’effets secondaires… dont la mort ! lance le docteur Bruno Toussaint, directeur éditorial de la revue Prescrire (3). En juin 2015, Prescrire a écrit, dans un article intitulé “Antidépresseurs IRS et venlafaxine : intoxications à l’alcool avec violences” : “Selon quelques centaines d’observations, certains antidépresseurs semblent exposer à une augmentation de la consommation d’alcool, à des signes d’intoxication à l’alcool exagérés, avec des manifestations d’agressivité. Il s’agit notamment des ISRS et de la venlafaxine.”
Pour Bruno Toussaint, il existe manifestement un lien entre les IRS et la consommation d’alcool. Mais, comme tous les comportements – y compris les pulsions meurtrières, suicidaires –, ces effets sont difficiles à répertorier et à quantifier. On pourrait dire que ce n’est ni bien décrit ni bien “rangé” dans les bases de données pharmacologiques. Et puis, l’interaction d’une personne et d’une substance est déjà un phénomène complexe, alors imaginez si l’on ajoute l’alcool à l’équation…”
Selon des estimations prudentes, la «deuxième génération» des antidépresseurs, en particulier les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS) provoque environ 400 décès par an en Australie de l’induction du suicide. Ils ont tous un profil similaire pour l’induction de la violence, avec les plus énergisants plus récents plus fortement impliqués. Les essais cliniques présentés aux États-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) et d’autres études ont montré qu’ils produisaient un risque important de suicide. Les antipsychotiques atypiques produisent plus de décès par suicide de nouveau, et les événements cardiovasculaires. Les médicaments en cause sont le Prozac (fluoxétine), Zoloft (sertraline), Aropax (paroxétine), Luvox (fluvoxamine), Cipramil (citalopram), Lexapro (escitalopram), Zyban (bupropion), Efexor (venlafaxine) et le Serzone (néfazodone) , maintenant retiré et autres. Les antipsychotiques sont Zyprexa (olanzapine) et Risperdal (rispéridone) et quelques autres.


Antidepresseurs / psychotropes : peu de bénéfices, beaucoup de dégâts

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Les anti-épileptiques (anticholinergiques)

Et les anticonvulsivants sont maintenant utilisés comme régulateurs d’humeurs (normothymique) et comme traitement des troubles bipolaires
Scoliose, troubles musculo-squelettiques, retards de langage, troubles du comportement… Ces souffrances sont aujourd’hui le lot commun de ceux que l’on appelle désormais « les enfants dépakine », du nom de ce médicament nocif pour le fœtus, que 14 322 femmes enceintes, selon les derniers chiffres publiés mercredi 24 août 2016 par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, ont pris pendant leur grossesse pour soigner leur épilepsie ou leurs troubles bipolaires, entre 2007 et 2014, et des milliers d’autres encore non évaluées avant elles
Un pesticide de la famille des triazines
tégrétol / carbamazépine
j’avais des souvenirs dramatiquement plus nuancés. Stagiaire en Médecine Interne, j’avais vu des problèmes hématologiques gravissimes provoqués par le Tégrétol®. Un « p’tit jeune » de 19 ans qui se retrouve avec trois globules blancs au lieu des 10000 réglementaires, ça peut mourir d’une septicémie, même dans un CHU… En dermatologie, quelques cas de desquamations spectaculaires avaient frappé ma mémoire aussi… sauvés de justesse ceux-là – au prix de soins épouvantables et prolongés. Par contre la jeune fille qui avait perdu sa peau (toute sa peau : syndrome de Lyell ou Stevens-Johnson) à cause d’une réaction allergique, n’était plus là pour s’en plaindre. Bref… l’image de ce produit, pas forcément efficace dans les indications psy, potentiellement dangereux voire mortel, était chez moi bien écornée par ces souvenirs laissés par l’école de médecine avant ma spécialisation en psy. Les rares fois que, jeune interne, j’émettais poliment un doute ou faisais allusion aux risques inhérents à ce médicament, on me rigolait au nez : « on ne peut pas laisser les malades sans aide médicamenteuse, ce serait criminel ! Et puis l’impulsivité ! Imagine ce qui se passerait si… Et puis le Lyell au Tégrétol®, moi, je n’en ai jamais vu ! »
L’augmentation de la prescription et de la délivrance de ce produit, largement hors AMM (qui, rappelons-le, ne concerne que l’épilepsie), pose donc problème et laisse envisager des modifications de statut de ce médicament
La chanteuse Stevie Nicks a rendu public les dangers de Klonopin / rivotril en décrivant sa propre désintoxication comme étant » infernale « et pire que de se retirer de la cocaïne ou de l’héroïne.
« les propriétés pharmacologiques du Neurontin (et lyrica) (actions thérapeutiques, les effets indésirables, et les symptômes de sevrage) sont similaires à ceux des benzodiazépines et d’autres sédatifs / hypnotiques.
Le risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de lyell serait de 1 pour mille chez l’adulte et passerait à 1 pour 50 ou 100 chez l’enfant (moins de 16 ans).
Et, comme d’habitude en France, où tout ce que les médecins ne connaissent pas relève d’un psychosomatique tellement vague qu’il se prête à tout, ces effets secondaires seront mis sur le compte du psychisme du malade
Les analyses médicaments de la FDA ont montré que les patients recevant des médicaments antiépileptiques avait environ deux fois le risque de comportement suicidaire ou d’idées
L’agence du médicament rappelle que l’Epitomax (topiramate), un antiépileptique et antimigraineux, ne doit pas être utilisé comme coupe-faim.
Topamax peut causer un certain type de déséquilibre électrolytique, appelé acidose métabolique. C’est une complication fréquente avec la médecine et peut devenir un problème si elle dure trop longtemps
La drogue peut également causer des problèmes cognitifs (par exemple, confusion, problèmes de concentration ou attention, perte de mémoire et problèmes d’élocution) ou troubles psychiatriques (tels que dépression, anxiété, hallucinations, paranoïa et suicidaire actions ou pensées).
Parmi les effets secondaires Topamax plus communs (et moins dangereux) qui ont été signalés fatigue, somnolence, perte d’appétit et nausées. 
Sur la liste des effets secondaires de l’Epitomax, on trouve notamment des risques « au niveau rénal, oculaire ou métabolique« . Une diminution de l’efficacité de la contraception oestro-progestative chez la femme, ainsi que des risques de malformations du foetus en cas de grossesse sont également signalés.
L’activité antiépileptique pourrait être liée à une inhibition des canaux sodiques voltage-dépendants, à une augmentation de l’effet du GABA sur les récepteurs GABA-A ainsi qu’à un blocage des récepteurs glutamatergiques kaïnate/AMPA.
Une augmentation des concentrations cérébrales de GABA et de ses 2 métabolites (homocarnosine et pyrrolidinone ) pourrait contribuer à l’activité antiépileptique
Pour limiter tout risque d’effets secondaires, l’allopurinol est contre-indiqué lors d’hyperuricémie asymptomatique, c’est-à-dire lorsque le taux d’acide urique (sanguin) est élevé mais qu’aucun symptôme n’est présent (pas de goutte, pas de douleurs, etc).Principaux effet secondaires– Irritations de la peau (urticaires, éruptions cutanées, etc.), ces effets secondaires apparaissent dans 5 à 10% des cas. Beaucoup plus rarement, réactions cutanées parfois graves avec des syndromes d’hypersensibilité (allergie) comme les syndromes de Lyell, de Stevens-Johnson et DRESS (en anglais pour Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms). Ces toxidermies sévères semblent avoir une prédominance féminine. Il faut savoir que ces effets secondaires surviennent en général dans les 2 mois après l’instauration du traitement. En cas de symptômes comme de la fièvre, des éruptions cutanées, une hypersensibilité ou tout autre symptôme n’ayant rien à voir avec la goutte, veuillez immédiatement arrêter le traitement.NE REPRENEZ JAMAIS LE TRAITEMENT. SI L’ALLOPURINOL vous a provoqué des effets secondaires, notamment des signes affectant la peau, car en cas de nouvelle prise les effets secondaires pourraient être bien pires et parfois mener à la mort.
FDA ALERT [1/31/2008] : environ deux fois le risque de comportement suicidaire ou idées . FDA ALERT [12/12/2007] : dangereux voire mortels réactions cutanées (syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique),
L’APESAC s’occupe des intoxications du foetus aux anticonvulsivants ou régulateurs de l’humeur, prescrits à la mère pendant la grossesse, pour épilepsie ou troubles bipolaires : Tous ces anticonvulsivants (Dépakine, Dépakote, Dépamide, Keppra …), sans exception, sont tératogènes.
L’APESAC s’occupe des intoxications du foetus aux anticonvulsivants ou régulateurs de l’humeur, prescrits à la mère pendant la grossesse, pour épilepsie ou troubles bipolaires : Tous ces anticonvulsivants (Dépakine, Dépakote, Dépamide, Keppra …), sans exception, sont tératogènes.
Association belge des Victimes du Syndrome Valproate
La prise de Dépakine pendant la grossesse entraîne un risque de 30 à 40% de troubles de développement chez les enfants, ainsi que 11% de malformations à la naissance.
Suisse
Angleterre
Angleterre
 une nouvelle étude examine si les médicaments prescrits pour contrôler les crises peuvent augmenter le risque de symptômes psychotiques chez certaines personnes. Après avoir examiné plus de dix ans de dossiers médicaux des patients traités pour l’épilepsie, les chercheurs ont conclu que jusqu’à une personne sur sept cas de patients souffrant d’épilepsie qui ont ensuite été diagnostiqués avec la psychose pourrait être attribuée à un effet indésirable des médicaments anti-épileptiques.
L’avocat des familles des victimes, Charles Joseph-Oudin, estime quant à lui que 35 000 personnes auraient été victimes de ce médicament produit par le laboratoire Sanofi depuis 1967. « Sur la base de ce chiffre, on peut calculer le nombre d’enfants victimes »
stabilisateurs de l’humeur: Lithium, Lamictal, Equetro et Depakote
Le lithium est le plus ancien et donc plus étudié. Il provoque la mémoire permanente et la dysfonction mentale, y compris la dépression, et une baisse globale de la fonction neurologique et la qualité de vie. Il peut en résulter dilapidation neurologique sévère de démence, un effet indésirable désastreuse appelé «syndrome de neurotoxicité irréversible de lithium-effectuated » ou SILENT. L’exposition de lithium à long terme provoque également des troubles cutanés graves, l’insuffisance rénale et l’hypothyroïdie. Retrait de lithium peut causer des épisodes maniaco-comme et la psychose. Il est prouvé que Depakote peut provoquer une croissance cellulaire anormale dans le cerveau. Lamictal a de nombreux dangers, y compris les maladies mortelles impliquant la peau et d’autres organes. EQUETRO cas de troubles de la vie en danger peau et supprime la production de globules blancs avec le risque de décès par infections. Retrait de Depakote, Lamictal et Equetro peut provoquer des convulsions et la détresse émotionnelle
Les réactions de sevrage du lithium et des anticonvulsivants 
Le sevrage du lithium soulève l’épineuse question de confondre les difficultés de sevrage avec la rechute. En fait, les réactions de sevrage au lithium imitent les mêmes symptômes maniaques qui ont mené au traitement au lithium. Les médecins prescrivent le lithium
essentiellement  pour traiter les manies; souvent, les problèmes de manies suivent le sevrage de lithium. Comment le médecin ou le patient peut-il savoir s’il s’agit de sevrage ou d’un retour au problème psychiatrique original?           
Certains médecins refusent de voir un syndrome spécifique de sevrage du lithium. D’autres suggèrent qu’un syndrome de sevrage véritable du lithium ne peut pas seulement ressembler à de la manie mais que les « tremblements, les étourdissements et quelques fois les crises épileptiques » devraient aussi être observés. Nous croyons toutefois que ces
opinions-ci ne sont que d’autres occasions où les médecins ont, sans plus penser, attribué des réactions de perturbations après un sevrage de la drogue à la «maladie sous-jacente» du patient plutôt qu’au traitement pharmacologique comme tel.           
Le retour rapide de la phase maniaque peut se produire même parmi les patients qui ont pris du lithium pendant des années, sont apparemment «bien stabilisés» et sont sevrés depuis seulement quatre ou cinq jours. Dans une étude, on a substitué la dose de 21 patients précédemment en phase maniaque par des placebos. Ils avaient pris du lithium de façon continue en moyenne pendant environ quatre ans. Les auteurs écrivent: « En 14 jours de placebos, 11 patients ont rechuté dans un état grave de psychose avec syndromes paranoïde, maniaque et dépressif…La plupart des autres patients qui n’avaient pas rechuté rapportèrent de l’anxiété, de la nervosité, de l’irritabilité et un éveil accru et des troubles du
sommeil.»            
Une recension des écrits a systématiquement examiné quatorze études publiées de sevrage du lithium impliquant 257 patients  «maniaco-dépressifs» avec en moyenne 30 mois de traitement stable de  lithium. Des nouveaux épisodes maniaques, plus de 50 % se sont produits  dans les trois mois de sevrage. On a aussi observé une augmentation dramatique par 28 du risque de nouveaux épisodes maniaques pour les patients récemment sevrés du lithium. Une autre recension d’études, publiées ou inédites, sur le sevrage du lithium arrivèrent à des conclusions semblables. Ces preuves amenèrent un médecin à déclarer candidement: « De francs symptômes maniaques sont les caractéristiques qui définissent les effets significatifs du sevrage et apparaissent être comparables dans leur gravité à ceux qui se manifestent généralement dans les maladies de manies et requièrent généralement une hospitalisation.»            
Une augmentation de l’énergie et de l’éveil, une réaction émotionnelle accrue, une concentration plus vive et une baisse de la soif sont souvent rapportées même chez les patients qui n’éprouvent pas de manie pendant leur sevrage.            
Un éditorial du British Journal of Psychiatry soutient ouvertement que lorsque des patients prennent du lithium pendant moins de deux ans, il est très fréquent qu’ils traversent des épisodes maniaques peu de temps après le sevrage. L’auteur, un psychiatre, croit qu’il s’agit  de véritables effets de sevrage et recommande d’informer les patients du danger avant qu’ils décident de se soumettre à un traitement au lithium. Néanmoins, le même psychiatre maintient que de prendre du lithium pendant plus de dix ans ne comporte pas ce risque de sevrage. Cette conclusion contredit l’expérience clinique bien acceptée qui indique que plus longtemps la drogue est prise, plus grand est le risque de réactions de sevrage.            
Les psychiatres ont commencé tardivement à réaliser que la récurrence rapide de manies après le sevrage de lithium est un véritable effet de sevrage. Toutefois, il n’y a aucun doute que plusieurs médecins continuent d’attribuer la manie provoquée par le sevrage à la « maladie chronique » de leurs patients. Ces médecins persistent ensuite à exposer leurs patients au lithium malgré ses effets néfastes à long terme.            
Le Tegretol (carbamazépine) est un anticonvulsant largement utilisé pour traiter plusieurs problèmes, y compris la manie. Au moment du sevrage, le Tegretol peut provoquer des explosions de colère – dont la paranoïa, l’hostilité et l’agitation – chez les personnes qui étaient déjà perturbées. Ces réactions de sevrage peuvent aussi se produire chez des
individus qui sont stables mentalement, comme dans un cas documenté impliquant un patient traité pour un trouble physique. D’autres anticonvulsants ou anti-épileptiques, comme le Depakene (acide valproïque), le Depakote (divalproex sodium), et le Dilantin
(phenytoin), sont aussi largement prescrits en psychiatrie. Le risque de crises doit être considéré lors d’un sevrage de n’importe quel anticonvulsant, qu’il y ait présence ou non de convulsions précédemment. D’autres symptômes communs de sevrage d’anticonvulsants peuvent aussi inclure l’anxiété, les contractions musculaires, les tremblements, la faiblesse, la nausée et les vomissements.



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Les benzodiazépines, tranquillisants et somnifères, et assimilés (stilnox, imovane, lyrica, neurontin, baclofène…) : camisole de force chimique (anticholinergiques)

« Il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazépines que de l’héroïne. » professeur m Lader (1999)
Le site mondial le plus complet en ce qui concerne les benzodiazépines
Il est dangereux/mortel de mélanger Benzos et opiacés
les effets indésirables, et les symptômes de sevrage sont similaires à ceux des benzodiazépines et d’autres sédatif
« Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l’action véreuse d’un dealer propriétaire d’un coin de rue, mais par celle d’un vénérable médecin lové dans son cabinet »
le syndrôme prolongé de sevrage aux benzodiazépines

il touche un faible nombre de victimes mais peut duré des mois voir des années
association d’Héroïne et de Rohypnol : C’est le Rohypnol qui est dangereux !
Les pillules du cauchemar – comment des millions de personnes sont pris dans le piège des Tranquillisants
Les anxiolytiques sont désormais considérés comme des drogues toutes aussi violentes que l’héroïne ou le LSD.
Elle et l’Ativan étaient parmi une foule d’autres médicaments sur ordonnance dans le sang de Jackson pop star américaine Michael quand il est mort en Juin l’année dernière
mais les benzodiazépines, efficace dans cette indication se relevèrent avoir un potentiel addictif aussi puissant que les barbituriques
Il peut être très dangereux, voire mortel, d’arrêter brusquement la consommation de certains psychotropes consommés régulièrement ou de façon soutenue. Ainsi, le sevrage d’anxiolytiques ou de somnifères doit se faire sur l’avis et sous la supervision
L’utilisation du rohypnol n’est pas approuvée aux Etats-Unis et son importation est interdite
Elle et l’Ativan étaient parmi une foule d’autres médicaments sur ordonnance dans le sang de Jackson pop star américaine Michael quand il est mort en Juin l’année dernière
des milliers de plus de 60 ans sont accrochés sur les tranquillisants qui les ont transformées en zombies
J’ai eu plusieurs personnes dans le cadre de faire ce blog me dire qu’ils avaient eu l’expérience avec l’héroïne et les benzos et les benzos, ont été, de loin les pires à sevrer.
le sevrage des benzos
L’étude tient pour l’essentiel en une cinquantaine de pages, complétées de la transcription extensive d’autant de témoignages d’anciens toxicomanes. Son énoncé sinon ses conclusions semblent incontestables (1) : l’utilisation détournée des comprimés de Rohypnol est à ce point développée en Belgique et ailleurs qu’elle constitue un phénomène particulier de toxicomanie, avec ses réseaux, ses coûts, son vocabulaire et surtout ses propres effets sanitaires et sociaux
« L’ARRÊT DE LA COMMERCIALISATION DE CES PRODUITS SERAIT UNE MESURE DE SALUBRITÉ PUBLIQUE »
Les responsables sanitaires devraient sérieusement s’inquiéter. D’un côté, notre pays fait une consommation délirante de benzodiazépines, de l’autre, nous savons que prendre ces traitements favorise l’entrée dans l’une des pires maladies qui soit. Cette affaire est une vraie bombe, mais les décideurs n’ont pas l’air de le réaliser…
A-t-on une idée de l’étendue des dégâts ?
Dans l’affaire du Mediator, on parle de 500 à 2000 morts en trente ans. Avec les benzodiazépines, du fait de la consommation forcenée dans la population âgée, c’est beaucoup plus. La maladie d’Alzheimer est devenue la grande cause nationale. […]  Pourtant on continue à prescrire en masse des traitements qui favorisent l’apparition de cette maladie.On marche sur la tête.
benzodiazépines, somnifères et antidépresseurs
Ces médicaments sont pires que l’héroïne.
Lorsqu’ils sont combinés, ils forment une combinaison mortelle et pourtant, les médecins continuent de les prescrire à coups d’ordonnances en veux tu en voila.
Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.
L’agonie des victimes
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Pilules pour dormir : quand les effets virent au cauchemar
« Pire que l’héroïne »

sevrage


Comment le médicament Lyrica est devenu la nouvelle « drogue du pauvre »

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Les carbamates (anticholinestérasiques) : « dépendance proche de celle des barbituriques »

Une dépendance, proche de celle des barbituriques. La dépendance est forte.
Les dangers de la toxicomanie aux carbamates
Les organophosphorés et les carbamates sont des antiparasitaires très utilisés, ils entrent notamment dans la composition de certains antipuces à usage vétérinaire (colliers).
Les carbamates peuvent également entraîner une dépendance, proche de celle des barbituriques. Cette famille de médicaments, particulièrement banalisée en France, entraîne des risques importants en cas d’intoxication aiguë. La dépendance est forte
Carbamates: méprobamate Proche des barbituriques au niveau pharmacologique
pas besoin des médicaments
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Les opioïdes : fentanyl / durogésic, oxycodome / oxycontin, codéïne, tramadol… (anticholinergiques)

Les Etats-Unis ont enregistré 107.000 décès par overdose en 2021. Un triste record, principalement dû à l’addiction aux produits opiacés, qui persiste malgré la condamnation de plusieurs laboratoires pharmaceutiques.
Les opiacés, ces médicaments qui contiennent des dérivés d’opium, sont aujourd’hui en France la première cause de morts par overdose. Plus de 500 décès chaque année, c’est 6 fois plus que l’héroïne et presque que 5 fois plus que la méthadone.
Le fentanyl est un antalgique opioïde indiqué dans le traitement des accès douloureux paroxystiques chez les patients adultes déjà traités par des morphiniques pour des douleurs chroniques d’origine cancéreuse.
Ils sont devenus la première cause de mortalité des moins de 50 ans
Kétamine / Esketamine, corruption et extrême danger : chronique d’une catastrophe assurée.
« tranquillisant pour chevaux, il est également utilisé comme anesthésique dans les hôpitaux. »
« Les effets secondaires potentiels, notamment les hallucinations, les vertiges, l’anxiété, la psychose et les augmentations de pression artérielle, signifient que le médicament ne peut être administré au patient que sous surveillance dans une clinique – et y être gardé pendant deux heures après chaque dose hebdomadaire, tout en étant surveillé par du personnel formé pour traiter les problèmes hallucinatoires, cardiaques et respiratoires. »
« Au cours de plusieurs années d’essais parrainés par Janssen, six personnes sous Esketamine sont décédées, contre aucune sur placebos. Trois morts étaient des suicides.
La Food and Drug Administration (FDA), l’autorité américaine qui délivre les licences de médicaments, a déclaré qu’il était difficile de considérer les décès comme liés à la drogue. Cependant, le professeur Schatzberg affirme que les décès ressemblent à la façon dont les toxicomanes se suicident lors du sevrage des opioïdes. Deux suicides s’étaient produits dans les trois semaines suivant l’arrêt du traitement.
«Pour moi, ces décès sont liés à l’abandon de la drogue», explique le professeur Schatzberg. »
« Lorsque l’équipe du professeur Schatzberg a introduit un médicament bloquant le fonctionnement de ces récepteurs opioïdes, les effets de la kétamine ont cessé. Cela suggère un risque élevé de devenir dépendant de médicaments à base de kétamine et de souffrir ensuite de douleurs de sevrage. »
L’enquête soulève des questions pointues sur la responsabilité de médecins dans une véritable épidémie de toxicomanie et de overdose ce qui a enlevé presque 180,000 vies depuis 2000.
Il est dangereux/mortel de mélanger Benzos et opiacés
Les analgésiques opioïdes sur ordonnance sont responsables de surdoses plus mortels aux États – Unis que l’ héroïne et la cocaïne combinée, un selon le Center for Disease Control (CDC).
Une trentaine de médicaments en vente libre contiennent un dérivé de la morphine
ATUXANE®, sirop BIOCADEXTRO 1 mg/ml ENFANTS SANS SUCRE, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au maltitol CLARIX TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE 15 mg/5 ml ADULTES SANS SUCRE®, solution buvable en sachet édulcorée à la saccharine sodique CLARIX TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE MEPYRAMINE ADULTES®, sirop DEXTROCIDINE® 0,3%, sirop DEXTROMETHORPHANE ELERTE 1,5 mg/ml, sirop DEXTUSSIL® 0,2%, sirop DEXTUSSIL® 30 mg/15 ml, sirop en récipient unidose DRILL TOUX SÈCHE® 15 mg/5 ml ADULTES SANS SUCRE sirop édulcoré au maltitol liquide DRILL TOUX SÈCHE® SANS SUCRE 5 mg/5 ml ENFANTS, sirop édulcoré au maltitol liquide ERGIX 20 mg TOUX SÈCHE®, gélule ERGIX ADULTES TOUX SÈCHE®, sirop ERGIX ENFANTS TOUX SECHE, sirop EUPHONYLL TOUX SECHE DEXTROMETORPHANE 15 mg/5 ml ADULTES SANS SUCRE, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au sorbitol FLUIMUCIL TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE 2 mg/ml ADULTES SANS SUCRE, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au maltitol liquide HUMEX ADULTES TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE SANS SUCRE 15 mg/5 ml, solution buvable en sachet édulcorée à la saccharine sodique HUMEX ADULTES TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE, sirop HUMEX ENFANTS TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE, sirop NODEX® ADULTES, sirop en récipient unidose PULMODEXANE 30 mg, comprimé pelliculé PULMODEXANE 300 mg/100 ml SANS SUCRE, solution buvable édulcorée au maltitol liquide et à la saccharine sodique SURBRONC TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE 15 mg/5 ml SANS SUCRE, solution buvable en sachet édulcorée à la saccharine sodique TUSSIDANE® 1,5 mg/ml, sirop TUSSIDANE 1,5 mg/ml SANS SUCRE, solution buvable édulcorée au maltitol liquide et à la saccharine sodique TUSSIDANE 30 mg, comprimé pelliculé sécable ANSM – 04/12/2014 TUXIUM® 30 mg, capsule VICKS 0,133 % ADULTES TOUX SECHE MIEL, sirop VICKS TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE 7,33 mg ADULTES MIEL, pastille
Canada
Aider à mettre fin à l’abus, aux mauvais traitements et aux décès de Rx, les médicaments et les traitements à la méthadone
MORTEL PRESCRIPTION de Oxycodone, Antalgique opiacé fort
L’association des benzodiazépines à des traitements de substitution à l’héroïne à base de buprénorphine (Subutex®) ou de méthadone expose au risque de dépression respiratoire pouvant provoquer la mort
sont en train de tuer des milliers de personnes chaque année
Ce médicament est le FENTANYL, utilisé soit en solution injectable, soit en patchs transdermiques (Durogésic®), soit en losanges transmucosaux (Actiq ®) appliqués entre joue et gencive pour une résorption du principe active par la muqueuse buccale. Ce produit est 500 fois plus puissant que la morphine
En 2008, plus de dix ans après l’avènement de la substitution officielle, certains continuent à en consommer de manière non négligeable. Néo-codion®, Codoliprane®, Tussipax®…, petite
Les symptômes du sevrage de la méthadone inclure des nausées, des vomissements, des convulsions, et l’insomnie, et peuvent durer pendant des semaines.
Ses deux créateurs travaillaient pour le conglomérat chimique allemand I.G. FarbenIndustrie
Activité analgésique beaucoup plus puissante que la morphine (0,2 à 0,6 mg de buprenorphine IM équivalent à 5 à 15 mg de morphine IM.)
Par ailleurs pas mal d’usagers prétendent arriver à décrocher « facilement » de leur héroïne quand ça devient quasi-impossible avec la métha et le subutex
Ce produit, qui a été autorisé sous des conditions très précises qui n’ont jamais été respectées, est à l’origine d’un trafic de stupéfiant financé par … le contribuable.
L’OxyContin contient de l’oxycodone, un opioïde comme la morphine, la codéine, l’héroïne et la méthadone. L’oxycodone se trouve également dans des médicaments tels que le Percocet, l’Oxycocet et l’Endocet
Nous avons ainsi voulu parler aujourd’hui de deux médicaments opiacés, la codéine (neo-codion, dafalgan et efferalgan codeiné, Tussipax, padéryl, etc) et le tramadol (Ixprim, Zumalgic, topalgic, contramal, zaldiar, etc). Ils ne font pas de bruit, mais de plus en plus de personnes parlentt de leurs difficultés avec ces substances sur  le forum Psychoactif (forum vendu aux médecins et aux labos !) d’où nous avons extrait les témoignages ci-dessous. Ces opioïdes, analgésiques de niveau II, sont d’accès facile, en vente libre pour la codéine et prescrit facilement par les médecins pour le tramadol (comme pour les règles douloureuses ou les douleurs dorsales par exemple).
Le dextrométhorphane (ou isomère dextrogyre de lévométhorphane) est un analgésique opioïde, utilisé comme médicament contre la toux. Il est aussi détourné de son usage médical pour ses effets psychotropes à forte dose et, est alors couramment dénommé DXM.
La fluoxétine (Prozac©) est un inhibiteur du cytochrome P450 2D6 et le dextrométhorphane est métabolisé par ce cytochrome. Donc la métabolisation n’a tout simplement pas lieu et il peut y avoir une accumulation dans le corps et une toxicité est possible.
Skénan, codéine, etc…
infirmier
Di-Antalvic
Le Fentanyl / durogesic, cette drogue 50 fois plus forte que l’héroïne qui se répand aux Etats-Unis
Dans certaines régions, cet anti-douleur tue désormais plus que l’héroïne
En avril 2016, le chanteur Prince meurt d’une overdose et fait connaître au monde une drogue 50 fois plus puissante que l’héroïne et 100 fois plus puissante que la morphine, le fentanyl.
Les laboratoires médico-légaux ont dénombré en 2016 plus de 30.000 cas d’overdoses fatales liées au fentanyl contre « seulement » 600 en 2012.
Soit l’équivalent de quatre grains de sel. C’est la dose de Fentanyl illicite pur suffisante pour tuer un homme. Au marché noir, on le trouve sous la forme de poudre, liquide ou de comprimés.
Le fentanyl / durogésic tue

Fentanyl, le nouveau poison des cartels



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CES MEDICAMENTS PEUVENT VOUS TUER !


complot m ondial contre la santé CMCS

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Baclofène (Liorésal), GHB (drogue du viol), phénibut (acide phényl-gamma-aminobutyrique), GBL (gamma-butyrolactone) et neurontin, lyrica (anticholinergiues)

informations sur le baclofène
L’arrêt du baclofène peut être associée à un syndrome de sevrage qui ressemble au sevrage aux benzodiazépines et au sevrage d’alcool . Les symptômes de sevrage sont plus probables si le baclofène est utilisé pour de longues périodes (plus de quelques mois) et peut survenir à partir de doses faibles ou élevées. La sévérité du sevrage du baclofène dépend de la vitesse à laquelle le baclofène est interrompu. Ainsi pour minimiser les symptômes de sevrage du baclofène, la dose doit être diminuée lentement lors de l’arrêt thérapie au baclofène. L’arrêt brutal est le plus susceptible d’entraîner des symptômes de sevrage sévères. Symptômes aigus de sevrage peut être arrêté en recommençant le baclofène. [ 22 ]
Les symptômes de sevrage peuvent inclure des hallucinations auditives , hallucinations visuelles , hallucinations tactiles , délire , la confusion , l’agitation , le délire , la désorientation , la fluctuation de la conscience, l’insomnie , des étourdissements , nausées , sensation d’évanouissement , de l’inattention, troubles de la mémoire, troubles de la perception, prurit / démangeaisons, l’anxiété , dépersonnalisation , hypertonie , hyperthermie , troubles de la pensée formelle , la psychose , manie , troubles de l’humeur, l’agitation et les troubles du comportement, tachycardie , des convulsions , des tremblements , une dysautonomie , hyperpyrexie , l’extrême rigidité musculaire ressemblant syndrome malin des neuroleptiques et de rebond de la spasticité
Wikipédia
Au cours des 9 premières années de postmarketing, 27 cas de sevrage lié dans le temps à l’arrêt du traitement par le baclofène ont été signalés ; 6 patients sont décédés
Ne pas interrompre brutalement le traitement; en effet des états confusionnels, psychotiques, maniaques ou paranoïdes, des hallucinations, des convulsions voire un état de mal épileptique, des dyskinésies ont été observés à l’arrêt brutal du traitement.
une liste de cas
GHB se fixe sur les récepteurs GABA(B) à la place du GABA .
 C’est donc ce phénomène physiologique qui explique l’effet d’euphorie lors de la prise d’acide gamma-hydroxybutyrique, ainsi que l’augmentation de pulsions sexuelles qui incite l’utilisation de cette drogue par les « violeurs » ou « agresseurs » et son appellation de « drogue du viol ».
LE  GHB (gamma hydroxy butyrateDépresseur  du système nerveux central
Dépresseur du système nerveux central avec des propriétés euphorisantes pouvant s’apparenter à l’alcool. La consommation régulière de GHB peut entraîner une dépendance physique.
L’arrêt brusque d’un usage excessif et prolongé peut provoquer un sevrage dont les principaux symptômes sont des crises d’angoisse, des tremblements, de l’insomnie, des crampes musculaires, et d’autres effets secondaires désagréables et potentiellement dangereux comme de l’hypertension et une paranoïa accompagnée d’hallucinations.
Il est dangereux d’interrompre subitement un traitement au baclofène. Les cas les plus sévères consistent dans des états confuso-oniriques[7]. Les symptômes de sevrage comportent : hallucinations auditives, tactiles ou visuelles, confusion, agitation, désorientation, fluctuation du niveau de conscience, insomnie, troubles mnésiques, anxiété, hypertonie, hyperthermie, troubles de l’humeur, tachycardie, crise d’épilepsie, tremblements.
Structurellement, le phénibut est similaire au GABA, au baclofène (un myorelaxant agissant sur la transmission nerveuse et entraînant la relaxation des muscles squelettiques) et à la phényléthylamine (PEA).
Des études animales ont comparé le profil du phénibut à celui du diazépame qui a des propriétés anxiolytiques prononcées ainsi qu’à celui du piracétame qui a de faibles propriétés anxiolytiques. Une étude a montré que le phénibut a un effet tranquillisant similaire, bien que plus faible, à celui du diazépame. Il a également un effet calmant et relâche les muscles (ce que ne fait pas le piracétame), mais là encore son action est plus faible que celle du diazépame.
Le GBL (gamma-butyrolactone) et le butanédiol 1,4 sont des produits précurseurs du GHB, c’est à dire qu’ils peuvent être transformés par l’organisme en GHB.
Étant donnés certains effets secondaires graves de la gabapentine (Neurontin) ou de la prégabaline (Lyrica), « il est prudent de n’exposer les patients que dans des situations où ces médicaments ont une efficacité démontrée et importante », souligne la revue Prescrire dans son numéro de juillet.
La gabapentine, produit chimique dérivé de l’acide γ-aminobutyrique, est un médicament commercialisé sous le nom de Neurontin
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Les neuroleptiques / antipsychotiques (anticholinergiques)

Ces drogues engendrent une très forte dépendance physique chez une très large majorité de victimes : ne jamais stopper brusquement !
« Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l’usage d’une médication si dangereuse. »
Les médicaments psychiatriques ne valent rien, et la plupart sont dangereux.
les dangers de la toxicomanie aux antihistaminiques
antidépresseurs : « Des neuroleptiques déguisés »
« Reconnus pour être similaire à des neuroleptiques (anti-psychotiques) ils induisent les mêmes effets secondaires. »
A l’exception possible de la chimiothérapie utilisée dans le traitement du cancer, il serait difficile d’identifier une classe de médicaments aussi toxiques que les antipsychotiques. Si l’on considère les effets des antagonistes de la dopamine sur le système nerveux central ou à l’extérieur, leur nocivité prouvée est une tragédie iatrogène trop souvent minimisé ou refusé. (page 214)
il ne touche qu’un faible pourcentage de victimes mais peut duré des mois voir des années
site de victimes
Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.
« Ce que ces médicaments infligent aux patients est un désastre, et presque tous les signes qu’on croit causés par par la schizophrénie, sont en fait causés par les médicaments »
Depuis lors, l’espérance de vie des personnes traitées dans la communauté des centres de santé mentale a plongé à un effroyable 25 ans inférieure à la moyenne. L’espérance de vie a chuté de pas moins de 15 ans depuis 1986. Les indications sont que le taux de mortalité continue de s’accélérer dans ce qui doit être classé comme l’un des pires désastres sanitaires dans l’histoire américaine.
La toxicité des médicaments antipsychotiques, également connu sous le nom de neuroleptiques, est bien documentée.Les antipsychotiques atypiques ont semblés moins dangereux parce qu’ils produisent moins de dyskinésies. Nous savons maintenant que les nouveaux médicaments entraînent plus de maladies cardiovasculaires, qui est de loin la première cause de mortalité des personnes dans le système public de santé mentale.
Les techniques d’imagerie montrent que les médicaments antipsychotiques provoquent des lésions cérébrales. Les études animales et humaines ont relier la drogue au rétrécissement du cortex cérébral qui abrite les fonctions supérieures. Une étude sur les singes a qui l’ont a donné soit les plus anciens ou les plus récents médicaments neuroleptiques en doses équivalentes à celles des hêtres humains ont montré un rétrécissement de 11 à 15 pour cent du lobe pariétal gauche. Les médicaments qui causent des dommages au cerveau, presque invariablement, réduisent, l’espérance de vie.
Ces médicaments tuent les gens. Dawson ne sait pas cela ? J’ai estimé que Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec le Zyprexa et c’est seulement un des médicaments antipsychotiques

« les antipsychotiques ne sauvent personne, ils tuent les gens »

« Toutes les drogues psychiatriques, a long terme, provoquent des lésions cérébrales visibles sur un IRM »

« IL FAUT INTERDIRE LES NEUROLEPTIQUES «

Robert Whitaker nous démontre que non seulement les neuroleptiques sont inefficaces, mais ils provoquent les symptômes qu’ils sont censés combattre

Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa

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mort par les médicaments en santé mentale
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Les opiacés

son action sur les voies respiratoires était telle que l’on a cru très vite avoir définitivement vaincu la tuberculose. De plus, on l’a utilisé pour soigner de nombreuses affections dyspénéisantes, tel l’asthme, et pour traiter les insomnies
L’héroïne fut synthétisée en 1874 comme un médicament aux vertus héroïques (courage, insensibilité à la douleur, à la fatigue…). Elle fut utilisée comme produit de substitution à la morphine, comme antidouleur et comme traitement de la toux.
substance dont l’action analgésique était trois fois supérieure à celle de la morphine car elle traverse plus facilement la barrière hématoencéphalique qui sépare le cerveau du sang
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L’éphédrine, le speed, les antidépresseurs, les amphétamines, la cocaïne, la ritaline, concerta, le crack, noréphédrine, adderal, métamphétamine, pervitine, crystal meth, …

amphétamines, antidepresseurs…
amphétamines, médiator, effexor, Ixel, ritaline, déroxat, cymbalta, zyban…
Histoire : Le méthylphénidate a été synthétisé pour la première fois par le chimiste suisse Leandro Panizzon en 1944. C’est en hommage à sa femme Rita qu’il donne le nom de Ritaline au médicament qu’il crée par la suite. Adepte du dopage, Rita adorait s’en envoyer une pincée avant ses matchs de tennis (coucou Petr Korda). D’abord prescrite pour lutter contre la dépression et la narcolepsie, la Ritaline devient à partir des années 1960 le principal traitement pour soigner l’hyperactivité. Elle est utilisée depuis la Seconde Guerre mondiale pour l’armée américaine. En 2002, en Afghanistan, des pilotes de chasse US ont tué plusieurs soldats canadiens qu’ils avaient pris pour des talibans. L’enquête a révélé qu’ils avaient pris de la Ritaline, prescrite pour les maintenir éveillés plus de 12 heures.
L’étrange histoire des méthamphétamines
L’histoire des méthamphétamines semble trop folle pour être vraie. Les chimistes locaux les distribuaient pour traiter la dépression, l’obésité et «créer la bonne attitude». « 
les dangers de la toxicomanie à la ritaline (concerta)
Un très grand danger pour vos enfants
Récemment, dans un avis sur les toxicomanies, le Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE) français pour les sciences de la vie et de la santé soulignait que « la distinction entre les drogues licites  et les drogues illicites ne repose sur aucune base scientifique cohérente » (Rapports sur les toxicomanies, 1995, p. 3). Par exemple, sur le plan neuropharmacologique, le mode d’action d’une drogue illicite, comme la cocaïne, et celui d’une drogue licite (sous usage médical), comme le méthylphénidate (Ritalin), est presque identique (Volkow et al., 1995).
La cocaïne agit en bloquant la recapture de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, la noradrénaline et la sérotonine.
ritaline : Ce produit entraîne une accoutumance masquée et une dépendance physique. Zyban: Le rapport de l’OFDT n°232 (septembre 2003) signale ce produit parmi les nouveaux identifiés sur la période 1998-2002 du fait de sa dangerosité potentielle.
la ritaline a le même profil de dépendance que la cocaïne!
Les pathologies retenues par l’AMM sont : narcolepsie avec ou sans cataplexie et hypersomnie idiopathique. Des examens sont nécessaires dans les formes de narcolepsie sans cataplexie et dans les hypersomnies idiopathiques
Il s’agit d’un antidépresseur proche des amphétamines, inhibiteur du recaptage de la dopamine et de la noradrénaline
ritaline..
La cocaïne sera également utilisée médicalement comme anesthésique local (endort l’endroit de contact). Freud sera le premier médecin à décrire son usage par voie nasale. Il le prescrira comme remède contre la dépression.
Les pathologies relatives à ces récepteurs entraînent des maladies comme : maladie de Parkinson, schizophrénie, modification de l’affectivité, psychoses.
La phénylpropanolamine, dite également noréphédrine, est une substance voisine de l’amphétamine, ayant un effet vasoconstricteur et donc une action décongestionnante
L’ancêtre des amphétamines est l’alcaloïde du ma-huang, une plante utilisée depuis des millénaires en Chine. En 1895, on en extrait l’éphédrine qui sert de support pour la synthèse de la benzédrine, la première d’une longue série d’amphétamines.
il existe une tolérance croisée entre cocaïne et amphétamines ! En d’autres mots usager utilisant des amphétamines développera une tolérance rapide à la cocaïne.
Les stimulants, les amphétamines par exemple, ont pour effet de vous faire sentir moins rapidement saoul. Il se peut donc que vous buviez beaucoup plus que vous n’en aviez l’intention.
La combinaison vous rend souvent téméraire. Vous avez l’impression de continuer à tout contrôler (par exemple au volant), alors que ce n’est plus le cas.
Chez les utilisateurs «inexpérimentés» surtout, la perte de contrôle peut se produire plus rapidement. Le risque de comportement agressif et d’actions impulsives augmente.
Il existe d’autres risques encore : augmentation de la température du corps, phénomènes de déshydratation, troubles du rythme cardiaque, infarctus, hémorragie cérébrale, confusion mentale, attaques de panique, paranoïa et idées délirantes.
Un diagnostic d’alcoolodépendance peut être porté dans 50 à 90 % des cas de cocaïnomanie.
 

La ritaline,, c’est de la drogue, qui conditionne les enfants à devenir de futurs drogués
La pervitine, un dérivé de la métamphétamine
Métamphétamine : La forme HCl a été synthétisée, brevetée en 1937 et commercialisée dès 1938 par la société pharmaceutique allemande « Temmler Werke GmbH » sous la marque « Pervitin ».

Les junkies d’Hitler

Drogue : le fléau du crystal meth / pervitine (agit pendant 48h) (arrêt de commercialisation dans les pharmacies, en 1980), remplacé par les antidépresseurs

Témoignage : l’adderall provoque de la dépendance qui engendre le suicide

Témoignages sur les ravages de la métamphétamine / crystal-meth

« la ritaline et le concerta sont similaire a la cocaîne dans leurs effets »

Il témoigne avant de mourir

Quelle différence entre l’adderall et la drogue crystal meth ?

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La cortisone / corticoïdes

Une réduction lente est necessaire.
Dépression, anorexie, malaise, amaigrissement, nausées, desquamation, céphalées, fièvre, arthralgies, myalgies (elles apparaissent au-dessous de 20mg de prednisone ou équivalent par jour, sont plus prononcées sur les muscles proximaux et disparaissent en quelques jours ???).
La présentation clinique des troubles psychiatriques cortico-induits est très variable : on peut trouver les troubles du sommeil (25 %), la dépression (32 %), la manie (22 %) et les épisodes psychotiques (11%)
Des manifestations neuropsychiques bénignes comme des insomnies ou une excitation anormale sont fréquentes. Plus rarement, une corticothérapie peut être à l’origine d’épisodes psychotiques. Une étude française rétrospective a ainsi permis de noter la survenue de complications psychiatriques chez 16% des patients recevant une corticothérapie au long cours pour une maladie de Horton, essentiellement sous la forme de troubles de l’humeur, d’épisodes dépressifs ou maniaques. La survenue de ces événements est plus fréquente dans le premier mois de traitement et en cas d’administration de doses élevées de corticoïdes.
Les effets psychotropes des corticoïdes ont été signalés depuis 1950. changements cognitifs comme la démence précoce chez les patients qui suivent un traitement avec des doses élevées de corticoïdes ont été identifiés en 1984. La présentation clinique de ces patients atteints de démence « stéroïde » imitaient celles qui sont typiques de la maladie d’Alzheimer précoce. Comme dans le cas des effets secondaires psychiatriques croticosteroid d’utilisation, la « démence » est réversible. Le cas présenté décrit un patient qui a développé les changements cognitifs et la démence comme un EEG anormal à la suite d’un traitement aux stéroïdes. L’affaire est d’un intérêt non seulement comme un exemple de la démence de stéroïdes, mais aussi parce qu’il est le premier avec séquelles documentée électroencéphalographie et EEG prémorbide, la tomodensitométrie et des tests neuropsychologiques.
Une de mes filles, qui allait très bien et n’avait aucun antécédant, a déclanché à 16 ans une dépression a-typique, puis quelques mois plus tard un comportement hypomaniaque, puis un an après, une bouffée délirante qui a nécessité 2 mois d’hospitalisation et qui l’a laissée fragile. Or, ce n’est qu’à ce dernier épisode qu’on a fait le lien avec la cortisone : chaque crise avait été précédée quelques jours auparavant de piqures de solu-médrol, sans doute même pas indispensables, après traitement chirurgicaux de la mâchoire dans le cas d’un traitement orthodontique un peu lourd
20mg d’hydrocortisone = 5mg de perdnisone ou prednisolone
Un corticostéroïde (en anglais corticosteroid) est une hormone sécrétée par les glandes surrénales à partir du cholestérol, et essentiellement utilisée en thérapeutique comme anti-inflammatoire, ou comme immunosuppresseur.
symptômes de sevrage cotisone / prednisone
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effets secondaires

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Syndrome prolongé de sevrage pouvant durer plus de 10 ans (benzodiazépines, neuroleptiques, antidépresseurs…)

Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien

Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre de toxicomanes, à long terme.

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« Tous les essais cliniques sur les neuroleptiques / antipsychotiques et les antidépresseurs, sont biaisés »

Les essais cliniques de BIG PHARMA sont bidon !

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Drogue t’on nos enfants : mise sous camisole de force chimique

Droguer nos enfants: Comment les profiteurs poussent les antipsychotiques / neuroleptiques, sur nos plus jeunes

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L’alcool

l’alcoolisme sur ordonnances : Les dépendances croisées aux autres drogues et alcool se produisent dans 73% des cas d’anciens utilisateurs de benzodiazépine

L’abus d’alcool augmente considérablement le risque de la plupart des formes de cancer, y compris le cancer de la bouche, oesophage, sein, estomac, foie, la prostate et du côlon………La forme la plus courante d’atteinte hépatique est une élévation des enzymes hépatiques.

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Le sevrage

Les meilleurs conseils pour un sevrage des benzos
quelques conseils pour le sevrage des drogues psychiatriques
Les meilleurs conseils internet en français
conseils de sevrage
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d’utilisateurs, de toxicomanes, à long terme
Les vues et opinions sur ce blog sont les opinions personnelles de l’auteur. Aucun élément contenu dans ce blog n’est conçu comme un avis médical. Ce blog a été créé pour fournir des informations générales, les opinions de l’auteur et des réflexions générales. L’information contenue ici ne doivent pas être considérés comme un appui pour que quiconque abandonne les drogues psychiatriques. Si vous arrêtez de prendre des médicaments, il est conseillé de réduire graduellement la dose avec une extrême prudence, car il est difficile de prédire qui aura des difficultés à se sevrer. Il est important d’obtenir autant d’informations et de soutien que vous le pouvez, et en associant à votre médecin si possible
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Dépendance au cannabis et témoignage sevrage (ne touchez pas aux neuroleptiques !) : Des victimes en grand nombres

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« Ils veulent que vous soyez accrocs à leurs médicaments, ils veulent que vous soyez leurs clients à vie »

« Ils veulent que vous soyez accrocs à leurs médicaments, ils veulent que vous soyez leurs clients à vie »

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Médicaments, drogues et justice

Les nombreuses victimes des drogues médicales, de dépendances, de syndrôme de sevrage…sont invitées à attaquer en justice leurs médecins, leurs pharmaciens, le laboratoire pharmaceutique et les médecins de la sécu qui dirigent tout cela (uniquement avec un expert médical qualifié (biologiste) en matière d’empoisonnement et honnête). Gardez vos ordonnances ! Je vous conseille d’autre part d’éviter l’association AAAVAM.
Avocats, class action, condamnations…
textes, réglementations…
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Pétitions

Nous sommes fermement convaincus cependant que les risques associés à la prise de benzodiazépines est beaucoup plus grande que la communauté médicale et de nos gouvernements réalisent
accusations criminelles contre GlaxoSmith Kline
Plus de 10 000 signatures et témoignages
graves effets secondaires de ce médicament
plus de 21500 signatures et témoignages
OxyContin est presque identique au niveau moléculaire et agit dans le corps de la même manière que l’héroïne
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Quelques liens

Les benzodiazépines et les antidépresseurs tuent des milliers de victimes.
 » La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
La parole aux victimes survivantes
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Quelques livres

ANTIDEPRESSEUR ; LITHIUM ; MALADE ; MEDICAMENT ; MENTAL ; NEUROLEPTIQUE ; PSYCHOPHARMACOLOGIE ; PSYCHOTROPE ; SEVRAGE ; SOMNIFERE ; STIMULANT ; TRANQUILLISANT ; USAGE
Ce petit ouvrage explique les risques de somnifères dont vous pourriez ne pas avoir entendu parler. Il décrit aussi de meilleures alternatives.
Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu’il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous.
De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple, ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
Le problème le plus généralisé de drogues dans le monde n’est pas l’héroïne, le crack, le crystal meth, aucune des drogues illicites. Benzodiazépines : Ces médicaments sont pires que l’héroïne.
Dr. Malcolm Lader, professeur de la psychopharmacologie clinique, institut de la psychiatrie, Londres, Angleterre« … L’histoire bien-recherchée de Joan Gadsby devrait aider une attention publique de foyer sur ce problème effroyable et sa solution.(anglais)
Les récents décès de célébrités comme Michael Jackson, Anna Nicole Smith, Heath Ledger, et Whitney Houston ont montré un projecteur sur la surutilisation et l’abus de médicaments d’ordonnance. La plupart des gens croient que les médicaments d’ordonnance sont plus sûrs que les substances illicites. Mais, lorsqu’il est combiné avec d’autres over-the-counter sédatifs, médicaments d’ordonnance peuvent être tout aussi puissante, addictive, et dangereux. En 2006, les surdoses sur une classe d’analgésiques d’ordonnance appelés analgésiques opioïdes a tué plus de gens que ceux tués par surdoses sur la cocaïne et l’héroïne combinée. À l’heure actuelle, entre 35 à 54 ans, l’empoisonnement par médicaments d’ordonnance est la cause la plus fréquente de décès liés à l’auto-accidentelles mort plus encore que. Dans les médicaments qui tuent, Dr Marcum brille une lumière sur le pouvoir addictif de médicaments d’ordonnance et comment vous pouvez vous protéger votre famille et en pratiquant des habitudes saines.
Les benzodiazépines, une classe de tranquillisants et de somnifères (y compris le Valium, le Xanax, et Ambien) qui sont souvent stupidement et irresponsable prescrits par les médecins qui ont été vendus sur leurs mérites par les entreprises corrompues de drogue, faire plus que d’asservir votre corps: en fin de compte, ils peuvent écraser votre âme. Ce mémoire de la survie pourrait être utile à quelqu’un face à des défis similaires.
Pain Killer OxyContin, un puissant analgésique contenant de l’oxycodone opium dérivés comme ingrédient actif clé, a été tout d’abord vendu en 1996 comme un traitement pour les patients atteints de cancer et d’autres personnes souffrant de douleur chronique. Dès le début, fabricant du médicament commercialisé agressivement sa formule brevetée diffuses comme une percée dans les efforts de réduction de consommation de médicaments d’ordonnance. Il n’a pas tardé, cependant, les adolescents sensations brisé cette illusion de sécurité ; en écrasant tout simplement un « Oxy, » ils ont pu puiser dans un sommet si séduisant, il viendrait à dominer leurs vies. Certains patients, à la recherche de soulagement de la douleur, à la face sombre de la drogue se trouvaient également.
Ceci est l’histoire personnelle de l’auteur de accidentelle addiction aux benzodiazépines, qui a tourné au cauchemar continue: ce livre est un cri du coeur, ou d’un appel passionné, au nom de lui-même, ainsi tous ceux qui souffrent, le plus souvent en silence, de cette répandue mais grandement sous-estimé l’affliction. Le poison lent en question, pour l’auteur, est Valium ou le diazépam. Ceci est aussi une histoire personnelle et une histoire à propos de l’éthique médicale et la terreur. Les benzodiazépines, une classe de tranquillisants et de somnifères (y compris le Valium, le Xanax, et Ambien), sont dangereusement addictif; l’auteur, exposés à une gamme de benzodiazépines, d’antidépresseurs et les psychiatres, raconte l’histoire de son voyage insolite: pour lui-même, pour ses amis, et pour les autres qui pourraient vouloir comparer leurs propres voyages avec son
Médicaments, réglementations et prescriptions
Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de l’ecstasy et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour, l’indépendance, l’éternité, bref, « la lune en gélules » dans ces drogues est dangereux.
les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements… au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain
Savez-vous que les drogues agissent toutes dans le cerveau sur une cible commune, qu’il s’agisse de drogues illicites (héroïne, cocaïne, etc.), d’alcool, de tabac ou de médicaments psychoactifs ?
Effets secondaires – LA MORT, Sans corruption pas de médicaments le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait)
Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.
les champs de la mort pharmaceutique n’est pas un incident isolé.  L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde.. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans
Votre médicament peut être votre problème (anglais uniquement)  des professeurs Peter Breggin M.D. et David Cohen Ph.D.
Comment et pourquoi cesser de prendre les médicaments psychiatriques
Seul livre qui fournit une description non censurée à jour des dangers qui’mplique la prise de chaque genre de drogue psychiatrique. C’est le premier et le seul livre pour expliquer comment cesser sans risque de prendre les médicaments psychiatriques.
« En dépit du succès  d’une campagne de promotion énorme  par les compagnies pharmaceutiques et la psychiatrie biologique, l’efficacité de la plupart ou tous les médicaments psychiatriques reste difficile à démontrer Les médicaments s’avèrent souvent pas plus efficaces que les pilules de sucre, ou des placebos – et pour accomplir même ces résultats positifs limités, les essais cliniques et des données qu’ils génèrent généralement doivent être statistiquement manipulé « (p. 37).
L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise
Medication Madness de professeur peter Breggin : Le rôle des médicaments psychiatriques dans les affaires de Violence, Suicide et assassinats
Anatomie d’une épidémie enquête sur un mystère médical: Pourquoi le nombre d’adultes et d’enfants handicapés par la maladie mentale explosé au cours des cinquante dernières années? Il ya maintenant plus de quatre millions de personnes aux Etats-Unis qui reçoivent un chèque du gouvernement d’invalidité en raison d’une maladie mentale, et le nombre continue à monter en flèche. Chaque jour, 850 adultes et 250 enfants atteints d’une maladie mentale sont ajoutés aux rouleaux d’invalidité du gouvernement. Qu’est-ce qui se passe?
« Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir.»
Déni de routine et de la minimisation des dommages ne devraient avoir aucune place dans la médecine, mais il est une attitude politique et institutionnel au Royaume-Uni. Le ministère de la Santé et de la MHRA jouent la politique avec la vie des gens. Il ne fait aucun doute que la défense et la sous-estimation de préjudice passé, permet la poursuite d’un système qui va produire des blessures plus évitable dans l’avenir. Les campagnes d’auteur pour l’innocuité des médicaments et un changement dans le système où personne est tenue responsable et les victimes sont laissés à eux-mêmes.
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés !
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
L’Amérique dupé l’histoire non-sensationnelle, fait-remplie de la façon dont les Américains sont venus à croire que la dépression et d’autres problèmes mentaux sont causés par des déséquilibres chimiques qui peuvent être fixés avec des pilules. Il révèle comment les études sur les médicaments utilisés pour obtenir l’approbation de la FDA sont conçus, payés et écrits par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes et sont délibérément trompeur. Partie 1 de l’Amérique Dupé est axée sur les antidépresseurs, leur efficacité et leurs effets secondaires, y compris les dommages permanents au cerveau qui résulte de l’utilisation à long terme dont si peu d’Américains ont aucune connaissance (y compris ceux qui prescrivent et ceux qui prennent des antidépresseurs). La partie 2 traite des différentes approches utilisées à travers l’histoire pour traiter les problèmes mentaux plus graves, y compris l’utilisation des antipsychotiques. Les effets secondaires des antipsychotiques sont également discutés. Partie 3 concerne la façon d’éviter et surmonter les problèmes de santé mentale qui ont augmenté de façon spectaculaire dans notre pays et le faire sans médicaments. Plus de 1800 références au meilleur de la recherche médicale et psychologique sont donnés si chaque page est écrit pour être compris par l’Américain moyen
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
L’enjeu de ce réquisitoire contre les drogues vise à inventorier l’infinité du désastre sous le prisme pluridisciplinaire de sciences humaines dont l’ampleur est à la hauteur des intérêts d’un establishment corrompu ; depuis la cueillette au laboratoire
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
Le dictionnaire définit le mot charlatan : « vendeur de drogues sur la place publique. Médecin ignorant et impudent. Imposteur qui exploite la crédultié humaine ». Or la vente des drogues sur la place publique fut licite et légale jusqu’en l’an XI de la république, c’est à dire jusqu’en1803. Mais si Tabarin, roi des charlatans, vendait ses drogues, ses baumes et ses onguents sur les trétaux de la place Dauphine avec l’appui des lois, et mourut riche et honoré dans sa seigneurie du Coudray, les marchands de drogues du XXe siècle, vendent aussi légalement leurs produits illusoires avec des procédés de publicité perfectionnés mais peu différents, au fond, de ceux de Tarbarin. Et ils meurent eux aussi, riches et honorés avec la bénédiction de médecins très officiels qui ne dédaignent pas, quelquefois et même assez souvent de prêter leur nom et leurs titres aux marchands d’orviétant. C’est beaucoup plus lucratif, croyez le, que de manier le pendule, et c’est moins dangereux.
Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la pérennité de leur dictature.
Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou dangereuses, qu’aucune étude prouve l’efficacité des médicaments expectorants et antitussifs, que les médicaments occuperaient entre la quatrième et la sixième place dans les causes de mortalité, tout ça pendant que les PDG des industries pharmaceutiques gagnent en moyenne un revenu annuel de 21 millions de dollars chacun. Instructif, critique et bien documenté.
Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l’industrie et de l’inefficacité d’un certaine agence de réglementation.
La médecine moderne est gérée par une oligarchie restreinte mais puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens
En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple :les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables;la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur;la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing;de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête;la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars;la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules;comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies;la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée;et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
« La personne qui a le plus de probabilité dvous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. Ce livre te montrera comment se protége
DEPUIS une dizaine d’années, la médecine rend malades plus de gens qu’elle n’en guérit. Elle est devenue, de toutes les industries, la plus gaspilleuse, polluante et pathogène.
Il expose comment, avec l’aide des agences de presse et par la vénalité des mass médias, le public a subi un lavage de cerveau le poussant à mettre « soins médicaux » et « santé » sur un même pied d’égalité, alors qu’en réalité il s’agit précisément du contraire : la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies. C’est ainsi qu’en un an, 1,5 million d’Américains ont dû être hospitalisés par suite de l’administration de drogues qui auraient dû les « guérir » d’une chose ou d’une autre. L’expérimentation animale, immanquablement trompeuse, est évidemment l’alibi forgé par la Puissance Médicale pour extorquer de fabuleuses subventions pour une fausse recherche et pour protéger les fabricants de médicaments contre les poursuites en justice chaque fois que les suites néfastes de l’un de leurs produits ne peuvent plus être cachées. Le présent livre fournit les preuves de ce qui est avancé et expose au grand jour des faits que nombre d’individus puissants voudraient voir enterrés à tout jamais.
Des millions de personnes sont apparemment dus à un parce qu’arbitrairement défini, haut cholestérol traités avec affectent l’athérosclérose pouvait être pas prouvé jusqu’à aujourd’hui et la réduction peut même blesser les gens.
En réalité, les statines n’empêchent ni les infarctus ni les AVC.
Tous les médicaments anticholestérol, les anciens comme les nouveaux, sont toxiques du fait de leur mode d’action et aussi parce qu’ils privent le corps d’un facteur protecteur : le cholestérol !
Antipsychotiques (neuroleptiques) les médicaments sont devenus certains des plus gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche, que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers l’emportent largement sur les avantages.
Luise essayé presque chaque antipsychotiques sur le marché, souvent en même temps. Le régime et les doses ont été constamment changés et elle ne peut pas faire mieux. En fait, elle devient de plus en plus pire. Pourquoi son psychiatre ne jamais revoir son approche thérapeutique ? Luise est dégradée physiquement et a obtenu plus et plus psychotique comme du temps passé. Ses médicaments a été augmentée à hauteurs correspondant à trois ou quatre fois les doses recommandées plus hauts. Elle avait des hallucinations comme jamais auparavant. Elle était maintenant parfois courir partout pour essayer d’éviter les serpents et fictives créatures sanglant qui sortent des murs. Pourquoi les spécialistes n’a jamais réalisé que quelque chose clochait complètement ? POURQUOI ? Il devrait, à mon avis, ont eu lieu à eux que le diagnostic de Luise peut ont eu tort. Et dans l’affirmative, le médicament serait trop mauvais. Il s’est avéré que le diagnostic de Luise n’allait pas. Quand un psychiatre a finalement commencé à m’écouter, et plus important encore commencé à lire les différents enregistrements qui pointait dans cette direction, il déclara que Luise souffrait du syndrome d’Asperger et elle doit arrêter les substances psychotropes. Malheureusement, à ce moment-là, il était trop tard. Luise est décédé à l’hôpital en 2005, heures après que elle a eu sa première injection de dépôt malgré les objections de pénibles de Luise et moi. Nous étions convaincus qu’il conduise à sa mort et nous avons eu de bonnes raisons de craindre d’injection de dépôt. Nous avons argumenté que personne ne savait jamais combien médicament Luise pouvait tolérer qu’elle avait été vomissements toutes les années. Cependant, Luise prédit que la médication la tuerait. Elle m’a dit plusieurs fois que sur sa pierre tombale devrait se tenir « le médicament m’a tué ».
tous fou ? de jean claude Saint-Onge
Une personne en deuil souffrirait de « dépression majeure » si elle n’arrive pas à surmonter son chagrin après deux semaines. Une personne très timide serait atteinte de « phobie sociale » et un enfant qui conteste les adultes et les règles, serait taxé de « trouble oppositionnel avec provocation». Sommes-nous tous devenus fous ? En 60 ans, le nombre de troubles mentaux répertoriés dans le DSM, la « bible » des psychiatres, est passé de 60 à plus de 400 alors que la consommation de psychotropes a augmenté de 4 800 % aux États-Unis au cours des 26 dernières années. Or, cette épidémie de « maladies mentales » est très largement fabriquée, nous explique J.-Claude St-Onge dans cet essai sur l’influence démesurée de l’industrie pharmaceutique sur la psychiatrie.
Peu de temps après la naissance de sa fille Rebecca Beddoe a été diagnostiqué avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; donné la thérapie de chocs électriques; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et a été tour à tour maniaque et consommée par le désespoir paralysant au cours de laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle connaissait à peine et d’une mère et partenaire qui étaient à la fin de leurs esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et très réussi qu’ils aimaient.
il expose les nombreuses faiblesses inhérentes dans les arguments scientifiques soutenant la théorie largement acceptée que les déséquilibres biochimiques sont la principale cause des maladies mentales. Valenstein révèle comment, à partir des années 1950, la découverte accidentelle de quelques psychotrope drogues stimulée par un énorme intérêt en psychopharmacologie, résultant en croissance stupéfiante et bénéfices pour l’industrie pharmaceutique. Qu’il met à nu les motivations commerciales des compagnies pharmaceutiques et leur enjeu énorme dans l’expansion de leurs marchés. Prozac, Zoloft et Thorazine sont quelques-unes des drogues psychoactives qui ont changé radicalement la pratique dans la profession de la santé mentale. Des médecins leur prescrivent aujourd’hui en grand nombre même si, comme plusieurs grandes études révèlent, leur efficacité et l’innocuité ont été grandement exagérées.
Psychiatrie sous l’Influence : la Corruption institutionnelle, blessures sociales et ordonnances pour la réformePsychiatrie sous l’Influence étudie comment l’influence des pharmaceutiques d’argent et les intérêts de la Guilde a corrompu le comportement de l’American Psychiatric Association et de la psychiatrie universitaire au cours des 35 dernières années. Le livre documente comment l’établissement psychiatrique régulièrement induit en erreur le public américain sur ce que l’on savait sur la biologie des troubles mentaux, la validité des diagnostics psychiatriques et de l’innocuité et l’efficacité de ses médicaments. Il examine également comment ces deux influences corruptrices encourager l’élargissement des limites diagnostiques et la création de guides de pratique clinique biaisée. Ce type de corruption a entraîné d’importantes blessures sociales et en particulier, un société manque de consentement concernant l’utilisation de drogues psychiatriques et les pathologiser des comportements normaux chez les enfants et les adultes.
Malheureusement, la psychiatrie tue
Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population. Il n’y a rien de patients psychiatriques craignent plus de traitement forcé, et il s’agit de des principales raisons pourquoi avoir un contact étroit avec le système de traitement psychiatrique nettement augmente des suicides. Selon une convention des Nations Unies, traitement forcé constitue une violation des droits de l’homme et doit être interdit, et les données empiriques ont montré qu’une psychiatrie sans traitement forcé est possible.
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Le cannabis peut être très dangereux

Les études indiquent que le THC, un produit chimique psychoactif présent dans le cannabis, peut induire une psychose chez les personnes dont le cerveau est sain
Jusqu’à 15 % des consommateurs indemnes de pathologie psychotique présentent des symptômes psychotiques lors de la consommation, notamment des idées délirantes de devinement de la pensée, des idées délirantes de référence dans laquelle le sujet pense que certains éléments de l’environnement possèderaient une signification particulière pour lui, des états de déréalisation/dépersonnalisation et de désorganisation de la pensée [2]. Ces symptômes apparaissent une heure à 1 heure 30 environ après le début de la consommation, peuvent durer 12 à 24 heures et disparaissent en quelques jours, une semaine maximum (pour revue, [3]). Ces effets sont liés aux effets agonistes du delta-9-tetrahydrocannabinol (Δ-9-THC) sur les récepteurs cannabinoïdes cérébraux CB1
Une nouvelle étude révèle que les consommateurs et consommatrices réguliers de cannabis seraient plus enclins à développer des pathologies mentales comme la schizophrénie.
En 1937, Harry Junior Anslinger, personnage hypocrite, arriviste, corrompu par l’industrie pétrochimique, directeur du Narcotics Bureau, déclara la guerre au chanvre pour des raisons racistes, économiques, mais nullement sanitaires
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L’huile de chanvre si elle était produite est correctement la panacée que l’industrie pharmaceutique ne peut faire breveter
Le SATIVEX®, commercialisé dans plusieurs pays européens, notamment en Allemagne et au Royaume-Uni, est un médicament utilisé chez certains patients atteints de sclérose en plaques, pour soulager les contractures sévères (spasticité), résistantes aux autres traitements.
Le cannabis tue: un médecin le prouve
Fumer de l’herbe peut entraîner de sérieuses insuffisances cardiaques, selon un médecin légiste allemand. Même les consommateurs occasionnels pourraient être touchés par ce problème.
Une étude a porté sur 1.920 personnes, et les a suivis pendant 16 ans. Il a découvert que les personnes qui fumé de la marijuana étaient 4 fois plus susceptibles de développer une dépression.
La marijuana a presque tripler le risque de développer des symptômes psychotiques. Une étude de 3 ans suivi 4.045 personnes sans psychose. Il est venu à la conclusion que les fumeurs de marijuana sont trois fois plus susceptibles de développer des symptômes psychotiques (y compris de maniaco-dépression) que les non-fumeurs.
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Sevrage à l’hôpital ou en clinique : DANGER !!

Mise en garde : En France aussi, hélas, on torture jusqu’au suicide les victimes des benzodiazépines / somnifères / anxiolytiques, dans les cliniques et hôpitaux. Et pas que….. : les généralistes font la même chose…(reportage RTS 11 / 2022)

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Accros aux médicaments

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Défonce, benzodiazépines, somnifères, anxiolytiques, dépendances, stupéfiants (anticholinergiques)






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Overdose de pilule : comment Big Pharma exploite la santé mentale / Overpill. When Big Pharma exploits mental health

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Les médicaments psychiatriques : beaucoup plus dangereux que vous ne l’avez jamais imaginé ! / Psychiatric drugs: more dangerous than you ever imagined’ by Dr Peter Breggin

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Benzodiazépines : « pire que l’héroïne » témoignages

« je me suis sorti des opioïdes et comparé à ces merdes de benzos, c’était du pipi dans l’eau »
Le xanax est plus addictif que l’héroïne !
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Benzodiazépines / somnifères / anxiolytiques : Pire que l'héroïne !
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Le terme scientifique pour une drogue est « un psychotrope ».

La drogueLe présent texte est partiellement remplacé par un nouveau : http://www.4p8.com/eric.brasseur/toxicomane.html

Le terme scientifique pour une drogue est « un psychotrope ». L’effet d’un psychotrope est d’agir sur le fonctionnement du cerveau.  

Le cerveau est capable de faire un grand nombre de choses : dormir, être excité, avoir du plaisir, avoir des angoisses, ressentir les choses que les cinq sens lui transmettent, avoir des souvenirs, penser à des choses, revoir des souvenirs, rêver, reconnaître des formes et des structures…

Le rôle d’un psychotrope est de déclencher ces choses artificiellement. Ou de les empêcher.

Le cerveau est capable de dormir. Et bien il existe une famille de psychotropes, que l’on appelle les somnifères, dont l’effet est de mettre le cerveau en état de sommeil. En général, on ne peut pas dormir « sur commande ». Il faut attendre le soir… Mais si on prend un somnifère, une demi-heure après on est en train de dormir. L’effet du somnifère peut être tellement fort qu’on est impossible à réveiller. S’il est administré en piqûre intraveineuse ou en inhalation, le somnifère peut agir en quelques secondes.

Les anxiolytiques sont des psychotropes qui empêchent le mécanisme de l’angoisse dans le cerveau. Les psychiatres les prescrivent à des personnes qui ont de fortes angoisses.

Les antidouleurs sont des psychotropes qui empêchent le cerveau de ressentir de la douleur. Ils bloquent le mécanisme de la douleur. Les antidouleurs les plus utilisés, en vente libre, sont l’acide acétylsalicylique (aspirine) et le paracétamol (molécule proche de l’acide acétylsalicylique). Ils sont utilisés pour des maux de tête, des douleurs musculaires… (A faible dose l’aspirine peut avoir un effet curatif, parce qu’elle a également la propriété de favoriser la circulation du sang.) (Attention : même s’ils sont en vente libre et donc supposés sans danger, une surconsommation de ces deux produits peut entraîner des lésions internes graves voir la mort.) Les opiacés quant à eux sont toute une gamme d’antidouleurs : par exemple la codéine (antidouleur en vente libre dans certains pays), la morphine (antidouleur puissant couramment utilisé en milieu hospitalier) et l’héroïne (en principe interdit mais qui a été utilisé en milieu hospitalier pour des cas extrêmes). L’usage de l’héroïne s’est avéré problématique. Il semble que la meilleure solution pour les situations graves est la morphine, diffusée en continu dans le sang du patient, au débit le plus faible possible. Les opiacés peuvent réduire des douleurs physiques même graves (par exemple les douleurs causées par un cancer ou des brûlures), qu’aucun autre antidouleur n’arrive à calmer. Ils réduisent aussi les douleurs mentales : remords, tracas, angoisses, culpabilité… Ce second effet contribue à les rendre dangereux. De nouveaux antidouleurs seraient en développement, plus puissants que la morphine et qui n’ont pas d’effet sur le mental. Il existe également des antidouleurs artificiels dont les molécules sont chimiquement apparentées aux opiacés.

Les hallucinogènes sont des psychotropes très intéressants. Ils modifient ce que le cerveau voit, entend, sent, sa perception de la taille des choses, du temps… Par exemple : notre cerveau dispose d’un ensemble de neurones dont la fonction est de se rendre compte et de gérer le fait qu’un objet s’allonge. Si, en temps normal, on regarde un objet inanimé comme une brique, ces neurones ne seront pas stimulés. La conscience percevra que cette brique ne s’allonge pas. Par contre si on regarde un élastique sur lequel quelqu’un tire, ces neurones seront stimulés. Ils transmettront le message « L’objet est en train de s’allonger ! » La conscience percevra donc que l’élastique est en train de s’allonger. Mais si on prend du LSD, ces neurones vont être mis en fonctionnement intempestivement. Ils fonctionneront, même si on est en train de regarder la brique. On aura donc l’impression que la brique est en train de s’allonger ! Tout le système de perception va être « détraqué », que ce soit pour la perception visuelle, auditive, le temps, le fait de se rendre compte qu’il y a des choses derrière ce que nous observons, la remontée de souvenirs… Un bon hallucinogène fait même voir et vivre des choses « sur base de rien », simplement parce que le cerveau est techniquement capable de se rendre compte que ces choses arrivent. On peut avoir l’impression de voler, de tomber, de nager… Si tous les centres de perception sont détraqués en même temps, on peut par exemple avoir l’impression de nager dans de l’air qui est en train de s’étirer. Il peut aussi y avoir une confusion entre les sens : on peut entendre des couleurs et voir des sons. Comme les hallucinogènes peuvent faire découvrir des choses à une personne, sur la façon dont son cerveau travaille et sur la façon dont elle peut percevoir le Monde, ils sont un outil initiatique intéressant. Beaucoup de tribus et de groupes les utilisent à cette fin. Ils font prendre une dose d’hallucinogène aux jeunes, lors des rites d’initiation. Certains artistes considèrent que l’expérience qu’ils ont vécue en prenant une fois un hallucinogène leur a appris beaucoup de choses. Ils peuvent permettre à des personnes qui ont un niveau spirituel encore faible de vivre certaines expériences avec plus de profondeur et d’intensité. Les hallucinogènes peuvent aussi être très dangereux : un automobiliste qui a l’impression que la voiture devant lui freine brusquement, une personne en haut d’une falaise qui a l’impression qu’elle peut voler, une personne terrorisée par les monstres qu’elle voit sortir du sol… tous risquent des accidents graves. Ils ne faut prendre un hallucinogène que sous la protection rapprochée de personnes fiables et initiées (même si on est fiable et initié soi-même) (les personnes qui ne suivent pas cette règle ne sont donc ni fiables ni initiées).

Un champignon de la famille des amanites contient un psychotrope qui met le cerveau en situation de combat. En cas de menace grave le cerveau peut se mettre dans un mode accéléré : les réflexes seront beaucoup plus rapides, la conscience se focalisera sur toutes les menaces qui entourent la personne. On voit le monde autour de soi bouger très lentement, on devient beaucoup plus rapide. Les soldats de métier connaissent bien cet état. Ils savent s’y préparer avant chaque bataille. Ce psychotrope extrait du champignon semble à priori très intéressant. Les gaulois l’ont utilisé. L’armée américaine a fait des recherches pour essayer de l’utiliser pour déclencher le mode de combat chez les soldats. Mais ils ont abandonné l’idée. Ils ont fait quelques essais, dont la conclusion a été la suivante : ce n’est pas une bonne idée d’en donner aux soldats inexpérimentés, parce qu’ils risquent de se mettre à faire n’importe quoi. Ils ne sont pas à la hauteur. Quant aux professionnels, ils n’en ont pas besoin. Ils trouvent même que ce produit les dérange, que cela diminue leurs performances.

La caféine, les amphétamines, la cocaïne… sont des psychotropes qui stimulent l’activité du cerveau. Ils rendent actif, font en sorte que l’on perçoit mieux ce qui se passe.

(L’héroïne et la cocaïne sont des psychotropes qui de prime abord ont une action opposée : l’héroïne calme alors que la cocaïne excite. Mais ils ont en commun une caractéristique essentielle : ils agissent sur les centres de l’approbation. Ils engendrent des sensations de plaisir et un sentiment de bien-être. Du fait de leur importance de cette caractéristique, un chapitre entier leur est consacré plus loin dans ce texte.)

Les neuroleptiques font tout simplement cesser l’activité du cerveau. Une personne qui a pris une forte dose de neuroleptique ne peut plus poser aucun acte, ne peut plus réfléchir, ne sait plus qui elle est.

La kétamine fait cesser l’activité des neurones qui amènent aux cerveau les informations de l’extérieur. On ne voit plus rien, on n’entend plus rien, on ne sent plus rien, mais on reste éveillé. Alors le cerveau se met à générer lui-même des images, des sons, des sensations. On peut « voir » n’importe quoi : des personnes qu’on a connues, des paysages, Dieu…

En général, l’effet d’un psychotrope finit toujours par cesser, ou diminuer. Cela peut prendre quelques minutes ou quelques heures. Il y a à cela plusieurs raisons, très différentes :
Certains produits sont détruits au moment où ils produisent leur effet. Donc quand toutes les molécules du produit ont fait leur travail, il n’en reste plus dans l’organisme. Il n’y a plus d’effet.
Certains produits sont évacués par l’urine, la respiration ou la transpiration. C’est le travail des reins, des poumons ou de la peau. Quand tout le produit a été évacué… il n’y a plus d’effet.
Le foie et d’autres organes vont travailler à éliminer le produit. Les molécules du produit vont être cassées en morceaux. Ces morceaux ne produisent pas d’effet et sont éliminés, ou utilisés pour les fonctions normales de l’organisme.
Le cerveau va compenser l’effet du produit. Le produit est toujours là, mais le cerveau réussit à contrebalancer ses effets. On ne ressent donc plus rien.
Certains produits mettent très longtemps à être éliminés. Leur effet peut durer des années ! En restant bloquées dans le cerveau, les molécules d’opiacés causent l’effet inverse de leur effet initial : le consommateur ressentira des douleurs physiques et morales. Un traitement médical peut permettre de forcer le cerveau à éliminer les molécules d’opiacé « bloquées » dans le cerveau.

Parfois l’effet ne cessera jamais, tout simplement parce que le produit a détruit des choses dans le cerveau. C’est par exemple le cas des molécules d’héroïne artificielle produite par des étudiants en chimie : les destructions qu’elles ont occasionnées dans le cerveau leur ont donné une maladie de parkinson dont ils ne pourront pas guérir.

Beaucoup de psychotropes déforment la personnalité si on les prend régulièrement pendant de longues périodes. Probablement surtout si les effets continuent pendant qu’on est en train de dormir. Le cerveau a sa perception du monde faussée par les effets du produit. Il va donc « s’adapter », se changer au fil du temps, dans un sens qui répond aux perceptions que lui donnent les effets du psychotropes. A cause de cela certaines personnes deviennent asociales, paranoïaques, prostrées… S’ils arrêtent de prendre du produit il leur faudra plusieurs années pour que le cerveau se « recâble » d’une façon plus naturelle. Un cas très intéressant est celui de beaucoup d’héroïnomanes. Ce sont des mythomanes achevés. Au fil du temps ils se persuadent de ce qu’ils veulent croire à un point extrême. Ils sont réellement convaincus de ce qu’ils vous disent. L’héroïne a permis une modification à la racine de leurs souvenirs. L’héroïne n’attaque pas directement les neurones qui gardent les souvenirs. Mais l’héroïnomane vit dans les rêves délirants que lui procure l’héroïne et son cerveau finit par enregistrer ces rêves comme étant la réalité. Le jugement des centres du souvenir est faussé par l’héroïne.

Un cas pernicieux est par exemple celui du LSD, qui peut se stocker dans les graisses de l’organisme. Un jour, sans qu’on s’y attende, les cellules de graisse libèrent le LSD qu’elles avaient stocké… C’est une loterie : cela peut arriver ou ne pas arriver. C’est pour cette raison que l’administration américaine part du principe qu’un homme qui a consommé plusieurs fois du LSD doit être considérée comme fou. A tout moment du LSD peut se libérer dans son organisme et lui faire faire n’importe quoi. Toute personne se destinant à une carrière importante doit éviter le LSD, parce qu’il est parfois possible de détecter la prise de LSD plusieurs années après. (Ceci est également vrai pour l’héroïne.)

Un détail technique, qui a son importance : des psychotropes qui ont les mêmes effets peuvent en réalité agir sur des parties totalement différentes du cerveau.

Certains antidouleurs vont bloquer les signaux de douleurs avant qu’ils n’atteignent le cerveau. D’autres ne vont pas bloquer la douleur, mais vont empêcher le cerveau de s’en rendre compte…

Les benzodiazépines sont des somnifères qui agissent d’une façon tout à fait différente des opiacés. Ils ont été largement adoptés parce qu’ils n’avaient pas les effets secondaires des opiacés.

La plupart des produits cumulent plusieurs effets psychotropes différents :

La morphine est un antidouleur, un anxiolytique, un somnifère et un stimulant des centres du plaisir.

Les THC, contenus dans le cannabis, sont hallucinogènes et anxiolytiques.

La cocaïne est un puissant insensibilisant et un vasoconstricteur quand elle touche une partie du corps. Mais elle est un stimulant, un anxiolytique et un stimulant des centres du bien-être quand elle touche le cerveau.

La raison pour laquelle un produit semble avoir plusieurs effets n’est pas toujours directement liée à ses effets directs sur le cerveau. Par exemple une personne qui a pris un peu d’alcool ou de morphine peut devenir très active. Ces deux produits ne sont pourtant pas des stimulants. L’explication est sans doute que cette personne a des blocages, elle est angoissée. Quand elle est libérée de ses blocages par le produit, désinhibée, elle se découvre la possibilité de faire des tas de choses. Elle est libérée de ses contraintes

Certains psychotropes ont des effets secondaires comme le manque. Après l’effet du produit, le cerveau va ressentir l’effet contraire. C’est le contrecoup. Par exemple, un peu après que l’effet de certains anxiolytiques se soit estompé, la personne va ressentir de fortes angoisses. C’est pour cette raison que l’on donne instruction aux personnes qui prennent ces produits de les prendre en continu et d’arrêter graduellement. L’héroïne procure un plaisir et un bien-être intense. Quand l’effet cesse, l’héroïnomane ressent de très fortes douleurs et vit des angoisses abominables. Cet enfer peut être tellement horrible que certains en meurent. Pour éviter de vivre cela l’héroïnomane est obligé d’en reprendre dès que les effets de la prise précédente commencent à s’estomper. S’il ne prend pas de nouvelle dose, il lui faudra plusieurs jours pour revenir à un état normal. Pendant tout ce temps il souffrira énormément. C’est ce qu’on appelle « le manque physique ». Beaucoup de toxicomanes endurcis ne ressentent plus aucun plaisir quand ils prennent de la drogue, ils la consomment uniquement pour éviter le manque, pour ne pas crever de douleur et d’angoisse.

(Le manque physique de l’héroïne apparaît dès la première dose et s’estompe en quelques jours. Avec l’alcool, c’est exactement l’inverse : il faut plusieurs mois de consommation d’alcool pour que le manque physique apparaisse, mais alors on le garde à vie.)

Le café et la cocaïne stimulent l’activité du cerveau. Ils le poussent à fond, lui font utiliser toutes ses réserves de molécules neurotransmetteurs. Après un certain temps, ou quand l’effet du produit cesse, le cerveau ne dispose plus de neurotransmetteurs. Alors l’activité cérébrale de la personne s’effondre, comme si elle avait pris un neuroleptique. Beaucoup d’étudiants en ont fait les frais : ils boivent un paquet de café sur la nuit afin de finir d’étudier un gros examen. Ils connaissent bien leur matière. Mais ils arrivent devant le professeur au moment où l’effet du café cesse. Ils sont comme hébétés, ne savent pas quoi répondre aux questions du professeur. Ce n’est que quelques heures plus tard, quand le cerveau a reconstitué ses réserves de neurotransmetteur et reprend son activité normale, que l’étudiant se met à pouvoir répondre de façon limpide et précise aux questions qui lui avaient été posées… mais c’est trop tard. Ce phénomène explique aussi pourquoi les consommateurs de cocaïne passent pour être de grands paranos : quand l’effet s’estompe, le bien-être fait place à son contraire : des angoisses, des peurs, un sentiment d’insécurité, un délire de persécution. En même temps, le cerveau est dans un état de non-fonctionnement, incapable de mettre une idée devant l’autre, de se raisonner. La réaction normale d’un humain quand il se sent menacé et qu’il n’arrive pas à gérer la situation, c’est la colère. Il se fâche, il explose, il attaque.

L’accoutumance est le fait que le cerveau devient moins sensible au produit. Il s’habitue. Il faut lui administrer des doses plus fortes pour obtenir le même effet. Il y a à cela plusieurs raisons possibles :
Le cerveau ou d’autres organes mettent en place des défenses pour atténuer ou même empêcher complètement les effets du produit. Ou pour l’éliminer plus rapidement de l’organisme.
Le produit détruit ou insensibilise les zones du cerveau sur lesquelles il agit. Il s’empêche ainsi lui-même d’avoir de l’effet.
Le produit agit sur certains récepteurs chimiques des neurones. Le produit sature ces récepteurs, il les occupe. Les neurones ont donc l’impression de manquer de récepteurs. Ils se mettent à en fabriquer de nouveaux. Ainsi la surface des neurones se couvre d’un plus grand nombre de récepteurs. Donc, pour stimuler tous ces récepteurs, il faudra une plus grande quantité de produit. (Réciproquement cela a un effet sur l’intensité du manque : quand ces nombreux récepteurs se trouvent privés de leur stimulant, l’effet du manque sera d’autant plus fort qu’il y avait un grand nombre de récepteurs. Ce développement anarchique de récepteurs est un grave problème pour le drogué. S’il arrête la consommation de son psychotrope pendant un temps suffisant, une partie de ces récepteurs se mettront en sommeil. Le drogué pourra donc reprendre une vie plus normale. Mais ces récepteurs sont toujours là. Si le drogué reprend du produit, la première prise peut avoir un effet assez fort. Mais les récepteurs vont se réveiller bien vite. Le drogué reviendra donc très rapidement dans sa situation de toxicomanie, avec une forte accoutumance et un manque important. Tous ses récepteurs, rapidement rouverts, crient famine. Cette trop grande quantité de récepteurs est un handicap définitif pour le drogué, acquis. Quoiqu’il semblerait qu’après plusieurs années ils puissent se résorber et disparaître.)

Les conséquences de la prise inconsidérée de psychotropes sont nombreuses et très variées :
Des personnes en bonne santé font une crise cardiaque parce qu’elles font des efforts en ayant pris de la cocaïne. Ce pour plusieurs raisons, qui se cumulent :
Comme elles se sentent très bien, elles ne ressentent pas la fatigue qui leur signale qu’il est temps d’arrêter.
La cocaïne est un excitant. Elle pousse à se dépenser, à courir plus vite et plus loin. Donc à faire travailler le coeur plus fort.
La cocaïne est un vasoconstricteur. Elle fait se resserrer les vaisseaux sanguins. Le coeur doit donc pomper plus fort pour faire circuler le sang.
La cocaïne masque la soif. La personne peut donc travailler ou faire du sport longtemps sans se rendre compte qu’elle devrait boire. La déshydratation rend le sang plus épais, plus difficile à faire circuler. Le coeur doit pour cela aussi pomper plus fort pour compenser.
L’alcool est à l’origine d’un très grand nombre d’accidents de la route. Beaucoup de psychotropes peuvent entraîner des accidents ménagers. Même la cigarette, mais pas à cause de ses effets : si on n’est pas très prudent elle peut causer des incendies.
Les consommateurs d’extasy se retrouvent au bout de quelques temps avec des reins détruits et une colonne vertébrale fragilisée.
Des personnes sont brûlées au troisième degré parce qu’elles ont pris de la morphine ou de l’héroïne. Ce sont de puissants antidouleurs qui peuvent même empêcher de sentir qu’un flamme vous lèche le corps.
Quelqu’un qui se nourrit bien et qui consomme des quantités raisonnable d’héroïne de bonne qualité n’aura aucun dégât physique, même après quelques années. Les graves problèmes liés à la consommation d’héroïne sont des effets pervers. A cause du produit certaines personnes se négligent : elles mangent mal, ne vont pas chez le dentiste… au bout d’un an ou deux elles sont maigres, leur peau est comme du parchemin, elles ont déjà perdu quelques dents. Certains dealers coupent leur héroïne avec des produits comme de la strychnine ou de la mort-au-rat. Les effets de l’héroïne sur le mental de gros consommateurs est dévastateur : ils deviennent des prédateurs à la recherche de leur dose, totalement coupés des autres êtres humains.
L’héroïne, la cocaïne et le LSD peuvent être pris par piqûre. En se prêtant leurs seringues entre eux, beaucoup de toxicomanes ont attrapé des maladies graves comme le SIDA et l’hépatite B. Certains groupes de toxicomanes considèrent carrément que se passer la même seringue de l’un à l’autre fait partie du rite. Cela augmente leur plaisir en créant un sentiment d’identité de groupe. Dans le cas de l’héroïne, comme l’accro est virulent, un toxicomane peut utiliser une seringue même s’il sait qu’elle a été utilisée par une personne contaminée.
Le LSD, la cocaïne et l’alcool, surtout à fortes doses, causent la destruction de cellules du cerveau. Quand on découpe le cerveau d’une personne morte d’une cirrhose du foie due à l’alcool, on découvre que de grandes parties de son cerveau sont devenues des plaques de matière inerte. Dans le cas de fortes doses de LSD les lésions sont moins évidentes à observer physiquement. Mais les personnes qui ont fait cela disent « avoir perdu quelque chose ».
Le crack est une drogue très destructrice. Comme elle se prend par inhalation on a cru un moment qu’au moins elle n’augmenterait pas la propagation du SIDA. On a déchanté : les personnes sous l’effet du crack ont un comportement sexuel démentiel. Ils « sautent sur tout ce qui bouge », sans prendre la moindre précaution.
Le tabac est la source de psychotrope qui a les conséquences les plus nombreuses sur la population. 5% des personnes ont une insuffisance respiratoire pénible à cause du tabac. Les maladies graves liées à la consommation de tabac sont nombreuses : cancer, gangrène des jambes, emphysème… Les conséquences sont importantes aussi pour les personnes qui ne fument pas mais vivent avec des fumeurs. Ils auront les même problèmes que les fumeurs.

La dopamine

Pour appréhender le mécanisme des drogues dures il est essentiel de comprendre le mécanisme de la dopamine. C’est une des nombreuses molécules produites et utilisées par le cerveau.

Dans la vie normale d’un animal, la dopamine est sécrétée lorsqu’il fait quelque chose de « bien ».

A quoi cela sert-il ? Prenons un exemple : l’animal mange une plante qu’il n’a encore jamais rencontrée.

Cette plante est riche en vitamines. Il serait donc bon que l’animal mange d’avantage de cette plante.

Le cerveau, sensible aux effets bénéfiques de la richesse en vitamines, va faire se déclencher une petite production de dopamine. Cette production de dopamine se caractérise par une sensation de plaisir. Elle aura pour effet technique que l’animal va enregistrer dans sa mémoire que cette plante est une bonne chose.

A l’avenir, la seule vue ou l’odeur de cette plante déclenchera déjà une petite production de dopamine dans le cerveau. Cela pousse l’animal à en manger.

Le réflexe de production de dopamine s’entretient et se renforce à chaque fois que l’animal mange et remange de cette plante.

Quand l’animal manque de vitamines, son cerveau fera en sorte que le souvenir de la plante lui vienne à l’esprit, avec une forte envie d’en manger.

L’endroit où se trouve la plante, le contexte, est très important. Si l’animal passe par hasard à cet endroit, son cerveau se rendra compte que c’est le périmètre où pousse la plante. Il libérera automatiquement une petite dose de dopamine, associée au souvenir de la plante. L’animal se mettra aussitôt à la recherche de la plante. C’est logique : comme elle est dans les parages, autant en profiter…

Si la plante est vraiment bonne, mais difficile à trouver, la production de dopamine peut devenir très forte : pour encourager l’animal à fournir les efforts nécessaire pour trouver cette plante.

La dopamine est « la molécule de l’approbation ». Quand il y a production de dopamine, c’est comme si le cerveau mettait un cachet « Testé et Approuvé ».

L’héroïne, la cocaïne, l’alcool, la nicotine et le cannabis ont la particularité de causer de façon directe la production de dopamine. La prise de ces produits engendre donc des sensations de plaisir, de bien-être ou d’assurance.

Ces produits court-circuitent tout le mécanisme d’apprentissage et de gestion de la vie. Plus besoin de faire des choses qui sont bonnes pour ressentir du plaisir : il suffit d’absorber un de ces produits. Ils « attaquent » les centres du plaisir et déclenchent directement la production de dopamine. Le cerveau recevra des doses de dopamines, sans qu’il n’y ait aucune bonne raison à cela.

Comme ils touchent au mécanisme de l’apprentissage ils engendrent le phénomène de l’accro psychologique. La personne « apprend » qu’il faut à tout prix qu’elle prenne de ce produit. Pour bien comprendre le phénomène de l’accro psychologique voici une longue analogie :

Supposons que votre corps est une entreprise. A la tête de cette entreprise, il y a le service de direction : votre cerveau. La personne à la tête du service de direction, c’est le directeur. Le directeur n’est pas très malin. Il se prend très au sérieux. Il donne des ordres que les employés suivent à la lettre. Mais il ne comprend pas très bien comment fonctionne l’entreprise. Pour prendre ses décisions, le directeur se base sur une seule chose : les bénéfices. Toute la journée le comptable lui envoie des notes avec l’état des bénéfices. Le directeur regarde attentivement ces chiffres et essaye de les coréler avec ce qui s’est passé pendant la journée. Supposons par exemple qu’un jour il y ait eu beaucoup de bénéfices. Le directeur est très content. Il se demande « Mmmmm, à quoi pourrait bien être dû le fait que nous avons fait tant de bénéfices aujourd’hui ? Oui oui : l’élément inhabituel, c’est que nous avons engagé l’intérimaire Jean Dupont. Aha ! Il y cinq jours nous avions aussi fait de très bons bénéfices, et justement ce jour là aussi Jean Dupont est venu travailler chez nous. Et bien c’est clair : dorénavant je ferai venir Jean Dupont le plus souvent possible. » Le directeur passe son temps à essayer de deviner ce qui a fait augmenter ou baisser le chiffre d’affaire et il agit en fonction. Si à chaque visite de l’intérimaire Alfred Ducroc le chiffre d’affaire baisse, le directeur donnera l’ordre d’essayer de l’éviter. Si le directeur remarque que si on fait venir l’intérimaire Jean Dupont sans arrêt cela fait baisser le chiffre, alors il donnera l’ordre de ne tout de même pas le faire venir trop souvent (c’est le phénomène de l’écoeurement). Un jour arrive un intérimaire très spécial : l’intérimaire héroïne. Il ne fait rien du tout pour l’entreprise, il ne fournit aucun travail. Mais il fait une chose bien précise : lorsque le comptable envoie la note des bénéfices au directeur, il l’intercepte et il la transforme : il augmente le chiffre des bénéfices. Il ajoute carrément un zéro ! Quand le directeur reçoit cette note, il est transporté de joie. Il comprend tout de suite que cet intérimaire est quelqu’un d’excessivement précieux. Mais comme l’intérimaire héroïne n’a en réalité fait aucun travail, les bénéfices de l’entreprise ne sont pas très bons. Donc la note suivante du comptable sera mauvaise. Alors le directeur, très inquiet, donne l’ordre qu’il faut absolument trouver l’intérimaire héroïne et lui demander de travailler. Aussitôt qu’il vient, bingo, le directeur reçoit une note du comptable avec un chiffre mirobolant ! Le directeur ne peut bientôt plus se passer de l’intérimaire héroïne. Sans lui, le chiffre des bénéfices s’écroule… Pire : le comptable, sans le faire exprès, va essayer de compenser les notes mirobolantes. Il va envoyer des notes au directeur avec des chiffres négatifs. Des chiffres aussi énormes que les chiffres de l’intérimaire héroïne, mais en négatif. L’horreur ! Cela plonge le directeur dans le plus profond désespoir. Il est envahi d’une immense douleur, il se torture à essayer de comprendre s’il a fait de mauvais choix. Il donne l’ordre à tout le personnel de l’entreprise de cesser toute activité et de se consacrer à la recherche de l’intérimaire héroïne. Lui seul peut sauver la situation ! La simple annonce du fait qu’on l’a trouvé et qu’il est en train de s’installer à son poste de travail remplira le directeur d’excitation. L’intérimaire héroïne est très vicieux : au bout de quelques temps il ne se fatigue même plus à remplir des chiffres mirobolants sur les notes de bénéfice. Il se contente de gommer les gros chiffres négatifs que le comptable met et de mettre un zéro ou de petits chiffres positifs à la place.

En quelques mois l’entreprise fera faillite.

Qu’est-ce qu’il faut faire pour éviter que pareille chose n’arrive ?

La première solution qui vient à l’esprit est bien sûr d’éviter que l’intérimaire héroïne ne puisse entrer dans l’entreprise. Mais ce n’est pas toujours réalisable. De plus, cela peut engendrer un phénomène pernicieux : si le directeur a déjà eu recours aux « services » de l’intérimaire héroïne, il est prêt à beaucoup d’efforts pour l’engager à nouveau. S’il est difficile à trouver, le directeur deviendra très inquiet. Lorsqu’enfin on l’aura trouvé et qu’il aura fait parvenir une note de bénéfice bien grassouillette, Le directeur se sentira tout particulièrement heureux, très soulagé. Plus l’intérimaire héroïne est difficile à trouver, plus le directeur aura besoin de lui et mettra toutes les ressources de l’entreprise à profit pour partir à sa recherche. Rendre l’intérimaire héroïne difficile à obtenir est une mauvaise stratégie.

Certains diront qu’il faut punir le directeur quand il recourt à l’intérimaire héroïne : le critiquer ou le mettre en prison. C’est également une très mauvaise méthode : elle augmente d’autant le besoin du directeur de recourir à ses services.

La bonne solution est sans doute plutôt de mieux éduquer le directeur, faire en sorte qu’il soit plus intelligent et plus sûr de lui :
Il faut réussir à lui faire comprendre ce que fait réellement l’intérimaire héroïne.
Il faut lui apprendre à voir sur le long terme. Il faut qu’il réalise qu’une note de bénéfice énorme, suivie d’une note catastrophique, ce n’est pas intéressant.
Il faut lui dire et lui prouver qu’il ne doit pas craindre les moments où les affaires vont moins bien. Il faut lui montrer qu’il fait partie d’un grand groupe industriel et qu’il sera toujours aidé en cas de problème.
Il faut lui donner un conseil d’administration constitué de personnes sages et cultivées.
Il faut lui montrer que les activités normales de son entreprise, sans l’intérimaire maudit, sont nécessaires aux autres entreprises.
Il faut qu’il se rende compte que tout le personnel de son entreprise est important, ainsi que les nombreux fournisseurs, les talentueux intérimaires… tous travaillent à ce que son entreprise fasse de beaux bénéfices, sans tricher.
L’accro est un mécanisme pervers :
Parfois, dans un premier temps, le fait que le directeur croie qu’il fait des bénéfices mirobolants peut vraiment avoir des effets positifs pour lui. Cela peut lui donner l’envie d’investir dans de nouveaux secteurs d’activité. Cela fait aussi que s’il rencontre des clients, ou son banquier, il se montrera très sûr de lui. Il inspirera confiance. Ses clients n’hésiteront pas à acheter ses produits. Son banquier lui accordera des prêts sans hésiter. Par la suite ils devront déchanter…
Les personnes qui ne connaissent pas l’enfer de la drogue se croient permis de dire « Huh, se sortir de la drogue, c’est une affaire de volonté ! ». C’est totalement faux : Ce sont précisément les « directeurs » qui ont beaucoup de volonté qui ordonneront la recherche de l’intérimaire héroïne avec le plus de fermeté. Pour preuve : le fait qu’un certain nombre de sportifs de haut niveau deviennent accro à l’héroïne. Ce ne sont certainement pas des personnes que l’on peut accuser de manquer de volonté. De plus, deux personnes différentes n’auront pas le même risque de devenir accro. Leurs cerveaux n’ont pas la même sensibilité. Certaines personnes n’ont aucun mérite à ne pas être accro, tout simplement parce que leur cerveau y est réfractaire.
Il suffit que le directeur voie l’intérimaire héroïne pour qu’il soit très excité. Il courra vers lui pour lui demander de venir travailler. Un toxicomane « craque » à la seule vue d’un sachet de poudre ou d’une seringue : avant même l’absorption du produit il est submergé d’une dose de dopamine qui le pousse à en prendre envers et contre tout. Il devient chaud et fébrile, épris d’envie de la dose. Certains dealers savent jouer là-dessus pour relancer des clients qui essayent d’arrêter. Rien que le décors dans lequel un héroïnomane vit lui rappelle la drogue et peut lui donner des envies très vives. C’est pour cela que quand un héroïnomane veut arrêter il est important qu’il quitte complètement son mode de vie. Il faut qu’il aille vivre ailleurs, d’une façon différente. Les GI de retour de Vietnam n’ont pas continué à consommer de l’héroïne simplement parce qu’en rentrant chez eux ils ont changé de pays et de mode de vie. Un de mes amis, héroïnomane lourd, ne consomme pas un milligramme quand il part en voyage, sans la moindre crise de manque. Un autre exemple du fait que les circonstances de la prise comptent est que les personnes qui ont pris de la morphine dans un hôpital pour lutter contre la douleur n’ont pas d’accro. Elles ne deviennent pas dépendantes, alors qu’elles ont pris des doses parfois très importantes et pendant des périodes prolongées.
La peur de manquer du psychotrope est la cause de vives angoisses. Elle pousse le toxicomane à consommer d’avantage. Un de mes amis recevait sa dose quotidienne sans faire le moindre effort. Elle lui était offerte et préparée par sa petite amie prostituée. Un jour il s’est rendu compte qu’essentiellement l’héroïne l’ennuyait. Il a arrêté du jour au lendemain, comme un vêtement puant que l’on jette à la poubelle. La consommation de cocaïne d’une amie a baissée de moitié le jour où elle a eu l’adresse d’un grossiste sûr, qui l’avait à la bonne et qui lui faisait moitié prix. (Ces deux cas sont des personnes qui ont déjà un peu d’éducation et qui ont un certain parcours toxicomane derrière eux. Je ne suis pas sûr que la disponibilité facile de psychotropes pour tout le monde serait une solution. Beaucoup de personnes paumées, irresponsables et en trop bonne santé risqueraient fort d’en consommer des quantités démentes et sombrer en un temps très court vers un stade avancé de destruction de leur organisme et de leur système nerveux.) La disponibilité est une méthode intéressante, mais qui doit être pratiquée sous contrôle médical. Réciproquement, la politique de torture par sevrage des toxicomanes, que pratiquent certains pays, doit a tout prix être arrêtée. Tout au moins, un toxicomane ne doit pouvoir être « torturé » que pour les délits normaux : vol, violence, arnaque… mais pas pour le fait de consommer. Enfermer un toxicomane pour l’empêcher de se procurer son produit, c’est s’assurer de sa rechute et de sa criminalisation. Et quand on sait avec quelle facilité la drogue circule en prison… Le sevrage forcé ne peut avoir des conséquences positives que quand il est librement consentit par le toxicomane, dans le cadre d’une thérapie structurée.
La drogue a pour effet de simplifier la vie de quelqu’un. Elle la rend peut-être plus dure, la vie d’un toxicomane peut être un enfer ; la chute d’un rat dans une fosse septique. Mais elle est plus simple. Beaucoup de personnes qui ont la chance d’avoir les bons réflexes ou les bonnes habitudes, ne se rendent pas compte de la difficulté que peuvent avoir d’autres personnes pour poser les actes de la vie de tous les jours. Il peut être bien plus supportable de se trouver dans une fosse sceptique aux murs bien définis, où les étrons sont comestibles, que dans une campagne paradisiaque où il faut chercher la nourriture, planifier les choses, où chaque zone d’ombre, chaque bosquet, cache l’inconnu. Un élément important d’une cure de désintoxication consiste donc à placer la personne dans un environnement facile : une jolie campagne sans zones d’ombre, sans difficultés d’approvisionnement. Ce n’est que quand la personne est désintoxiquée que l’on peut lui apprendre pas à pas à affronter une campagne plus riche. Elle ne sera véritablement désintoxiquée que quand elle aimera passionnément la vraie campagne.
Quoi qu’on fasse, si on le fait sous cocaïne ou sous héroïne, on le perçoit comme étant très bien, parce qu’on est inondé de dopamine. On peut faire des choses très moches le sourire aux lèvres.
L’accro causé par le mécanisme de la dopamine dure très longtemps. On l’appelle « le manque psychologique ». Il faut plusieurs années pour qu’il s’estompe.

Ce qui compte pour sortir d’une toxicomanie, c’est le fait d’avoir de la culture, « de la religion », savoir qui on est. Beaucoup de toxicomanes qui n’avaient jamais arrêté, malgré de nombreuses cures de désintoxication, arrêtent tout d’un coup à l’âge de trente ou quarante ans, brutalement, sans aucune aide. Pourquoi ? Parce qu’ils sont devenus plus matures, plus sages plus adultes. Tout d’un coup, la consommation du produit leur semble être quelque chose d’idiot. Il faudrait toujours attendre d’être arrivé à cet âge là avant de toucher aux drogues dures…

Il est important pour un toxicomane de comprendre ce qui se passe dans son cerveau. Il faut qu’il comprenne pourquoi il est accro, par quel mécanisme il est poussé à consommer. Mais cela ne suffit pas en soi pour qu’il arrête. Notre volonté émane du subconscient. Elle nous dépasse. Quand le « directeur » ordonne qu’il faut aller chercher de la drogue, nous lui obéissons même si nous savons qu’il a tort. Il est un petit roquet complexé qui crie très très fort en silence. Parfois nous croyions le dominer, alors il nous manipule par la bande : il nous susurre des justifications, il tronque notre perception de la réalité. Il nous dit « Juste une dernière fois ! » ou « C’est des vitamines… ». Il le dit même au directeurs d’autres personnes, pour se justifier. Pour réussir à éduquer le « directeur », il faut du temps et du travail. Il faut méditer, se reposer, communiquer, comprendre, se comprendre, accepter…

Pour sortir de la toxicomanie, les religieux proposent la prière : s’adresser à Dieu. Cette approche est tout à fait fondée : Dieu est le symbole du savoir et de la volonté. Il est la représentation idéalisée, complète et « parfaite », de ce petit « directeur » qui se démène à l’intérieur de notre cerveau.

Faut-il aider un toxicomane ? Si on peut le faire, bien sûr. Mais à mon sens il ne faut pas se croire obligé. Si on n’a pas les compétences et les ressources nécessaires, il vaut mieux s’abstenir. Il est parfois très dur de vivre au contact d’un toxicomane. On peut y perdre beaucoup, inutilement. L’espoir de guérison est souvent très faible. Il n’y a aucune honte à prendre ses distances, c’est souvent même une obligation. L’important, c’est de ne pas le démolir. Un toxicomane a une personnalité fragilisée. Il ne pourra sortir de sa toxicomanie qu’en ayant retrouvé une certaine personnalité. Pour cela, il a besoin du soutient des autres, au moins moral.

Pendant la Première Guerre Mondiale, des soldats se sont jetés sur des obus explosifs qui tombaient dans leur tranchée, pour protéger leurs camarades. Notre volonté peut commander notre mort. C’est cette même volonté qui commande le sacrifice ultime qui commande une toxicomanie. Sauver ses camarades, c’est bien, prendre de la drogue, c’est mal. Mais en souvenir du premier, j’évite de trop ouvrir ma grande gueule quand je suis en présence du deuxième.

La volonté est essentielle pour sortir d’une toxicomanie, mais elle n’est pas suffisante. Voire elle peut jouer contre la victime. Une forte volonté peut devenir une forte volonté de prendre de la drogue. Une personne qui arrête abruptement et qui souffre le martyr peut développer une peur panique du manque qui au final la rend plus dépendante encore. C’est un peu comme les régimes d’amaigrissement draconiens : au final on prend du poids. Pour réussir, il faut aussi de l’amour : du coeur, de la sensibilité, de l’intelligence, de la compréhension et de l’altruisme…

Un toxicomane a une perception complètement déstructurée du monde. Il ne sait pas, ou ne sait plus, ce que sont les choses, ce qui sert à quoi. Il ne sait pas comment il doit faire les choses qu’il a à faire.

La déstructuration est encore beaucoup plus grave au niveau de sa perception de lui-même. Il n’a plus d’identité. Il ne sait plus qui il est ni ce qu’il sait faire, ni quels sont ses liens avec les autres. C’est la raison de sa souffrance.

On tombe dans la toxicomanie parce qu’on a un problème d’identité. L’effet du produit, la production de dopamine, donne au toxicomane l’impression qu’il sait qui il est. Elle lui en donne la certitude absolue. Ensuite, parce que cette certitude était fausse, c’était un mensonge, la toxicomanie aggrave le problème d’identité. C’est un cercle vicieux très puissant. En voici quelques indices :
Certains toxicomanes arrêtent quand ils tombent amoureux ou quand ils deviennent parent. Parce que cela leur donne une identité : « Je suis le conjoint de… » ou « Je suis le papa de… ». (Inversement, beaucoup de toxicomanes ont été « initiés » par la personne qu’ils ont rencontrée. Rien n’est parfait.)
Un moyen très efficace pour aider un toxicomane à décrocher sont les massages. En touchant un toxicomane, on lui redonne une perception de son corps, de ce qu’il est, de l’espace qu’il occupe dans l’Univers.
Certains toxicomanes considèrent la drogue comme quelque chose qui vient vivre en eux. Ils ressentent les effets comme la manifestation de quelque chose qui leur est étranger. Ils ne se rendent pas compte du fait que le produit ne fait que stimuler des phénomènes qui son propre à leur cerveau, qui sont en eux depuis toujours. (Ils ne peuvent donc pas comprendre que ces choses pourraient être stimulées sans recourir à la drogue.) On peut par exemple entendre un cultivateur de cannabis qualifier ses plantes de « petits martiens » qui viennent lui rendre visite.
Beaucoup de toxicomanes ont commencé à consommer parce qu’ils voulaient entrer dans un certain cercle de personnes. Ils avaient besoin de ces personnes pour acquérir une identité.
Le fait de s’ennuyer pousse à consommer des psychotropes. S’ennuyer, c’est le fait de ne pas savoir ce qu’on a à faire, ne pas savoir pourquoi on est là, qui on est.
Un toxicomane a besoin de prendre des vitamines et des acides aminés pour reconstituer les réserves de produits dont son cerveau a besoin. On utilise ces vitamines et ces acides aminés à forte doses pendant les cures de désintoxication pour diminuer le phénomène du manque. Quand le cerveau fonctionne bien, grâce aux vitamines, il trouve beaucoup plus vite ses marques, il comprend mieux les choses. La personne arrive mieux à savoir qui elle est, elle a moins besoin du produit.

Une amie d’un ami rechute régulièrement dans l’héroïne. Cela se passe chaque fois de la même façon : elle va dîner chez ses parents (elle aime beaucoup son père), sa mère la démolit verbalement pendant tout le repas, elle rentre chez elle cassée, son « petit ami » vient la voir et lui propose de l’héroïne. Un jour elle téléphone à mon ami. Elle vient de commencer sa cure de méthadone. Elle pleure au téléphone, elle est très mal. Mon ami lui demande si elle a des vitamines chez elle. Elle lui répond qu’elle a un tube de comprimés multivitamines effervescents. Mon ami lui dit d’en prendre quatre d’un coup. Elle lui répond « Si ça ne marche pas, je te tue ». Le lendemain mon ami lui téléphone. Elle est parfaitement détendue, heureuse de vivre, elle a même arrêté la méthadone.

Un médecin peut prescrire des compléments de vitamines et d’acides aminés fortement dosés. Dans les cas pas trop graves, le repas suivant peut contribuer à rétablir la chimie du cerveau : deux oeufs crus (pour les acides aminés et toutes les vitamines sauf la C), une cuillerée d’huile d’olive vierge ou d’huile de noix (pour les huiles essentielles, nécessaires au cerveau), une pomme (pour les fibres et les minéraux), un kiwi (pour la vitamine C), un yaourt (pour la qualité de la digestion, les vitamines et les protéines). Le calcium et le magnésium sont importants. On peut les trouver dans certains aliments, dans des eaux minérales ou en comprimés.

Tout aussi importante : l’élimination des toxines. Elles empoisonnent le cerveau, l’empêchent de fonctionner. Pour éliminer ou éviter les toxines, il existe beaucoup de méthodes : le sauna, le sport, un gros repas uniquement de pommes de terre cuites à l’eau, ne manger que des fruits pendant un jour, boire beaucoup d’eau (pas trop…), prendre des extraits de plantes qui favorisent l’élimination des toxines, éviter les sources de protéines ou de graisses…
Certaines personnes essayent des drogues uniquement pour aller à la découverte d’elles-mêmes, pour mieux se connaître. C’est la seule raison acceptable, à mon sens, de prendre des psychotropes. Ces personnes là font rarement plus de quelques expériences. Une fois qu’elles ont appris ce qu’elles voulaient savoir, elles passent à autre chose. Le devoir d’un être humain est d’apprendre à faire fonctionner son cerveau d’une façon adaptée à toutes les circonstances de la vie, sans utiliser de drogues ni d’endoctrinement. Une personne qui aime son métier n’a pas besoin d’un stimulant pour être hyper-active. Un véritable artiste imagine des choses bien plus riches sans hallucinogène qu’avec. Salvador Dali se basait sur ses rêves. (Pour mieux se souvenir de ses rêves il buvait du café avant d’aller dormir.)
Pour ceux qui en consomment tous les jours, les psychotropes sont un palliatif, une béquille. Parfois cette consommation en continu est justifiée par des raisons médicales. Mais la majorité des consommateurs sont des personnes qui n’ont pas appris à gérer la vie. Leur développement spirituel présente des carences importantes. Ils ne sont pas capable d’avoir une vie sentimentale harmonieuse et ne comprennent pas grand-chose à la sexualité. Ils souffrent de la vie et ont besoin de prendre régulièrement un peu de drogue pour colmater leurs blessures. (Il est évident qu’il faut absolument fournir le travail nécessaire pour qu’ils arrivent à un niveau d’éducation suffisant pour ne plus avoir besoin de consommer des psychotropes. Mais tant que ce travail n’a pas été fait, il vaut souvent mieux les laisser continuer à en utiliser. L’important est de veiller à ce qu’ils aient accès à des produits de bonne qualité.)
Beaucoup de toxicomanes nient totalement leur état. Ils refusent d’admettre qu’ils sont des consommateurs assidus de drogue. Ils ne veulent pas « se voir ainsi ».
Deux toxicomanes utilisant le même produit peuvent avoir des modes de vie totalement différents et un rapport totalement différent au produit. Il n’est pas possible de classifier les toxicomanes uniquement sur base du produit qu’ils utilisent. Leur personnalité a un impact plus important sur leur mode de vie que le produit. Par exemple il y a des drogués lourds à l’héroïne, qui au terme d’un cauchemar horrible de plusieurs années finissent cul-de-jatte dans un fauteuil roulant, déchus de leurs droits civiques et rejetés par la société. Mais il y a aussi des héroïnomanes « light » qui sniffent leur petite ligne tous les jours, d’un geste vaguement distingué, et sont des personnes très fréquentables. Je connais des consommateurs de cannabis qui fument un gros joint de résine bien lourde après le travail pour s’assommer un bon coup. Ils appellent cela « se scotcher ». J’en connais d’autres qui fument un petit joint léger de fleurs pour se mettre le coeur à l’ouvrage avant de commencer le travail. L’effet désinhibant de la cocaïne implique que la personne est libérée des contraintes que la société lui a imposées. Cela ne veut pas dire que la personne se mettra à faire n’importe quoi : si sa personnalité propre est une jeune fille fragile, avec une bonne dose de cocaïne dans le nez cette personne deviendra très prude et réservée, renfermée sur elle-même. Elle ne se sent plus obligée de communiquer et de se montrer disponible. Une autre personne, avec la même dose, deviendra joviale et enjouée, socialement surexcitée.
En général, un drogué « choisit » la drogue qui correspond à son mode de vie, à son mental. Les cadres consomment essentiellement de la cocaïne. Les jeunes paumés consomment plutôt de l’héroïne. Les artistes consomment du cannabis et des hallucinogènes. Ceci dit, les frontières entre les types de consommateurs sont devenues relativement floues. Beaucoup de gens se considèrent comme des cadres paumés un peu artistes…
Tout le monde trouve normal que l’on donne de la morphine ou de l’opium à une personne qui est en train de mourir. Mais on ne comprend pas qu’une personne jeune et en bonne santé consomme de l’héroïne. Cette personne jeune est pourtant très proche d’une personne qui va mourir. La mort, c’est ne plus rien être. Le problème du jeune qui tombe dans la toxicomanie est précisément qu’il ne sait pas qui il est. Il vit des souffrances, des angoisses, qui peuvent être aussi terribles que les douleurs d’une personne qui meurt d’un cancer.
On croit parfois qu’un toxicomane est une personne qui se suicide lentement, qui n’a pas le courage de se donner la mort une bonne fois. S’il est certain que le parcours d’un toxicomane ressemble à un suicide, ce n’est pas forcément son intention. Beaucoup de toxicomanes disent que la drogue est plutôt une façon pour eux de défier la mort. En bravant la mort, en remportant des victoires sur elle, ils se prouvent qu’ils existent. Quant on sait qu’on est quelqu’un, on n’a plus peur de ne rien être, on n’a plus peur de la mort. Ce rapport avec la mort est aussi présent dans certains rites initiatiques : on met la vie des novices en danger dans le but qu’ils sortent renforcés de l’épreuve. Ces procédés sont archaïques et peu rentables, certes, mais ils font partie de la nature humaine.
Les angoisses, les phobies et la dépression résultent d’une mauvaise compréhension de ce qui se passe autour de soi et en soi-même. Un personne qui fait une phobie des couloirs ressent qu’au bout d’un long couloir se trouvent des choses très dangereuses. Elle éprouve une virulente angoisse quand elle entre dans un tel couloir, au point de reculer, de ne plus pouvoir avancer. Même si consciemment elle sait qu’il n’y a pas de danger, son subconscient, lui, est convaincu du contraire et déclenche des angoisses atroces qui dominent le conscient. Beaucoup de phobies concernent le corps lui-même ; par exemple la peur de perdre tout son sang. Un cas pernicieux est celui de la tachycardie, quand le coeur se met à battre trop vite : plus le coeur bat vite, plus la personne a peur de mourir, plus cette peur fait battre son coeur. De tels cercles vicieux existent dans la plupart des phobies et dépressions, par exemple parce que la personne culpabilise d’avoir une phobie. Le remède aux phobies est généralement de permettre à la personne de prendre connaissance de son corps et de son esprit, en lui apprenant à se toucher elle-même et en lui apprenant à dialoguer avec son subconscient. Les anxiolytiques, antidépresseurs et calmants sont très efficaces contre les phobies. Il suffit d’avaler une petite pilule pour pouvoir arpenter tous les couloirs de la planète l’âme en paix. Dans la tenaille d’une crise d’angoisse pire que les flammes de l’enfer, au point de ne plus pouvoir bouger de terreur, il suffit qu’un médecin vous injecte une dose minime d’anxiolytique pour qu’endéans quelques minutes tout aille bien. Ces psychotropes ne sont que des palliatifs : ils font cesser les angoisses mais ils ne guérissent pas la personne de sa phobie ou de sa dépression. Il faut les utiliser quand c’est nécessaire ou dans le cadre d’une psychothérapie ciblée. Mais il faut s’en méfier au plus haut point.
Une vie amoureuse réussie est un des meilleur remparts contre la toxicomanie. Techniquement, de bons amants savent qu’il faut souvent commencer un rapport sexuel par un long flirt. Au cours de ce flirt, on se dit tout, on se pardonne tout. Les caresses et la tendresse mettent les deux partenaires dans un état de bien être le plus parfait. Ils n’ont plus peur de rien, ils n’ont plus besoin de jouer aucune comédie, ils savent qui ils sont, totalement. Ce n’est qu’alors qu’éventuellement ils passent au « sport ».
Dans certains cas, une conversation avec une personne qui a pris un peu d’héroïne peut être quelque chose de très agréable. Elle ne ressent plus le besoin de se protéger ou de faire le malin. Elle ne s’offusque jamais et prend le temps de réfléchir. La conversation est ouverte, objective, spontanée, intelligente, chaleureuse et sympathique. En général ce n’est malheureusement pas l’effet que l’héroïne produit ; on a plutôt affaire à une personne insensible ou narquoise.
Pour se sentir bien, un être humain a besoin d’une production régulière de dopamine dans le cerveau. Mais la dopamine n’est produite que quand il a des choses à faire, des enjeux, des travaux à réalise, des obstacles à franchir. Dans les prisons modernes, où les prisonniers sont logés comme des princes et n’ont rien d’autre à faire qu’attendre leur libération, les cas de dépression sont nombreux et sévères. Beaucoup de prisonniers passent tout leur temps de prison sous antidépresseurs, calmants et somnifères. Dans les prisons du passé, où les prisonniers mourraient à cause des mauvais traitements et devaient se battre pour survivre, il n’y avait pas de dépressions. On dirait qu’il faut choisir entre santé mentale et santé physique. La solution n’est évidemment pas de rendre à nouveau la vie des prisonniers dure. Les conditions de vie acceptables qu’ils ont actuellement sont une nécessité. Mais il faut développer dans les prisons un sens du travail intellectuel et physique. (C’est aussi pour cette raison que la Conquête de l’Espace est une nécessité absolue et qu’il faut lui allouer des sommes considérables : parce qu’elle est pour l’humanité un challenge surhumain, une lutte contre l’inconnu.)
Un schéma type de toxicomane est le jeune adulte dont le mode de vie et les préoccupations ne correspondent pas aux attentes de ses parents. Par exemple un jeune homme qui a un tempérament d’artiste et dont le père rêvait qu’il devienne médecin. La désapprobation et le retrait d’affection que vont lui témoigner ses parents peuvent parfois contribuer grandement à disloquer son identité, son image de soi. Il ne sera plus rien, vidé de sa substance. Il ne lui restera plus qu’à se mettre des emplâtres et des sparadraps : consommer des psychotropes.
Une amie qui aime bien sortir m’expliquait : « Le problème avec les jeunes, c’est qu’ils ne connaissent pas le mode d’emploi des produits qu’ils consomment. Ils avalent trop de pilules à la fois, où ils les prennent avec de l’alcool. On les retrouve écroulés dans un sofa, les yeux révulsés, tétanisés d’angoisse. Ils ont l’impression de sombrer dans un trou sans fond. La bonne attitude est de leur parler. Il faut nouer un dialogue avec eux, pour les sortir de l’abîme. ».
La preuve que les drogués ont une mauvaise approche de leur problème d’identité est qu’ils doivent sans cesse recommencer à prendre de la drogue. Ils ne progressent pas, ils n’apprennent rien.

Chez les gens civilisés, on donne une identité aux enfants en les aimant, en leur disant et en leur montrant qu’on tient à eux, en les comprenant, en les prenant dans ses bras, en leur permettant d’apprendre et de comprendre beaucoup de choses et en leur donnant l’occasion de faire des sports intenses. Chez les gens un peu moins civilisés, ont utilise la religion ou un nationalisme quelconque pour donner des certitudes aux enfants. On leur affirme qui ils sont. (Si on contrarie un intégriste sur une définition de lui-même qu’on lui a donné, c’est comme si on menaçait de le tuer.) Chez les gens non-civilisés, on ne s’occupe pas des enfants et on les laisse se procurer des psychotropes comme palliatifs.

Il y a des différences secondaires entre la cocaïne et l’héroïne :
La cocaïne intensifie le fonctionnement de tous les neurones (en empêchant la désexcitation des synapses). Elle est dynamisante. Les suites d’une prise de cocaïne sont un grand vide : le cerveau ne fonctionne plus, la personne est comme assommée, absente, elle ne perçoit plus rien, ne réfléchit plus. La cocaïne a fait s’épuiser toutes les réserves de molécules dont le cerveau a besoin pour fonctionner.
L’héroïne peut être dynamisante parce qu’elle désinhibe, mais comme elle isole le cerveau du monde extérieur (en bloquant le passage de l’influx nerveux), à forte dose elle calme et endort. Isolé, le cerveau rêve, il crée son propre petit monde. Le manque physique immédiatement après une prise d’héroïne est du au contrecoup : pendant l’action de l’héroïne le cerveau était coupé du monde, ensuite, il sera connecté au monde beaucoup trop fort : un simple effleurement de la peau sera perçu comme un coup de fouet douloureux. La personne sentira que tout son corps et son esprit son malades, elle crèvera de nausée.
Certains comparent le « plaisir » de l’héroïne aux plaisirs du sexe. Avez-vous déjà mangé des artichauts ? Quand ils sont préparés amoureusement par un bon cuisinier, nappés d’une fine vinaigrette, c’est un des mets les plus doux, les plus chauds, les plus exquis qui soient. On en porte le bien-être encore quelques jours après. Mais avez-vous déjà mangé de la pâte d’artichaut en boîte de conserve ? Ces boîtes sont faites avec de l’amidon, du parfum artificiel d’artichaut et de l’exhausteur de goût. Vous prenez la boîte de conserve, vous l’ouvrez, vous versez son contenu dans une casserole, vous versez de l’eau, vous portez à ébullition, vous versez dans une assiette, vous prenez la pâte avec une cuillère et vous la portez à votre bouche… Et bien ce n’est pas mauvais. Il y a à peu près la même différence entre du bon sexe et l’héroïne qu’entre des artichauts fermiers bien préparés et de la pâte d’artichaut en boîte de conserve. Si une personne vous dit que l’héroïne est meilleure que le sexe, vous pouvez donc en déduire qu’elle n’a pas la longue éducation nécessaire pour être un bon cuisinier. Un jour, elle a essayé de préparer des artichauts. Elles les a brûlés dans la casserole et les a servis à table en versant dessus un demi-litre de vinaigre. On peut comprendre qu’elle préfère ouvrir des boîtes de conserve. Elle pense qu’il vaut mieux manger un succédané d’artichaut que ne pas en manger du tout. Disons que l’héroïne procure un succédané du plaisir d’un câlin. La cocaïne procure un succédané du bien-être et de l’assurance que l’on ressent après un câlin. Personnellement, je préfère franchement apprendre à cuisiner. En attendant, il est hors de question que je me remplisse l’estomac de cet exhausteur de goût qui me donne mal à la tête et qui est une cause de débilité chez les enfants de familles pauvres en Asie.
(Cet exhausteur de goût est le glutamate de sodium : une molécule que notre cerveau utilise pour fonctionner, en très petite quantité. Quand de grosses quantités rencontrent les papilles gustatives de notre langue, les papilles sont affolées, désorientées, et disent au cerveau qu’il y a beaucoup de goût. Comme ce goût était indéfinissable, le cerveau va même commander de reprendre de cette nourriture, pour contrôler ! Des marchands de tabac ont ajouté du glutamate aux cigarettes pour augmenter l’accro. Le glutamate de sodium ingéré en grandes quantités s’accumule dans les neurones du cerveau de façon désordonnée et cause leur mort par empoisonnement. Lisez attentivement les petits caractères sur les boîtes de conserve que vous achetez, les soupes en sachet, les plats préparés, les sauces… Les petits caractères sont aussi intéressants sur les contrats d’assurance que sur les boîtes de conserve et les soupes en sachet.)

La réserve de dopamine du cerveau est limitée. Il n’y a qu’un petit réservoir de dopamine. Quand il est vide, il est vide. Il faut attendre des heures et des jours pour qu’il se remplisse à nouveau. Donc, pour obtenir la décharge de dopamine la plus intense possible, c’est à dire le flash de plaisir le plus puissant, il faut vider le réservoir de dopamine d’un coup. Comme un gros coup de pied sur une poire à eau. Il faut noyer le cerveau en quelques secondes de la concentration maximale de cocaïne ou d’héroïne. Donc il faut se piquer en intraveineuse ou fumer (le produit passe des poumons au sang en quelques secondes). Si on prend le produit par voie orale, en poudre par le nez ou par piqûre dans le gras de la peau, la concentration en produit n’augmente que lentement dans le sang. Il y aura libération de dopamine et sensation de plaisir, mais la dopamine est en train de s’écouler. Quand la concentration en produit devient enfin maximale… le réservoir de dopamine est presque vide, ainsi que les réservoirs des autres molécules utilisées par le cerveau. Il n’y aura donc pas de flash. Il faut choisir : ou un flash brutal et court, ou un bien-être plus calme et prolongé. Tout dépend de la méthode d’administration du produit.
ect…

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Toxicomanie sur ordonnances

 « Les médecins portent la responsabilité du crime qui consiste à avoir produit des milliers de toxicomanes », dr. H. M. Shelton
 
 
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L’abus de médicaments sur ordonnance peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées illicitement

L’Organe met en garde contre l’augmentation des décès par surdose de médicaments délivrés sur ordonnance

« La plupart des pays n’ont aucun mécanisme pour recueillir systématiquement des données sur cet abus et n’ont pas conscience de l’ampleur du détournement et de l’abus de drogues » a affirmé le Président de l’OICS, M. Emafo. « En outre, ce que les usagers ne savent pas, c’est que l’abus de médicaments sur ordonnance peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées illicitement. Du fait de leur très grande puissance, certains stupéfiants de synthèse, disponibles sous forme de médicaments délivrés sur ordonnance, présentent même un risque de surdose plus élevé que l’abus de drogues illicites » a-t-il ajouté.
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Drogues et cerveau : Opiacés et tranquillisants

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Drogues Et Cerveaux « Tabac et Alcool : poisons légales »

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Cannabis sur ordonnance

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Tout sur le cannabis : THC liposoluble, stocké dans le serveau

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Héroïne

Quelle en est l’origine ?

L’héroïne fut synthétisée en 1874 et commercialisée en 1897 par la firme Bayer comme un médicament aux vertus héroïques (courage, insensibilité à la douleur, à la fatigue…). Elle fut utilisée comme produit de substitution à la morphine, comme antidouleur et comme traitement de la toux. Dès la fin de la première guerre mondiale et suite à de nombreux problèmes de dépendance, son usage thérapeutique fut contesté. Dès lors, comme la morphine, elle fut uniquement prescrite dans le traitement de douleurs extrêmes (brûlures sévères, douleurs post-opératoires, soins palliatifs, cancer, etc.) avant de disparaître récemment de la pharmacopée belge (liste de substances pouvant êtres dispensés par les médecins).

Héroïne (suite)

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LES EFFETS DES DROGUES PSYCHOSTIMULANTES : AMPHETAMINES, ANTIDEPRESSEURS, COCAINE, CRACK, RITALINE et la DEPENDANCE

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Fraude scientifique : Gwen Olsen / la vérité sur BIG PHARMA

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